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Plateforme Offshore


Messages recommandés

1500 sites Plate-forme Offshore dans le monde ...

C'est pas une découverte !

une catastrophe d'importance sans précédent, actuellement.... et pas un ingénieur pour trouver une solution

(Aurions-nous omis le risque ... ? les gens qui pensent ?)

Dans cette "Empire financier", cette socièté privée aux capitaux colossaux ...

Et l'état américain dans tout cela ... qui se mobilise même pas !!!

Une catastrophe écologique sans précédent et toujours NON MAITRISABLE

800 000 litres de brute par jour depuis plus d'1 mois !

A croire que "L'abus de pétrole ne nuit pas à la vie " On est entrain de rayer de la carte des dizaines d'écosystèmes et des espèces endémiques ...

Mon analyse:

ANTICIPATION: ZERO

MOTIVATION: ARGENT UNIQUEMENT / RISQUE ENVIRONNEMENTALE, on s'en fou !!!

RESULTAT ACTUEL: INCAPACITE A TROUVER UNE SOLUTION

MON ETAT ESPRIT ACTUEL : PUANT / VOMIR

Bon je me calme... :siffler:;):triste:

Extrait Wikipedia pour la définition du plate-forme Offshore:

Pour la définition

Une plate-forme pétrolière est une construction marine fixe ou flottante qui sert à l'exploitation d'un gisement pétrolier.

Elle supporte principalement les dispositifs nécessaires pour la phase de forage d'extraction du pétrole, ainsi que parfois des équipements destinés à assurer une présence humaine à bord. Certaines plates-formes permettent également de transformer le pétrole extrait de façon à ce qu'il soit plus facile à transporter et à exporter.

Historique

Les premières plates-formes sont celles du Golfe du Mexique sur les côtes du Texas. Ces plates-formes sont situées dans une très faible profondeur d'eau et n'ont pour seule fonction que d'être une tête de puits. Elles sont le prolongement de ce qui avait alors été développé à terre.

Lors du premier choc pétrolier en 1973, les gouvernements européens se posent la question de leur indépendance vis-à-vis des pays du Golfe Persique. Il devient indispensable pour eux de développer l'exploitation des champs pétroliers et gazifères de la Mer du Nord.

Le Royaume-Uni et la Norvège se sont donc lancés dans le développement de techniques de forage et de production offshore (loin des côtes, en haute mer). Les compagnies pétrolières européennes, avec l'aide des ingénieries du monde entier développent des programmes de recherche qui aboutissent à la construction des premières plates-formes pétrolières et au développement des techniques de forage depuis un engin flottant.

Le défi est d'autant plus grand que la Mer du Nord est une mer particulièrement hostile. Le climat est rude pendant six mois de l'année : lors des tempêtes, la hauteur des vagues, de leur crête à leur creux, peut atteindre plus de trente mètres (soit l'équivalent d'un immeuble de dix étages). Situées loin des côtes, ces plates-formes doivent abriter des hommes pour en assurer l'exploitation.

Les normes de sécurité liées à la fabrication, l'installation et la mise en œuvre de ces plates-formes sont développées pendant les années 1970-80 à la suite de différents accidents. Les mentalités dans le monde de l'exploitation offshore changent radicalement après les accidents des plates-formes Alexander Kielland (qui causa la mort de 123 personnes) en 1980 et Piper-Alpha (qui coûta la vie à 167 personnes) en 1988.

Une fois les technologies offshores maîtrisées et développées en Mer du Nord, la porte est ouverte à l'exploration et l'exploitation dans toutes les mers du globe. Actuellement, on trouve des plates-formes pétrolières dans les régions suivantes :

• Mer du Nord

• Golfe Persique

• Golfe de Guinée

• Mer de Chine

• Mer Méditerranée

• Mer Caspienne

• Côtes du Brésil

• Golfe du Mexique, le long des côtes américaines et en baie de Campêche (Mexique)

• Côtes Nord-Ouest et sud-est de l'Australie

• Côtes de la Malaisie, Brunei et certaines parties de l'Archipel Indonésien.

• Littoral atlantique canadien, à 350 km de Terre-Neuve (Hibernia, White Rose)

Les techniques de forage et les techniques de constructions ayant évolué, les grandes profondeurs d'eau (>1000 m) sont maintenant accessibles et exploitables à des coûts raisonnables. Les plates-formes se transforment alors en navires et il est de plus en plus souvent envisagé de créer des exploitations sous-marines automatiques.

Au regard des législations actuelles, il existe 3 types de plates-formes :

• les MODU (module offshore drilling unit) servant uniquement au forage et pouvant loger du personnel ;

• les PP (Production Platform) servant à la production et/ou au pré-traitement du brut, mais sans logement ;

• le LQ (living quarters) servant uniquement au logement, et où tout stockage / transit d'hydrocarbure est interdit pour raisons de sécurité.

Les différents types de plates-formes

Le choix entre les différents types de plates-formes se fait en fonction de leur rôle ainsi que l'environnement (profondeur d'eau, conditions marines...).

Une plate-forme est généralement composée de deux parties distinctes :

• les « topsides » (partie utile en surface), constituée de modules préfabriqués

• la structure porteuse : partie servant à maintenir la partie utile au-dessus de l'eau, réalisée en treillis tubulaire métallique, (jacket) ou constituée de colonnes en béton.

Les plates-formes fixes

La plupart des plates-formes fixes sont utilisées en mer peu profonde (<300 m). Différentes techniques de construction existent, comme par exemple :

• jacket-deck

• plate-forme gravitaire

• compliant tower

• îles artificielles

Ces plates formes s'appuient sur le fond et peuvent donc être reliées de façon rigide aux têtes de puits et aux pipelines.

Les unités flottantes

Les plates-formes flottantes sont essentiellement utilisées pour l'exploitation de champs pétroliers dans les grands fonds (supérieurs à 300 mètres environ). Lorsque la plate-forme est flottante, les installations de tête de puits lui sont reliées par des conduites flexibles.

• FSO = Unité flottante de stockage et embarquement (Floating Storage and Offloading). Il s'agit en fait d'un tanker transformé, qui stocke du pétrole (venant d'autres plates-formes, ou parfois de production onshore) et charge les pétroliers de commerce.

• FPU = Unité flottante de production (Floating Production Unit). C'est une barge qui reçoit le pétrole et le gaz du fond pour les traiter (séparer l'huile, le gaz et l'eau par exemple) avant de les envoyer vers une unité de stockage (FSO) ou vers un pipeline d'exportation.

• FPSO = Unité flottante de production, stockage et de déchargement (Floating Production Storage and Offloading) : similaire à un FSO, mais intégrant aussi la production. C'est une solution en vogue pour le développement des gisements en eau profonde. Les FPSO présentent deux avantages majeurs : ils n'ont pas besoin d'infrastructures fixes (comme des pipelines) et sont redéployables (lorsque le gisement est épuisé, ils peuvent être repositionnés sur un autre).

• TLP, SPAR, Semi-Submersibles : il s'agit là de plates-formes plus classiques, en ce sens qu'elles n'intègrent que la production et sont reliés à des pipelines pour l'exportation du gaz et/ou du pétrole produit. Les TLP (tension leg platforms) possèdent un excès de flottabilité et sont maintenues en place par des câbles tendus les reliant au fond. Les plates-formes semi-submersibles s'enfoncent dans l'eau en remplissant des ballasts, ce qui les rend peu vulnérables à la houle. Les SPAR reposent sur un énorme flotteur cylindrique.

• Pour des gisements importants, on combine parfois plusieurs solutions : par exemple, une plate-forme TLP qui produit le pétrole et une FSO pour stocker et exporter le pétrole.

Les plates-formes mobiles

• Plates-formes auto-élévatrices (jack-up) : ce sont des plates-formes composées d'une coque et de jambes. La coque leur permet de se déplacer par flottaison et supporte les utilités. Les jambes sont équipées de crémaillères leur permettant de se lever ou de s'abaisser le long de la coque. De cette façon ces plates-formes peuvent se déployer à de multiples endroits tout en ayant un appui sur le sol. Ce concept est limité à des profondeurs d'eau de l'ordre d'une centaine de mètres. La majeure partie des plates-formes auto-élévatrices sont des plates-formes de forage et sont utilisées pour de l'exploration ou pour le forage de puits autour de plates-formes qui ne sont pas équipées d'engin de forage. Il existe aussi quelques-unes de ces plates-formes qui servent de boatel, hôtel flottant permettant de loger des équipes qui travaillent en mer.

• Semi-sub : ensemble composé de 3 parties distinctes : le flotteur qui se trouve immergé, les poutres à mi-eau et le pont qui doit se trouver plus haut que la « vague centenaire ». Cet ensemble en équilibre comme un ludion fonctionne grâce à des pompes à eau de mer qui maintiennent en permanence l'équilibre vertical, et des hélices multi-directionnelles ou des ancres qui maintiennent le positionnement horizontal au-dessus du puits. Ce type de plate-forme est utilisée pour des profondeurs allant de 100 à 1000 mètres, ou pour des zones ou le fond marin ne permet pas de poser les pieds d'un jack-up que ce soit vase molle ou rochers déstabilises

• Swamp-barge : bateaux à fond plat que l'on « coule » sur place en remplissant les caissons d'eau de mer. Après forage, on vide les caissons et le bateau peut aller forer ailleurs. Sert dans de très faibles profondeurs, entre 1 et 7 mètres, ce qui lui vaut le nom de swamp, marais en anglais

Les critères de conception

Fonctionnalités

Une plate-forme pétrolière est conçue pour répondre à différents besoins :

• forage (mais pas obligatoirement bien sûr, car il existe actuellement des organes spéciaux pour le forage) ;

• production ;

• habitation (qui dépend de plate-forme effectivement) ;

• stockage (bien que certaines acheminent vers des organes de stockage après pompage).

En fonction de la profondeur d'eau et des règles de sécurité, ces fonctions peuvent être regroupées sur une même plate-forme ou séparées sur plusieurs plates-formes reliées entre elles par des passerelles.

Procédés

Une fois le pétrole amené à la surface, il faut séparer les phases liquides et gazeuses, enlever l'eau de la phase liquide. Une fois le gaz et le pétrole séparés, il faut les rendre propres au transport par pipeline ou par tanker pour les acheminer vers une raffinerie.

Le coût d'une usine en pleine mer est tel qu'on préfère souvent effectuer un traitement limité sur le pétrole ou le gaz extrait uniquement destiné à le rendre transportable jusqu'à la côte, où on construit une usine de raffinage plus développée à moindre frais.

Environnement

Un des critères dominants dans la conception de la plate-forme est l'environnement dans lequel elle se trouve. Le milieu marin est par nature hostile, en raison de son instabilité (marées, tempêtes, courants, vent...) et de la corrosion qu'il provoque. L'environnement va surtout influer sur la conception de la structure porteuse de la plate-forme (que ce soit une plate-forme posée sur le sol ou flottante). La structure porteuse de la plate-forme doit, outre le poids des « topsides », transmettre au sol les efforts induits par son environnement.

• Environnement marin

La houle, le courant et le vent induisent des efforts horizontaux sur les plates-formes fixes et des mouvements et accélérations sur les plates-formes flottantes. La houle induit également des efforts verticaux sur les plates-formes.

L'eau salée est une source de corrosion pour les matériaux (et notamment l'acier) utilisé dans la plate-forme.

• Conditions sismiques

La plupart des sites producteurs de pétrole sont situés en zone à fort risque sismique. La plate-forme, quand elle est fixe, doit alors pouvoir survivre à ces événements.

• Sol

Le sol joue un rôle très important dans la conception d'une plate-forme fixe. La plate-forme repose sur le sol et doit donc comporter des fondations. Dans le cas d'une plateforme flottante, le sol est moins important car il ne sert qu'à l'ancrage.

Durée de vie

La durée de vie moyenne d'un champ est de l'ordre de 20 à 30 ans. Elle est directement liée aux critères économiques du champ (retour sur investissement...).

Pour améliorer la durée de vie économique, on fait souvent appel au développement de gisements satellites. Quand le gisement pour lequel une plate-forme a été construite voit sa production décliner fortement, les moyens dont elle dispose pour traiter le pétrole se retrouvent surdimensionnés. De plus, il devient difficile de rentabiliser les coûts d'exploitation. On peut alors rattacher à la plate-forme des petits gisements voisins, en général trop petits pour justifier une plate-forme dédiée.

Construction

La construction des plates-formes se fait à terre ou, comme en Norvège, dans des fjords spécialement aménagés. (à développer)

Installation

La plate-forme est ensuite tractée sur son lieu d'exploitation au moyen de puissants remorqueurs de haute mer, et plus récemment par des navires de ravitaillement offshore qui ont également la possibilité de remorquer les plates-formes. Une autre solution, plus courante en cas de long voyage ou de chargement spécial, est d'utiliser un navire semi-submersible tel que le Blue Marlin. Sur le lieu d'installation, le navire se submerge partiellement, libérant sa charge, qui flotte alors d'elle même. Dans certains cas, un navire équipé de grues gigantesques est utilisé pour décharger le navire de transport. Les SPAR sont transportées de cette façon en deux éléments qui sont alors assemblés offshore.

Une fois sur son lieu d'exploitation, la plate-forme est prise en charge par des navires ravitailleurs et releveurs d'ancres dit AHTS (Anchor Handling Tug Supply) qui s'occuperont de la mettre en place de façon provisoire pour le forage ou de manière permanente pour l'exploitation, puis de la ravitailler en produits et matériels de forage.

Fin de vie

Selon les législations nationales et internationales, les compagnies pétrolières sont dans l'obligation de démanteler ces plates-formes lorsqu'elles ne sont plus utilisées.

Les premières plates-formes ont été installées pendant les années 1970. Elles arrivent maintenant en fin de vie, comme par exemple dans le champ pétrolifère de Frigg exploité par Total, qui va être un des premiers gros champs à se trouver dans cette situation.

L'opération de démantèlement des plates-formes de ce champ devrait être réalisée courant 2006. Le nouveau défi des ingénieurs va donc être de démonter ces milliers de tonnes d'acier et d'équipements et de les ramener à terre, tout en essayant de respecter les contraintes de protection de l'environnement.

Certaines plates-formes ne sont pas démantelées et restent en l'état, les compagnies pouvant les revendre à des tiers. De telles plates-formes, lorsqu'elles sont dans les eaux internationales, intéressent les acheteurs parce qu'elles constituent des îles artificielles. Certains nouveaux propriétaires de telles installations en ont fait ou tentent d'en faire des paradis fiscaux ou des micro-états indépendants dont la législation (lorsqu'elle existe) peut se montrer laxiste à de nombreux égards (sur la liberté d'expression notamment)1.

Les structures porteuses (la partie dépliable située sous le niveau de la mer) de quelques plates-formes du golfe du Mexique ont connu un destin original : elles ont été remorquées jusqu'à des barrières de corail, ou simplement laissées en place si elles se trouvaient déjà dans une zone favorable. Elles fournissent un support favorable à la croissance des coraux et donnent ainsi naissance à des récifs coralliens.

De manière anecdotique, le caractère mobile et massif des plates-formes pétrolières permet leur utilisation comme plate-forme de tir de lanceurs spatiaux. Par exemple, la plate-forme Ocean Odyssey, une ancienne plate-forme pétrolière de la mer du Nord a été réaménagée en Norvège (chantiers Stavanger) de manière à pouvoir accueillir le lanceur Zenit 3SL. Ce dernier permet, en autres, la mise en orbite de satellites civils de télécommunications. Grâce à ce concept original, Sea Launch, la compagnie exploitant ce lanceur est devenue un des acteurs important du marché des lanceurs civils[réf. nécessaire]. En effet, malgré l’inconvénient que représente l’acheminement du lanceur et des équipement annexes jusqu’à la plate-forme, les principaux avantages résident précisément dans son isolement, ainsi que la possibilité d’optimiser le positionnement du pas de tir par rapport à la mission du lanceur : sur l’équateur pour bénéficier de l’effet de Fronde, éloignée des côtes pour les retombées des étages inférieurs, etc. On peut aussi citer la plate-forme San Marco qui servit pour des tirs de fusées sondes italo-américaines dans les années 1960 à 1980

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Un seul dogme : Le profit immédiat !

Une seule religion : Le fric !

Une seule doctrine "Après moi le néant"!

Quand on voit les efforts enfantins de ces guignols on se dit presque avec philosophie : "Et encore, ce n'est "que" du pétrole!"

Mais appelez Mac Gyver bande de tanches, il va vous colmater ça avec un chewingum ! :desole:

Lamentable ! A vous filer le bourdon...Et tout ça pour assurer un confort éphémère et illusoire à des millions d'individus esclaves de ce même confort...!

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Créer le besoin ... , entretenir la notion d'appartenance à un groupe ... et puis assouvir les populations...

Une manipulation savamment orchestré, ... j'adore la manipulation !! ;) ... :gratte-tete:

Mais quand le système s'effrite...

....vaut mieux éviter les "apéros Géants" :ye!:

... c'est jamais bon, les gens qui se rassemblent...

...Y parlent trop... et se remontent la tête ....

...Vaut mieux vivre en mouton paisible :P :ye!:

"Austérité et crainte ", une nouvelle "ére économique" vient de naître sur le Vieux Continent ...

Nos civilications " Méditerranénnes" sont toutes dans le déclin et pour longtemps...

L'avenir est en Chine ! et rien n'y fera ... c'est écrit !

L'Afrique reste à prendre dans l'échiquier du pouvoir... mais la Chine a déjà bien entamé le sujet ...

L'Europe bricole ....et pourtant ce serait peut être une opportunité de retrouver de la compétitivité en délocalisant là bas ... et ainsi d'améliorer leur quotidien et pour nous de pouvoir espérer reprise de la croissance capitalste ! , "seul moyen de survivre" ;

... certes... une discussion de bistrot aussi .. mais qui peut mériter une réponse si quelqu'un est inspiré ...?

:question:

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Oui, bon, bof… le pétrole : que celui qui n'en a jamais consommé me jette la première goutte !

Gros ou petits on est tous fautifs : ceux qui nous plument autant que nous que l'on plume… depuis que le monde est monde (et pour les oreillers, depuis que certains dinosaures ont inventé la plume - des mâles, sans doute, pour épater les femelles…).

Ce n'est pas mieux à l'époque et civilisation du bois (bonjour les déforestations) ; pas mieux à celle du charbon (…) ; ce n'est pas mieux avec l'atome ! Je conviens de la gravité de la chose ; mais nous nous désolons en petits êtres humains anthropocentriques ! Réfléchissons : depuis que la Terre est Terre, il y a eu des avants-nous… n'en doutons pas, avant que la Terre ne soit plus Terre, il y aura des après-nous !

À quoi ressembleront-ils ? De quelle forme de vie seront-ils les héritiers ? Peut-être de quelque bactérie qui saura se régaler goulûment du pétrole que Monsieur Bépé et consort lui aura si généreusement fourni…

Allez, on garde le moral ! (a-t-on le choix ?)

À+

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ERRATUM

"

Une catastrophe écologique sans précédent et toujours NON MAITRISABLE

800 000 litres de brute par jour depuis plus d'1 mois !

A croire que "L'abus de pétrole ne nuit pas à la vie " On est entrain de rayer de la carte des dizaines d'écosystèmes et des espèces endémiques ..."

En faîte c'est pas 800 000 litres par jour, c'est à priori 2,4 millions de litres par jour !!!

Nous sommes le mardi 1 juin et cela coule comme au premier jour !

:sourire:B)

Alors les gens qui pensent et qui inventent ??? y font quoi ... tout petits .... c'est la réaction non maitrisable qu'ils viennent de déclencher... Ils sont dépassées par l'ampleur de leurs conneries ... et c'est pas prévu dans leur cerveau-système-pompe à fric ...

Pauvre con... l'humain !

juste bon à consommer !

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  • 2 semaines après...

Nous sommes désormais le samedi 12 juin 2010 et toujours rien d'efficace de fait !!!!!!!!!!

C'est comme au premier jour sauf que c'est encore bien pire que tout ce que nous pouvions imaginer...heureusement que le mondiale de FOOT débute... c'est l'occasion d'étouffer le problème ..

:grand sourire::clin-oeil::desole:

voici les dernières news, récupéré sur cyberpresse:

"Les autorités américaines estiment que la fuite de brut dans le golfe du Mexique est deux fois plus importante que ce qu'on redoutait jusqu'ici, un nouveau coup dur pour BP qui devrait annoncer prochainement la suspension du paiement des dividendes à ses actionnaires.

Le groupe britannique, qui subit la colère croissante des responsables américains, devrait faire cette annonce dès la semaine prochaine, a rapporté vendredi la BBC.

Cette suspension ne devrait toutefois pas être annoncée avant une rencontre entre la direction du géant pétrolier et le président américain Barack Obama mercredi, précise la BBC.

40 000 barils de pétrole par jour

Jusqu'à 40 000 barils de pétrole -quelque 5260 tonnes- se déversent chaque jour dans le golfe du Mexique, selon l'estimation haute des experts mandatés par l'administration américaine pour évaluer l'ampleur de la fuite. L'estimation basse tourne autour de 20 000 barils.

La précédente estimation faisait état d'un écoulement allant de 12 000 à 19 000 barils par jour.

A titre de comparaison, en tenant compte de la fourchette haute, c'est comme si tous les quatre jours un Erika coulait. Le naufrage du pétrolier au large des côtes françaises en 1999, avait souillé 400 km de côtes et mazouté environ 150 000 oiseaux. Quelque 20 000 tonnes de brut s'en étaient échappées.

La plateforme Deepwater Horizon, qu'exploitait BP à 80 km des côtes américaines, a coulé il y a sept semaines provoquant la pire marée noire jamais vue aux Etats-Unis.

L'évaluation des autorités américaines a été réalisée avant la pose le 3 juin d'un entonnoir destiné à contenir le brut sortant du puits situé à 1500 m de profondeur.

BP récupère actuellement 15 000 barils de brut par jour grâce à cet entonnoir, et celui-ci est transporté à bord d'un navire en surface. La capacité maximale de récupération est de 28 000 barils par jour, mais le groupe espère la porter à entre 40 000 et 50 000 barils en envoyant de nouveaux navires sur place.

Des relations politiques polluées

Cette marée noire commence aussi à polluer les relations diplomatiques américano-britanniques. Barack Obama a violemment critiqué cette semaine le géant pétrolier, provoquant une levée de boucliers au Royaume-Uni.

Le nouveau Premier ministre britannique David Cameron, qui se vante de cultiver avec les Etats-Unis une «relation spéciale», a dû monter au créneau, indiquant qu'il évoquerait la marée noire lors d'un coup de téléphone à Barack Obama ce week-end.

Il s'est entretenu vendredi après-midi au téléphone avec le président de BP Carl-Henric Svanberg, lui disant qu'il était «inquiet» de la pollution et que BP devait rester «financièrement solide».

Les dividendes du groupe représentent une manne pour des millions de retraités britanniques actionnaires du groupe, qui a déjà perdu près de 50% de sa valeur en Bourse.

La Maison Blanche a confirmé vendredi que Barack Obama rencontrerait mercredi M. Svanberg, convoqué à une réunion sur la marée noire.

De son côté, l'Union européenne s'est dite prête à envoyer aux Etats-Unis de nouveaux équipements spécialisés dans la récupération de pétrole.

Sur place, les habitants des zones sinistrées, où doit se rendre M. Obama en début de semaine et pour la quatrième fois depuis le début de la catastrophe, s'alarment du moratoire sur la prospection en mer décrété par le président américain. Ils redoutent qu'une telle mesure n'enfonce davantage dans la crise l'économie locale, très dépendante du pétrole."

Alors les NEUNEUs : on ne maîtrise toujours rien ,... ???? je vous aime !!!

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  • 4 mois après...

Bonjour à tous,

Ayant travailler pendant deux sur des plates formes offshore il y a un truc que je n'ai pas compris !

J'ai bosser entre autres sur des installations de vannes de sécurité qui de mémoir s'appellaient "E Z TREE" et leur tâche consistait à se refermer en cas de "décapitation " de plate forme soit par le choce d'un bateau (bien que la zone soit interdite) soit par tempete ou enfin par tout autre probleme de sécurité mettant la ,plate forme hors service.

C'etait assez simple on équipait la "completion" (train de tige + divers appareils intercalés dessus) de cette vanne qui était ouverte par pression hydraulique ou pneumatique venant du haut (plate forme).

En cas de coupure, rupture, arrachement et bien la vanne n'était plus alimentée et se refermait toute seule aidée de surcroît par la pression du puits.

Celle-ci était bien sûr placée SOUS le sol et rien n'aurait pu la toucher en cas de probleme !

Pour finir, je n'ai pas compris pourquoi ces plates formes ne sont pas équipées de ce systeme de sécurite qui a dû evolué en mieux de surcroit depuis le temps ....... !!!

Donc je n'ai pas compris cela et un autre truc en plus .... pourquoi personne (ingenieurs, journalistes specialisées, etc ... ) n'en ont pas parlé ????

Serait 'on "manipulés " ???

Serge

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mais non .......

enfin, c'est ce qu'on veut nous faire croire.

à+

Gadin

Ouais !! ca craint !!!

Je suis etonne qu'il n'y ait pas de journaliste specialisé dans ces choses là !

Par contre pour ecrire que Mireille Mathieu a pris un kilo, ou que Johnny fume des joints Cà ca fonctionne bien !

Cesar disait qu'il fallait donner des jeux et je ne sais plus quoi pour que le peuple reste tranquille et bien nous on a la tele et les "reality show" et les journaux comme G.... etc ... pour les petits potins et le reste c'est l'affaire des "autres" (quels qu'ils soient d'ailleurs !) .

Et le pire c'est que ca dure depuis des lustres toute tendance politique confondue !

On a rien a envier aux Russes et je disais que finalement nous étions comme eux sur le plan de l'information sauf que eux savent que on leur raconte des bobards et nous on croit que non soi disant à cause du fait qu'on est en démocratie !

Bon j'arrete de bavarder on dirait Fidel Castro .... (les burnes) !! :grand sourire:

A +

Serge :surpris:

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Salut Serge,

du pain et des jeux.

et comme tu le fais remarquer, ça n'a pas changé.

le journalisme, celui de grand-papa, s'est transformé en communication.

j'ai eu une petite discussion d'une cordialité exemplaire au sujet de la différence entre information et communication avec une chargé de com. de "ma boîte" .... et ben, j'ai pas marqué des points en lui balançant qu'elle manquait totalement d'objectivité :surpris: .

c'est pas trop le sujet ici, donc je m'arrête illico-presto avant de provoquer, involontairement off course, la suppression de ce post.

à+, bon appétit

Gadin

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