Le problème est bien que je n'ai jamais affirmé quoi que ce soit, je n'ai jamais dit que je connaissais le site car je ne le connais pas, etc... J'ai simplement posé une question qui me semblait légitime. Un esprit normalement constitué aurait calmement répondu sans polémique ce que grosso modo tu as dit, même si on peut douter de certains points mais ça n'a guère d'importance. Au lieu de ça tu es parti dans des délires invraisemblables, te sentant mis en accusation (je n'arrive pas à voir en quoi ma question de départ est une accusation), tu m'invectives, me traites de tous les noms, affirmes également des choses erronées sur mon compte alors qu'on ne se connait absolument pas, etc...
Tu me traites de bourgeois: Ça veut dire quoi, c'est quoi un bourgeois ? Mon grand-père maternel était jardinier à la ville de Paris, ma grand-mère aide soignante, mon grand-père paternel était coursier et ma grand-mère concierge: c'est de la haute bourgeoisie tout ça ? Qu'est ce que ça veut dire ces délires ? T'es jaloux ? De quoi ?
Tu critique mes soi-disantes méconnaissances scientifiques, je te réponds en t'expliquant que j'ai eu une formation et des activités purement scientifiques et tu repars dans des délires.
Je te parle de la FFAMP et de son code de déontologie et tu réponds que 80% des membres de la FFAMP vendent. Il y a de nombreuses années que je n'y suis plus et il est vrai qu'à l'époque l'exemple donné par certains membres importants de la FFAMP était bien loin du code qu'ils prônaient, mais il est faux de dire que 80% des membres vendaient. Par contre il est clair que ce sujet est certainement le point qui explique le mieux pourquoi la FFAMP est en voie de disparition. Les gens veulent pouvoir vendre, alors ils quittent la FFAMP, ça a été ma démarche et c'est celle de beaucoup. J'ai connu des membres de la FFAMP qui participaient aux sorties FFAMP et qui ensuite vendaient leurs trouvailles à ces sorties sur les salons, tout en continuant à adhérer à la FFAMP. Il fallait quand même le faire !
STP restons en là et arrêtons ces délires stériles