Quaternaire

Ce qui est remarquable c'est ce que dit la carte de cette formations en gros: grès présenrant des clastes anguleux à la base, formation mal identifiée mais attribué à de l'éolien. Formation adossées aux versants. Épaisseur jusqu’à 10m. Pas de datation mais attribuée arbitrairement (Next tu connais ces datation relative des quaternaristes) dans une fourchette Holocène à pléistocène sup. Bon faut qu'on m'explique comment les ckast anguleux de la base on une origine éolinene Je n'y crois pas...

Faire le test sur les "poissons"? Quelle est la géométrie de ces "poissons", est ce plutôt en 2D ou alors une coupe d'une objet en 3D a alors de soucoupe volante? Dans ce cas cela ne pourait pas être un genre d'orbitoïdes de la série du Grés de Marboré? ou plus recent. Autre hypothese, Lepidocyclinidé...en tout cas cela fait penser a des formams géants.

Salut, des chercheurs s’intéressant au grès et aux paysages gréseux ainsi que la biodiversité inféodées aux grès, se réunissent de temps à autre pour un colloque appelé "Sandstone Landscape in Europe". Voici le lien: http://www.sandstones.org/s_conf.htm Voici l'acet de l'édition de 2005 au Luxembourg: http://ps.mnhn.lu/ferrantia/publications/Ferrantia44.pdf

Non, ce n'est pas une patine. La patine du désert est très peu épaisse elle est formée par des argiles et oxyde de fer et manganèse. Dans notre cas, c'est assez épais. Les patines ont une origine multiples, dépôts d'argiles éoliennes, oxydation, etc..voir ici : http://www3.wooster....is/Meredith.pdf On ne peux pas parler de paleosol non plus dans le cas de la vrai patine, il n'a y pas de phénomène pédogénétique mais plutôt de l'alteration et du dépôt, c'est un phénomène que je ne saurais vraiment classer.

Entre les cartes geols qui pourraient avoir des erreurs (objet de ce post) et maintenant les cartes topo, euh...de 2 choses l'une soit les cartographes (geol et topo) catalans sont un peu trop proches de bistrots soit c'est Alain qui se trompe de secteur d’étude ou lui même est tombé sur les mêmes bistrots

Ce que tu apelles "sédiments terreux" n'est rien d'autre que l'horizon organo-mineral appelé A sur la roche schisteuse apellée R. On a donc un sol type rankosol A/R, sol peu developpé et superficiel.

Ce que tu apelles "sédiments terreux" n'est rien d'autre que l'horizon organo-mineral appelé A sur la roche schisteuse apellée R. On a donc un sol type rankosol A/R, sol peu developpé et superficiel.

Ta dernière image résume ce que je voyais également, il y a un changement de pente avec ces replats, possibles terrasse d'abrasion (de dépôts) marine quaternaire

Bon je vois un peu une rupture de pente sur ta copie d'ecran qui semble exister au deuxième plan, il faudrait voir la carte topo plutôt. Si il y a des replats a des altitudes identiques il est possible que cela soit d'ancienne surface d’érosion marine, mais la c'est pour la théorie.

je ne peux rien dire vu d'ici...

salut, verifies si cela n'est pas des dépôts superficiel quaternaire de pente analogue a ceux de ton post "Est ce bien un granite?" http://www.geoforum.fr/topic/21033-est-ce-bien-un-granite/page__view__findpost__p__340777

Ok Next, tu nous fais la biblio complete de la region et tout monte cela en powerpoint, d'ac... N'oublie pas que t'as du boulot sur des sables aussi un peu plus au nord de la catalogne...

Pas mieux, pour évoquer une fusion il faudrait en être sur, ce n'est pas le cas...N'est ce pas plutôt un revêtement ferrugineux d'origine pedogenetique (iron duricrust)?

Pli lié à un courant cisaillant appelé instabilité de Kelvin Helmotz. La cause de ces convolutes est donc liée une différence de vitesse d’écoulement du sediment dont la génèse peut être un événement sismique, on pourrait classé ce plis alors dans les séismites. Observé dans des dépôts quaternaires marins du Maroc. PS: noter la présence de Hummocky Cross stratification au dessus de la surface d'érosion

Bonjour, un lien qui peut vous intéresser: http://wwz.ifremer.fr/institut/Travailler-a-l-Ifremer/Formations/Chercheur-ingenieur

OFFRE DE STAGE Niveau M2 / Ingénieur fin d’études Titre : Caractérisation de la variabilité spatiale des propriétés de transfert et modélisation Application aux parcelles PIC du site expérimental de l’INRA d’Epoisses Contexte : Dans le but de diminuer l’usage des pesticides, des systèmes de culture innovants ont été mis en oeuvre sur le domaine expérimental de l’INRA Dijon-Epoisses. Ces systèmes innovants modifient les itinéraires culturaux classiques et incluent des techniques culturales alternatives qui peuvent avoir des impacts sur les propriétés chimiques, physiques et biologiques du sol. Les pratiques agronomiques alternatives en réduisant la fréquence des traitements, les dates de traitement et la nature des molécules, affectent le devenir et le comportement des pesticides dans les sols. De plus, les techniques de travail du sol (semis direct vs. labour) peuvent avoir un impact important sur le drainage et le transfert des molécules organiques en profondeur. Il est donc important, pour évaluer les systèmes de culture à bas intrants en pesticides, d’être en mesure de quantifier les pertes en direction des eaux superficielles et profondes, quantification qui sera réalisée via l’installation de micro-lysimètres. Ainsi, un travail de caractérisation de la variabilité spatiale des propriétés physiques des sols et des propriétés de transfert est nécessaire et permettra dans un deuxième temps la calibration de modèle de transfert (Agriflux, Hydrus 2D…). Description du stage : Le travail qui est proposé s’appuiera sur le dispositif PIC (protection intégrée des cultures) de l’INRA de Dijon-Epoisses. Il se déroulera en plusieurs étapes : - Prise de connaissance de l’ensemble des données déjà collectées sur le site ; - Valorisation de la campagne de mesure de tomographie électrique et des données déjà acquises en 2010 et 2011 sous forme de cartographie des sols ; - Planification et mise en oeuvre d’un campagne d’échantillonnage en vue d’améliorer la cartographie des sols ; - Mise en oeuvre d’une campagne de mesure des propriétés hydriques des sols en complément des données déjà acquises : La conductivité hydraulique in situ et la réserve utile sur échantillons de sol non remanié seront déterminées pour chaque horizon de sol ; - Modélisation des flux hydriques dans la ou les parcelles étudiées via un modèle adapté (Agriflux, Hydrus 2D…). Compétences requises / profil : Niveau M2, ou stage fin d’études des Ecoles d’ingénieur Bonne connaissance en science du sol Bases en géophysique, agronomie, modélisation (expérience en modélisation appréciée) Goût pour le travail de terrain et de laboratoire et pour la modélisation informatique Autonomie, sens du relationnel, capacités d’analyse et de synthèse, aptitude à l’expression écrite et orale Permis B obligatoire Conditions de travail : Lieu : AgroSup Dijon Durée de 5 à 6 mois Gratification 417 €/mois Résidence et restaurant universitaire à proximité Contact : Bernard NICOLARDOT AgroSup Dijon, 26, Bd Dr Petitjean - BP 87999, 21079 DIJON cedex Tel : 03 80 77 23 48 - Fax : 03 80 77 25 51 Mail : b.nicolardot@agrosupdijon.fr

Bonjour, je ne decourage pas , j'encourage plutôt à definir les termes...peu être l'avaz vous pris de manière un peu sèche, si c'est le cas c'est le problème des echanges sur un forum ... oui les polluants se diffusent dans le milieu saturé et non saturé et pas seulements dans le sol, je préfère d'ailleurs le terme sites pollués puisque le sol à une définition précise pour les pédologues. Mon expression n'est pas cavalière car la plupart des personnes confondent le sol, le regolithe, le sous-sol...ces termes sont précis. Parler de sol alors qu'en réalité vous parler du sous-sol, ou d'une zone non saturé ou saturé par l'eau, n'est pas une chose à faire, cela contribue au flou scientifique. Cela dit je respecte cette "industrie" qui est nécessaire, je demande juste un peu de rigueur sur les termes... J'imagine que vous avez la même rigueur sur des termes chimiques Cordialement

Salut, je réponds a la questions 2..bon il y va un peu fort le promeneur du coin, si il est vrai que c'est un très beau site et un bel exemple d'anticlinal couché, ce n'est pas unique au monde... "Le vieux au dessus du jeune", ben oui et non d’après la carte ce n'est pas le cas; le point culminant (sommet) et en n1 (cretacé) et c'est un des plus récents niveau geol du Pech..par contre a l'ouest (voir les flèches rouges) on voit que ce dernier niveau peu en effet être en bas et surmonté par du lias (l2) qui lui et plus ancien...c'est la conséquence du pli couché. Pour l'eau salé pas besoin d'une connexion à la mer, c’est parce que les niveaux géologiques du Trias sont réputés salifère, donc l'eau qui y circule se charge en sel et ressort par une source surement au niveau d'une faille..l'eau y est donc salée. voili, voilou

salut, avant de ce lancer dans ce genre d’étude il faut bien définir les termes, a savoir, sol, humus, roche, argile , polluant Ce que je reproche a l'industrie de la dépollution des sols c'est qu'elle mélange sol, formation superficielle et géologie... Tu parle de sol-humus-metaux...pour moi cela ne veux rien dire si tu me dis mineraux, matiere organique metaux c'est un peu mieux..non? Concernant les métaux, certains sols en ont une grande quantité tout a fait naturellement du fait de leur présence dans la roche mère ou par accumulation au cours du temps dans l’altérite...est ce une pollution si elle est naturelle? Il faut donc évaluer l'enrichissement en métaux lourd par rapport a un fond géochimique naturel qu'il faut quantifier voir les travaux de Denis Baize: http://www.denis-baize.fr/documents/POITIERS-Chap.1-Generalites.pdf

peux tu préciser ton protocole, je n'ai toujours pas compris?.. cela provient d'un affleurement en surface , d'un forage, etc...a quelle profondeur de la surface du sol? Comme next, je epnses que tu devrais donner un peu plus d’éléments..

Qribaux as du trouver sa réponse, mais en tout cas il n'as pas répondu à nos questions..dommage

Y'en a beaucoup? autre idée. conduits de vers (cela me semble trop petit tout de même) ou racinaires colmatés par des revêtements argileux ou limoneux. Dans le cas d'une génèse pédologique bien sûr...

C'est quoi le pikikg? Cela provient de quelle profondeur par rapport a la surface, ou plutot est ceque cela vient du sol et non de la la roche saine? Si cela vient du sol, pourquoi pas une emprunte de racine...est ce que cela reagit à HCl?

Tu ma tué Next, c'est vrai que niveau orthographe chuis dans les plus nuls mais j'ai mes excuses, un père prolo qui sais pas bien écrire non plus et la mère c'est idem, on a pas tous la chance d'avoir eu des parents profs pour corriger les devoirsdu mioche à l’époque, mon père il avait que cela a foutre en rentrant de l'usine. Ajoute a cela une ecole primaire du début des années 80 et les catastrophes en manière de pedagogie de l’époque cela donne des nuls en orthographe comme moi... Les fautes d'orthographe m'ont pas empêchées de prendre l'escalier social...et puis moi je parle anglais mieux que Sarko..na!

C'est quoi l'origine de la morphogenese de ce défilé, messinien ou autre..