zunyite

A l'heure actuelle je ne pourrais pas répondre ! cela a été fait fait pour des datations de tombes egyptiennes (ancien empire) , sur des nécropoles turques et des travaux anciens grecs dans la zone du Laurion (fours de fonte et installations portuaires ) mais cela date ! A ma connaissance, les travaux les plus récent archéologie/microminéraux ont été réalisés sur une "momie" chilienne (un mineur inca "fossilisé" par des oxydes de cuivre dans une ancienne galerie sur des travaux autour de inca de oro

intéressant ce document ! les batiments existent toujours , la source aussi : sulfatée, calcique, magnesienne , silicatée et ferrugineuse ok mais pas radio active ! (je ne sais pas qui a fait ces mesures ou si c'etait de la pub !!.........)

le problème est classique (voir les messages précédents) souvent le mot datation est associé à des méthodologies sophistiquées et tres lourdes (ça fait plus sérieux) en cour circuitant des méthodes plus simples d'observations/deductions la néoformation en est un bon exemple : elle a été utilisée assez régulièrement mais de moins en moins.... quand je dis possible : par synthese en reconstituant au labo conditions identiques de formations (température/hygrométrie...la pression n'a pas d'influence dans ce cas) on peut assez facilement calculer la vitesse de formation de ces cristaux ; pour un peux qu'on obtiennent en plus des bandes de croissance il est relativement aisé d'obtenir des datations SI on peut reconstituer avec une relative prècision ces conditions de formation !

c'est en principe possible MAIS...il y a un gros "mais" ; pour cela il faut avoir une idée relativement prècise des conditions température/hygrométrie durant toute la période de formation....................en archéolgie c'est pratiquement impossible des que l'on dépasse quelques centaines d'années ! on peut déduire plus ou moins les courbes de températures à partir des pollens (s'ils sont disponibles dans la zone étudiée!) mais l'hygrométrie....là c'est une autre question!!!

c'est le principal problème du net : -une source d'information gigantesque et bien plus accessible que les anciennes bibliotheques spécialisées mais c'est un mélange allant du tres mauvais sinon expréssement faux pour créer des réactions induites voulues à du tres lourds qui aurait été inaccessible au commun des mortel autrement. mais quid du tri !!!!??????? pour un géologue, la question sur ce sujet ne merite même pas une fraction de seconde de reflexion : pas un problème d'esprit ouvert ou pas mais une simple réaction en fonction de données de bases incontestables , facilement verifiables (vitesse de sédimentation, formation des roches etc...) et des c...ries comme celle là ! pas le temps à ça mais je pense qu'une simple verification sur le web permettrait tres probablement de constater que les scientifiques chinois (pas plus bêtes que les autres) n'ont rien à voir là dedans !! Ce n'est pas parce que c'est reférencé comme tel sur le web que c'est vrais !!

surtout que les gardes sont vigilants !!

strictement interdit !! tout le secteur est intégré dans une protection archéologique (galeries, haldes, terrains ....)

les mineraux décrits sont effectivement le résultat d'observations sur section polie ! Pour différentes raisons , les géologues du BRGM se sont axes sur les primaires pour tous les sites (c'est ce qui intéresse d'abord les pros) Les secondaires à Alzen sont compliqués à observer pour deux raisons : -milieux essentiellement carbonaté (les réactions oxydation/reduction sont neutralisées) et ils ne sont observables que dans les parties hautes du gisement inaccessibles. On n'en trouve plus que dans les déblais et les vieux travaux

La fluorite n'est pas rare au chili mais discrete ; effectivement on observe peu de gros filons cristallisés ; par contre des petits cubes dispersés dans les filons bpgc sont plus fréquents

si c'est dans la zone avec quartz/azurite , on peut encore distinguer (une zone vers les crêtes et une zone au bord de l'oued ) des restes de fours de fonte de minerais ( tas de blocs plus ou moins cylindroconiques ; on peut même trouver des scories (minéralisées)

être dans le desert n'empêche pas le laitier !! (j'ai fait le "stagiaire" pour un forgeron touareg et nous etions en plein désert avec fonte de métal ) quel endroit éxactement ?

pas de problème pour l'adaptation au troisiemme tube : ce sont des diametres standards et une partie des tubes astronomie ont la même dimension par contre , à savoir : la qualité des photos ne sera peut être pas au rendez vous ! Pour de bonnes photos via une binoculaire il faut des qualitées optiques bien supérieures (avec des prix bien supérieurs aussi !)

bonjour pour les mineraux il faut une loupe binoculaire pas un microscope (le microscope est fait pour des echantillons préparés en lames ) ensuite pour une prise photo/video il faut des loupes trinoculaires (le troisième sert à fixer un appareil ensuite les critères sont la qualié optique, la luminosité et grossissement avec zoom ou fixe Loupe Trinoculaire EUROMEX StereoBlue Zoom 7-45 (autour de 500 euros) Loupe Trinoculaire PERFEX Zoom Sc 6.1 LED (autour de 600 euros) Optika SZM-2 /geo320 - 7 à 45x (env 500 euros en binoculaire et 600 euros en tricoculaire)

aux deux : mairie et gendarmerie....mais cela n'a pas changé grand chose (le fils du maire faisait partie des chasseurs) Sinon je suis globalement d'accord avec Debey ; tirer en travers de la route, sur un chemin etc... c'est débile et dangereux je connais des chasseurs du secteur qui me demandent de signaler mon passage pour qu'ils le sachent (normal) et sans aucune animosité : on se partage la zone (jquand c'est sympa et si possible je vais ailleurs le temps de la battue et j'y retourne au signal de fin )

c'est strictement interdit mais courant !! Dans le Sud , c'est tres fréquent de voir les gars stationnés au bord de la route mais en chassant de l'autre côté : plus facile de voir le gibier sur la route Autre point interdit mais fréquent : n' hésitent pas à coupé les petites routes ou pistes "par sécurité" durant la batue : autrement dit acces impossible durant toute la battue (c'est également interdit ( sauf propriété privée) Autre plaisanterie : dans une de nos carrière en activité ; sur un chantier avec le personnel (pelle, dumper, topo) deux chasseurs ont poursuivi un sanglier et tirer à moins de 10m de la pelle et du dumper en cours de chargement!!

le jaune est aussi de la silice avec un peu de fer

silice ; les baguettes sont des pseudomorphoses de chalcotrichite en silice (plus assez de cuivre pour chrysocolle)

Andradite a raison : on parle de la qualité des pieces ; pour repondre à son premier message , il y a des pieces reconstituées bien entendu ! juste une remarque en passant : c'est ahurissant les à priori, partis pris sans rien y connaître ni sur l'extraction des mineraux ni les pays concernés ; mettre dans le même panier des mines "industriels" en particulier de charbon et l'extraction artisanale de pegmatites !!!!!!!!

à priori pierre polie du commerce perdue par là ; probablement agate teintée du brésil

pour les aigues marines du pakistan , j'en connais au moins 3 , pour les mineraux afghans au moins 2 (un allemand et un américain) en fait les circuits sont inverses : si je prend l'exemple des aigues marines pakistanaises, les mineurs pakistanais ont l'habitude de les extraire en vrac , sans précautions car c'est plus facile et de les livrer en sac de 25 ou 50 kg pour la bijouterie . Par contre quand un grossiste ou un passionné/vendeur remonte le circuit pour dire qu'il veut des pièces minéralogiques intactes et qu'il y mettra le prix pour cela, alors ils changent de méthode et prennent plus de précautions sachant que cela leur rapporte plus. pour infos au pakistan et en afghanistan ce sont les locaux (dans les zones tribales , ils sont tres pointilleux sur qui fait quoi dans leur zone !) qui travaillent ; et si un européen considère cela comme un travail de dingue, dans des conditions "abominables" , pour eux c'est un travail intéressant , dans des conditions normales , rémunératrices en complément de leurs champs ou troupeaux . pour les prix , la vidéo est américaine ce qui explique en partie , mais si vous croyez que les pakistanais ou afghans sont plus stupides que la moyenne , c'est que vous ne les connaissez pas : pour négocier avec eux , faut avoir l'habitude et ils connaissent parfaitement les prix pratiqués en bourse !! Avant de juger , faites une simple estimation de ce que peut coûter le transport depuis le lieu d'origine, les taxes douanières, les redevances et autres, les pertes etc.... avant d'arriver sur une bourse ou un magasin ! Plutôt que de se contenter de regarder des reportages ou des jugements à la télé, allez donc voir sur place et APRES on en discute !

Alors ça c'est un sale coup!! qui ne connaissait pas Le Denis dans le secteur d'Ales !! Assez surpris de ce décès : il n'avait pas vraiment le profil à risque et on ne peut pas dire non plus que c'est le fait de rester tranquille chez lui. condoléances

pas tout à fait d'accord : les formations volcano sédimentaires font l'objet d'études pour leur intérêt métallogénique !! les dépôts volcaniques periphériques contiennent tres souvent des amas sulfurés ou des stockwrks minéralisés

Bonjour même si les faits présentés ne sont effectivement pas liés à un site minier ou une carrière , je note une demande de la part de l'UNICEM une proposition de partenariat : Étant des deux côtés je peux répondre en partie : qu'il y ait des inconscients (pour ne pas dire plus...) dans le monde de la minéralogie-fossiles c'est indéniable mais, comme partout, ils représentent une minorité Le problème essentiel est le manque de volonté de communication de la part des uns et des autres........c'est vrais MAIS : je connais de nombreux clubs qui ont "joué le jeu " et demandé des autorisations en proposant des rencontres pour respecter les bons gestes et la conformité des instructions de sécurité : réaction à peu près constante (à part quelques rares exceptions) : pas question de voir qui que ce soit ! -pas le temps -pas question de s’embêter" à voir des gens sur le site -peux pas donner d'autorisation ; le service des mines l'interdit -impossible : nos assurances l'interdise -impossible car il faudrait un accompagnant : ni le temps ni le personnel ni la volonté de lle faire etc..etc... Ces points ne sont pas faux et justifiés mais montrent aussi le peu d'empressement pour ne pas dire "rejet" d’accueillir du public sur les sites ! en réaction, les clubs ou prospecteurs individuels se disent que vaut mieux rien demander ! Mais il faut souligner aussi une avancée importante de la part de l’UNICEM (mais que partie grand Sud si je ne me trompe pas) de vouloir en discuter et faire quelque chose ! Il y a effectivement des possibilités pour faire des choses en commun et mieux faire apprécier l’industrie des granulats et extractions minérales qui en a bien besoin ! Je représente un groupe qui a déjà commencé à faire de la formation sécurité en mines et carrières (pour les carrières : respect des consignes habituelles comme le casque, les chaussures, les gants, les distances de sécurité vis-à-vis des fronts, des bassins de décantation etc…) Pour les carriers il y a des possibilités mais il faut une interprétation moins rigide des règles de sécurité et un minimum d'organisation : en effet, les points sécurité sont réglementaires (DREAL) mais aussi très variables en fonction des sociétés et leur origine ! Un exemple : suivant les organismes, il est demandé de ne pas s’approcher des fronts à moins de 5m, 10m, 20m !!! Dans cet exemple, l’organisme qui préconise le plus (20m) d’origine canadienne interdirait 80% des carrières françaises pour non respect des règles de sécurité !!!!! Pour conclure : je suis tout à fait disponible pour en parler au nom de mon groupe et convaincre d’autres groupes ou clubs d’y participer du moment qu’il y a la volonté de votre part de créer des partenariats Note : je remarque également que les carriers peuvent perdirent des indications importantes par manque d’observation détaillée et connaissance minéralogique/structurale que les « prospecteurs » ont généralement faites (présence de fractures, polluants minéraux etc……….)

tout simplement qu'on parle de n'importe quoi dans ce domaine, la CRIRAD en premier !!! (les exemples de "plaisanteries" sont nombreuses comme les "pollutions" radioactives d'origines naturelles ) -un compteur n'a rien à voir avec un scintillomètre ! - le scintillomètre mesure la globalité des choses et ce n'est pas parce qu'un échantillon est "radio actif" (tout est relatif suivant la distance) que l'environnement est radio actif !! le scintillomètre est un instrument qu'il faut savoir utiliser (comme tout autre) et il n'est pas fait pour mesurer CONTRE la roche (ce qui a manifestement été fait dans ce cas) contrairement à ce qui est dit dans la description les mesures doivent être faites dans la globalité de l'emprise du bâtiment et non pas centrée (comme par hasard) sur la fissure minéralisée qui est DEVANT le batiment et non pas SOUS le batiment par contre, dans le secteur il y a bien des zones non exploitées fortement radio actives (dont une à qq km de là plus bas et terrain de jeux favoris des minéralogistes (il n'y à qu'à voir le trou dans le grillage......) et où les niveaux sont un peu équivalents à ce qui est indiqué et vrais dans ce cas