elasmo

Il me semble que l'on applique la règle de l'être et de l'avoir, donc on devrait dire "qu'il faut également accorder" ?

On ne voit aucunes structures rappelant un quelconque fossiles, je dirais une trace d'oxydation d'un nodule pyriteux Quelle taille ?

Effectivement ce n'est pas un sédiment simple, je te conseille de fragmenter le plus possible sur place, de tamiser à 5 mm pour éliminer les silex, puis de récolter ce qui passe en dessous, ensuite, tu pourra en le laissant tremper dans de l'eau bien chaude, et probablement de manière répétée, dissoudre une partie de la gangue, mais il est vrai que ces dents sont souvent très roulées, on est en bordure du bassin durant l'Yprésien, l'idéal est de procéder ainsi, mais avec les sédiments sableux Même faciès, en principe en dessous il y a un sable roux qu'il peux se révéler intéressant de tamiser

Bonjour En fait les fonds de tamis deviennent souvent intéressant à partir de 3 mm, donc je te conseille de persister dans ces fractions, ce sont les plus productives, entre 5 mm et 1 mm pour les espèces les plus intéressantes, après on peux encore descendre en taille pour les très petites espèces, Dasyatis, Rhinobatos, etc.... Voir sur mon site internet ou j'ai commencé à synthétiser l'ensemble de mes observations sur plus de 30 ans de fouilles dans le bassin parisien, le travail est toujours en cours, pour la réalisation des photos de tailles intermédiaires http://vertebresfossiles.free.fr/vertebres_bassin_parisien/intro_vertebres_bp.htm

Une autre, en attendant une possible réponse ?

Très bien, attend un peu au Museum ils sont parfois en déplacement et les réponses peuvent être longue à venir

Dents d'élasmobranches du Bassin parisien à identifier Pour commencer une dent qui est toujours pour moi en nomenclature ouverte, j'attends les propositions des spécialistes (j'ai eu quelques pistes ailleurs, que je conserve pour moi, pour ne pas influencer vos propositions) 1 seul spécimen de trouvé pour le moment

Les deux dernières, et la dernière pyro aussi

Petit test intéressant (pour moi entre autre) j'ai testé l'impression sur du laser couleur, au format A4 papier classique, c'est topissime, deux azurite et un autre minéral, je pense que sur du papier glacé, retouché cela doit être juste fantastique Bonne continuation

Bonjour Merci tu as tout à fait raison, je corrigerais les titres à l'avenir, comme je le dit tout le temps je suis toujours preneur de conseils me permettant d'améliorer mon travail

La piste donné par Fossilo19 me paraît intéressante, seul hic, le genre et l'espèce sont introuvable dans la base du MNHN de Paris, vu que c'est la base de référence des fossiles de France, entre autre, il est fort probable que le genre ai changé depuis la parution de la publication d'origine Seule référence au genre est lié à une espèce du Dévonien du Maroc (en moule interne) https://science.mnhn.fr/institution/mnhn/collection/f/item/r07582?listIndex=5&listCount=28

Tout est consultable directement sur le site Cossmann (voir la notice d'utilisation en français) http://cossmann.free.fr/Comment utiliser le site Cossmann.pdf gothicus = GA 201.5 Tu n'as pas besoin de refaire les photos, tu fais juste une rotation horaire avec l'outil Windows et tu l'enregistre Cela donne cela une fois terminé, 2 secondes par photos

Jolies coquilles, si tu pouvais mettre les pointes vers le haut et l'ouverture vers le bas, ce serait top Le numéro est un Denticulofusus gothicus (Deshayes, 1834) Le numéro 4 un classique de l'éocène Pterochelus contabulatus (LAMARCK, 1803) http://cossmann.free.fr/index.php?classe=gasteropodes&numero=&ancien_genre=&ancienne_espece=contabulatus&nouveau_genre=&nouvelle_espece=&inventeur=&submit=OK Le dernier est nettement moins commun, Ampullospira

Quelques Seraphs éocène, principalement du Lutétien, mais pas que

on voit de sacré améliorations !! surtout en ce qui concerne les arrières plans uniformes désormais bravo et bonne continuation à toi

Le plus simple est de passer sur la page Researchgate de Jean GAUDANT https://www.researchgate.net/scientific-contributions/Jean-Gaudant-2147336600 ou dans Géodiversitas https://sciencepress.mnhn.fr/fr/search/site/gaudant

Je ne connais pas ces faunes, la seule référence dont je dispose est assez ancienne et très généraliste, Christian Olliver, 1988 Sites fossilifères du sud-est de la France Sinon voir du coté de Jean GAUDANT qui à me semble t'il étudié les gisements de ce secteur géographique (voir dans la bibliographie sur ce PDF) https://sciencepress.mnhn.fr/fr/periodiques/geodiversitas/38/3/jean-gaudant-31-december-1939-6-december-2015-memoriam Article d'une page, paru en mars 1984 dans la revue Minéraux & Fossiles et cet autre article que je viens de mettre en PDF, scan brut pour l'occasion http://hybodus.free.fr/min_et_foss/gisement_sud__mars_1986.pdf

Belles dents !! on voit bien le capuchon en acrodine, caractéristique des actinoptérygiens Quel est le genre, Atherina ?

J'en avais posté d'un site du Lutétien moyen de l'Oise, mais ce beau cliché, vient compléter, ce sujet peu étudié, donc merci pour ta contribution Voir l'auteur Patrick GENOT, qui à étudié cette flore http://paleopolis.rediris.es/cg/BOOKS/CG2011_SP01/index.html http://geolfrance.brgm.fr/sites/default/files/upload/documents/revues_articles_gf4-1-1989.pdf

Autre solution, qui est je pense plus intéressante, faire une gangue autour du spécimen et le conserver comme tel jusqu'à la maison pour un dégagement optimisé

Je t'assure que l'odeur était intenable à chaque fois que j'y suis allé, et le site n'est pas sur Damval, mais Hadencourt le Haut Clocher, voir Infoterre https://www.mineralinfo.fr/Fiches/carmat/101374 A la fin il y avait des gravats et diverses cochonneries inertes, après exactement quoi ? je n'en sait rien Moi j'ai fait l'exact contraire, grosses fouilles au Guepelle, et rarement à Hadancourt, on ne peux pas être partout à la fois Une autre photo montrant le site plus largement

un lien qui est encore actif, mais pas pour longtemps je pense (son propriétaire, Phil fossiles, alias Philippe COOREMAN étant décédé il y a deux ans déjà) : http://paleomaniac.over-blog.com/article-3560848.html

Content que cela puisse t'aider, tiens voici des informations que j'ai compilés dans les années 80 sur les "reptiles du Trias Français) C'est un peu en vrac, car issue d'une base de données, et extraite au format .TXT Tu trouveras les noms des spécimens référencés dans diverses publications anciennes (et les lieux de découvertes, mais c'est ancien avant 1914 pour beaucoup de publications, donc il y a eu beaucoup de changement entre temps, cela reste une piste de réflexion pour trouver de nouveaux gisements SAUROPTERYGIENS NOTHOSAURIDES Nothosaurus giganteus Nothosaure TRIAS MUSCHELKALK TRIAS LETTENKOHLE Luneville 54 Chauffontaine Reg des Faucilles, Env de Contrexeville, Crainvilliers, Gircourt, Azerailles, Sarrebourg et Lorraine "Ce Nothosaure typique devait pêcher en mer et se reposer sur terre comme les phoques actuels. Il était mal adapté à la vie aquatique. Ses pattes avaient cinq doigts longs ; quelques spécimens bien conservés montrent que ceux-ci étaient palmés. Le corps, le cou et la queue étaient allongés et flexibles. La longueur des apophyses vertébrales de la queue suggère qu'elles portaient probablement une nageoire. Les mâchoires de Nothosaurus, longues et minces, aux dents acérées placées en quinconce, formaient un formidable piège àPoissons." SAUROPTERYGIENS NOTHOSAURIDES Nothosaurus munsteri Nothosaure TRIAS MUSCHELKALK Luneville 54 Rehainvilliers Azerailles, Golbey Nothosaurus schimperi Nothosaure TRIAS MUSCHELKALK Luneville 54 Ruaux Luxeuil et Muschelkalk en Lorraine SAUROPTERYGIENS NOTHOSAURIDES Nothosaurus mirabilis Nothosaure TRIAS LETTENKOHLE TRIAS MOY MUSCHELKALK Chauffontaine Reg des Faucilles Env de Contrexeville et Lorraine SAUROPTERYGIENS Simosaurus gaillardoti Nothosaure TRIAS LETTENKOHLE TRIAS MUSCHELKALK Luneville 54 Chauffontaine Azerailles, Gelacourt, Mont sur Meurthe, Rehainvillers et Contrexeville, Blainville SAUROPTERYGIENS NOTHOSAURIDES Lariosaurus balsami Nothosaure TRIAS LANDINIEN Amelie les Bains 66 Longueur du fossile 23 cm, cette pièce est cassée. PLACODONTES PLACOCHELIDES Placodus Agassiz gigas Placodonte TRIAS MUSCHELKALK Luneville 54 Vittel Azerailles et Gelacourt "Le crâne de Placodus montre le régime spécialisé de ce Reptile. Ses dents étaient parfaitement ates à croquer les crustacés. A l'avant des mâchoires, une zone de dents émoussées et protubér- antes lui permettait d'arracher les bivalves et les brachiopodes des rochers. Les dents postérieures, larges et plates, broyaient ces coquillages (d'où le nom de la famille, Placodontidés signifiant ""aux dents en plaque""). Même le palais était couvert de larges dents broyeuses. Cette formidable batterie de dents était actionnée par des muscles maxilliaires massifs, s'étendant au travers de la paire de fenêtres, de chaque côté du crâne, et donnant aux mâchoires toutes leur force. Placodus avait un petit corps trapu et son cou bref, ses membres s'attachaient latéralement comme ceux des premiers Reptiles ter- restres. Seules ses pattes palmées et sa queue longue, mince et aplatie transversalement, qui était probablement garnie d'une nageoire sur toute sa longueur, s'adaptaient parfaitement à la natation. Comme chez tout les Placodontes, une forte armure costale protégait tout le corps ventralement ; une crête osseuse longeait la colonne vertébrale et protégeait par-dessus cet animal au demeurant sans défense. Cette armure se développa chez les Placodontes." PLACODONTES PLACOCHELIDES Cyamodus Münster rostratus Placodonte TRIAS MUSCHELKALK Luneville 54 TANYSTROPHAEIDES Tanystrophaeus cf antiquus Nothosaure TRIAS MUSCHELKALK Luneville 54 "Le long cou des Protorosaures atteignit un maximum chez Tanystropheus. Il était plus long que le corps et la queue ensemble. Pourtant 10 vertèbres seulement le constituaient : àpeine 3 de plus que chez Protorosarus ; mais chacune était si allongée que, quand elles furent découvertes on les prit pour des os des membres. La forme de cet animal est si bizarre que certains paléontologistes ont cur qu'il vivait dans l'eau, pour porter ce long cou. Mais il ne montre aucune adaptation aquatique nette. Peut-être vivait-il sur le rivage, plongeant la tête pour attraper des poissons et des crustacés qu'il croquait avec ses dents crantées."