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Bourse minéraux Sainte Marie aux Mines 2024, avec fossiles et gemmes.
Bourse minéraux et fossiles de Sainte Marie aux Mines (Alsace) - 26>30 juin 2024

STR

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  1. Je pense que pour la plupart des cristaux que je vais montrer la pyrite a été remplacée par d'autres composés de fer en raison de l'altération de la totalité du sédiment par le climat équatorial. Il s'agit donc de pseudomorphoses, mais la forme de la pyrite est évidente.
  2. Les cristaux de pyrite sont majoritairement des cubes, mais on rencontre aussi des pyritoèdres et des macles
  3. Evidemment, ce que l'on voit à la binoculaire est beaucoup mieux. De plus près on se rend compte que le sédiment fin est un sable très fin contenant de l'argile et des paillettes très brillantes que je pense être du mica. Ces dernières donnent des points blancs sur les photos.
  4. Pour toutes les images présentant des angles noirs, le diamètre du champ photographié est de un centimètre. Commençons par des images des cristaux de pyrite et du sédiment dans lequel fut emprisonné ce fossile.
  5. Le 14/03/14 je me suis enfin décidé à reprendre l'observation de l'échantillon N°4. Je suis moi même étonné du résultat que je vais maintenant partager avec vous ! Quelques précisions avant de débuter afin de rendre plus clair mon raisonnement. J'ai toujours habité à proximité de la Méditerranée, et, depuis mon plus jeune age, j'arpente les plages du Golfe Du Lion à la recherche de coquillages, avec une prédilection pour les petits matins et les lendemains de tempête. Lorsque je l'ai découvert, l'échantillon N°4 était presque totalement dégagé, mais il était toujours en place dans un sédiment altéré du Francevillien. Avant même de le prendre en main, j'ai préféré commencer par examiner son environnement qui, tout autour, était visible sur plusieurs dizaines de mètres ( voir message 131 du 23/03/14 ). Les sédiments qui l'avaient conservé présentaient un léger pendage, et sur quelques mètres la régularité de chaque couche n'était pas parfaite. Ce qui m'intriguait le plus était l'apparente solitude de cet objet. Même après avoir quadrillé toute la surface, pas d'autres échantillons, ni plus gros, ni plus petits, et surtout aucun fragment d'autre nodule pyriteux, comme on aurait pu s'attendre à en trouver. J'avais du temps ; je suis donc revenu à coté de ma trouvaille afin de réfléchir... Et, au bout d'un moment, je me suis rendu compte que la situation m'était familière ! Sur les plages du Golfe du Lion, après une tempête, soit la plage est jonchée de débris divers, organismes ou parties d'organismes, végétaux ou animaux, marins ou continentaux, soit elle se retrouve parfaitement "nettoyée", son sable ayant été mobilisé sur une épaisseur plus ou moins importante, puis redéposé sur place, débarrassé par la mer des même débris divers apportés lors des tempêtes précédentes ( sans parler des débris d'origine anthropique ! ). Dans le second cas, la plage est immaculée, mais si on la parcourt sur plusieurs kilomètres, on finit généralement quand même par découvrir un organisme échoué, tout seul sur le rivage. Cet oiseau, coquillage, méduse, poisson, racine, ou autre a été la victime d'un concours de circonstances. Exactement comme l'échantillon N°4 que j'ai prélevé précautionneusement avant de m'en aller du site. C'est cette conviction qui m'a fait ramener cet échantillon en France et le conserver jusqu'à aujourd'hui. In situ, la position de l'échantillon N°4 était telle que le cliché du message 130 le présente en vue latérale. Donc le cliché du message 127 est une vue de dessus, et le cliché du message 131 est une vue de dessous. Maintenant, passons aux nouvelles images obtenues depuis la mi septembre.
  6. Revenons à l'échantillon N°4 avec une information récente : le 25 juin 2014, Abderrazak El Albany, et toute une équipe internationale et interdisciplinaire, ont publié " The 2.1 Ga Old Francevillian Biota : Biogenicity, Taphonomy, and Biodiversity " dans PLOS ONE. ->http://www.plosone.org/article/info%3Adoi%2F10.1371%2Fjournal.pone.0099438 Une chose remarquable à signaler est que cette publication est en libre accès. Il faut aussi signaler l'excellente qualité de l'iconographie. Quant au contenu, tout est dans le titre. Avec une présentation de nouvelles formes de macroorganismes ( et de microorganismes de type acritarches ), toujours découverts dans le FB de la même carrière située au nord ouest de Franceville. Je terminerai ce message en signalant que mon échantillon N°4 ne provient pas de cette carrière, ce qui est de bonne augure quant au potentiel paléontologique de la région de Franceville pour cette période reculée de l'histoire de la terre.
  7. Le dernier dessin de la page 16, et le premier de la page 17, confortent encore un peu plus les conclusions auxquelles je suis parvenu dans mes messages du premier janvier 2014. Evidemment, à l'époque de l' élaboration de ces ouvrages, les auteurs, faute de témoignages matériels, n'ont pas prévu que dans ces lieux particuliers la vie puisse également proliférer. Si certains veulent offrir ces albums intéressants à des enfants, ceux-ci sont toujours disponibles aux éditions du BRGM.
  8. Petit retour sur l'échantillon N°3 et son jumeau. Je me suis rendu compte que le paysage que j'envisage pour ces stromatolites ferrugineux a déjà été imaginé et dessiné il y a plus de vingt ans (1987) dans " La planète protégée ", volume 2 de la série de bande dessinée " Les observateurs de la Terre " des éditions du BRGM.
  9. Voilà la documentation en question : Et le lien permettant d'y accéder directement : http://www.asf.epoc.u-bordeaux1.fr/theses/Prix_Gubler/OSSA_OSSA_2010.pdf Pour ceux que ça intéresse, je conseille de télécharger le PDF ( 24,5 MO ). Les moins courageux pourront se contenter de lire : - Chapitre I ( pages 14-26 du PDF ) "Contexte géologique général et synthèse des travaux antérieurs" - Chapitre II ( pages 27-56 du PDF ) "Analyse fasciologique et caractérisation des paléoenvironnements de dépôt dans le bassin de Franceville" Enfin, cerise sur le gâteau, à la fin de ce PDF, dans les annexes, vous avez le fac similé de l'article de nature : "Large colonial organisms with coordinated growth in oxygenated environment 2.1 Gyr ago" paru le 1er juillet 2010. Bonne lecture ...
  10. - Mais c'est un simple nodule de pyrite !? - Oui, c'est effectivement un nodule pyriteux, mais pas simplement. C'est, du moins ce que j'espère bien démontrer en l'observant plus attentivement. Comme pour le moment je n'ai vraiment pas le temps de m'occuper de cela ( je suis en plein préparatifs de déménagement ), je vous propose juste un peu de documentation en attendant la suite ...
  11. Ne me dites pas qu'il est moche ; ma femme s'en est déjà chargé ! Et entre cette remarque peu indulgente, et le coût prohibitif du kilogramme de supplément de bagages sur les vols Air France entre Libreville et Marseille, je vous assure qu'il m'a fallu beaucoup de conviction et de ténacité pour ramener cet échantillon en France.
  12. Je l'ai trouvé sur une étendue sableuse en pente douce résultant de l'ablation de la surface naturelle du sol lors de travaux. Les pluies équatoriales l'avaient rendu particulièrement visible. Son environnement était constitué d'une succession de bancs de sable plus ou moins grossier de quelques centimètres à quelques décimètres d' épaisseur, séparés les uns des autres par de minces couches, de quelques millimètres à un centimètre de sédiment très fin. On verra que c'est au sein d'une de ces mince couche de sédiments très fin que cet échantillon N° 4 s'est retrouvé prisonnier. L'ensemble de ces sédiments sont des grés du Paléoprotérozoïque du bassin de Franceville ; en surface, l'altération par le climat équatorial leur a fait perdre leur cohésion.
  13. Son âge ? Depuis que je lui ai mis la main dessus : 25 ans. Depuis qu'il s'est retrouvé enseveli sous une mince couche de sédiments très fins : 2 milliards d'années et des poussières. Ah !, vous voulez savoir l'âge qu'il avait lorsque cet accident a entrainé sa mort ? J'ai bien déjà une petite idée là dessus, mais je préfère réserver ma réponse à cette question aux messages qui concerneront les conclusions auxquelles je parviendrai après l'observation de cet échantillon N° 4.
  14. IL mesure 10 centimètres dans sa plus grande dimension.
  15. Je vous présente donc maintenant l'échantillon N°4.
  16. Bonjour. Avant de passer à l'échantillon N° 4, il faut que je signale une erreur ; le 24 novembre 2013, dans le message #89, j'ai écrit : "Ce diamètre est très petit, ce qui, pour les nombreuses colonnes qui ont grandi depuis la base jusqu'au sommet de l'échantillon N°3, donne presque 1000 de rapport Hauteur / Diamètre". C'est bien évidemment 100 de rapport Hauteur / Diamètre qu'il faut lire, ( 10 centimètres de haut pour 1 millimètre de diamètre ).
  17. Pour répondre à Next50MY, je n'ai malheureusement sous la main que des souvenirs, et ils ne datent pas d'hier. Mais, ceci dit, j'ai en mémoire des valves ou des fragments de valves de type coque et pecten dans les galets de grés que je trouvais sur la plage aux Aresquiers (entre Palavas et Sète). C'est facile à vérifier, mais il faut aller sur place ... Pour ACF, effectivement, ça ne marche pas comme prévu ! On va donc commencer par la page d'accueil : http://infoterre.brgm.fr/ Il faut aller en bas de la page et dans "Contexte prédéfinis" et "Généralités", cliquer sur "géologie et cartes au 1/50000" Puis, à gauche, cliquer dans le carré avec quatre flèches (Localisation). Puis, cliquer sur "Sélectionner un département". Puis, Cliquer sur "Gard". Puis, virer le pavé de la localisation en cliquant sur les flèches en haut à droite. Puis cliquer sur la main en haut avant de mettre le Grau du roi au centre de l'écran, et de se rapprocher à l'aide de la molette de la souris. A partir de là, on peut accéder a la notice en suivant ce que je préconisais au #16 ... je croise les doigts ...
  18. Bonsoir. Ces galets m'intriguaient beaucoup quand j'étais gamin. On les trouve en grand nombre du côté des Aresquiers où ils peuvent former, en bord de plage, des amoncellements impressionnants. J'en avais même ramené un chez moi qui mesurait environ un mètre de long, et qui pesait un certain poids! Depuis, j'ai trouvé quelques informations les concernant en consultant les notices des cartes géologiques au 1/50000. Elles sont visibles sur le site Infoterre : http://infoterre.brgm.fr/viewer/MainTileForward.dohttp://infoterre.brgm.fr/viewer/MainTileForward.do;jsessionid=6D8946100FB79F2E4C20B08E5748DDCB# Quand on se trouve sur la feuille du Grau du roi (30), le mieux est de cliquer : -sur l'angle supérieur droit pour agrandir l'image, puis, -en dessous sur le deuxième carré pour accéder aux légendes, puis, -sur "accéder à la légende dynamique et aux notices", en orange, puis, -sur "notice", toujours en orange. Enfin page 31 débute "Pléïstocène, affleurements rocheux sous marins. Et c'est toujours mieux que sur ces captures d'image !
  19. L'échantillon N°3 et son jumeau proviennent donc des constructions stromatolitiques qui se développaient sur les bord des vasques hydrothermales qui existaient au débouché des cheminées évacuant l'eau chauffée en contrebas par les accumulations d'uranium (il y a 2 GA, l'uranium naturel contenait environ 3% d'U235, soit environ le même pourcentage que l'uranium enrichi utilisé dans les centrales nucléaires actuelles). Tout devient évident avec ce nouvel éclairage. Au niveau de l'espace séparant les colonnes. Le matériau argileux est de l'argile de pile issue de l'altération hydrothermale des roches et minéraux entourant l'amas uranifère. Sa couleur rouge n'est due qu'à son dépôt en surface, au contact de l'oxygène atmosphérique, qui a oxydé le Fe++ en solution. les grains de sable proviennent tout simplement de la paroi de la, ou des cheminées hydrothermales dont ils se sont détachés lors des soubresauts de leur fonctionnement ; ils ont été remontés en surface avec l'eau thermale et se sont déposés dans la vasque et sur ses bords. Au niveau des colonnes. L'hématitisation résulte de la présence de ferrobactéries dans la population microbienne des biofilms de ces édifices stromatolitiques. Le fer provient de l'altération en milieu réducteur des roches et minéraux de l'encaissant par la chaleur, l'eau, et les radiations (milieu réducteur car l'existence même des accumulations d'uranium nécessitaient un milieu réducteur). Les traces d'arrêt puis reprise de croissance résultent des variations du niveau de l'eau dans la vasque en relation avec les aléas du fonctionnement des systèmes hydrothermaux. L'impact de la foudre sur le bord d'une vasque hydrothermale de laquelle s'échappe une colonne de vapeur d'eau qui s'élève dans le ciel n'a vraiment rien d'extraordinaire. Ce phénomène devait même se reproduire régulièrement.
  20. Un peu de lecture pour bien commencer l'année ; rassurez-vous, ça se lit comme un roman. Les plus fatigués pourront débuter par les conclusions générales, chapitre XIII, pages 217-228, puis poursuivre par des données générales incontournables, pages 56-57, ce qui devrait les inciter à tout lire. http://inis.iaea.org/search/download.aspx?RN=18098572&redURL=http://www.iaea.org/inis/collection/NCLCollectionStore/_Public/18/098/18098572.pdf$search=%2522uranium%2520gabon%2520oklo%2520metallogenic%2522 Pour faire court, il y a environ 2.3 GA l'augmentation rapide de la teneur atmosphérique en oxygène, due à la prolifération de microorganismes photosynthétiques, a permis, pour la première et la dernière fois, la mobilisation de l'uranium et son accumulation en amas de taille suffisantes pour que des réacteurs nucléaires naturels y voient le jour. Le plus extraordinaire n'est pas que ces phénomènes, qui ont du se produire sur l'ensemble du globe quand les conditions géologiques étaient favorables, aient eu lieu, mais que dans le bassin de Franceville les réacteurs soient parvenus jusqu'à nous en l'état. Dans le bassin de Franceville pas moins d'une douzaine de réacteur naturels ont fonctionné durant le Paléoprotérozoique, sept accumulations d'uranium possédaient une taille suffisante pour en justifier l'exploitation, (Bamgombé n'a pas été exploité au titre de sa conservation en tant que patrimoine géologique remarquable), et les indices sont innombrables. Voir ci dessous pages 24-25 : http://infcis.iaea.org/UDEPO/UDEPOMain.asp?Order=1&RPage=1&Page=1&RightP=List Après la fin du dépôt du FB, le bassin de Franceville devait donc être parsemé de champs hydrothermaux dont les vasques bouillonnaient et fumaient lorsqu'ils se situaient au dessus du niveau de la mer.
  21. ... Mais, cet échantillon N°3 et son jumeau ont été trouves dans le FB ! Oui, ils sont descendus du dessus depuis le démantèlement de leur couche d'origine (FC FD FE ?) qui ne devait pas être très loin ; verticalement, cela doit se compter en mètres. ... Mais, en plein milieu du bassin de Franceville, il y avait la mer ! Oui, mais à la fin du FB le bassin de Franceville finissait de se combler, et c'est d'ailleurs ce qui a entrainé la sédimentation, en milieu très peu profond, des jaspes et des dolomies du FC, puis du FD, et enfin du FE. Dans ces conditions, rien d'étonnant à ce que des ilots aient fait surface. ... Mais ce sont des images de champs hydrothermaux, et il n'y en a aucun dans le basin de Franceville ! Il n'y en a plus aucun, ou leur restes n'ont pas encore été découverts, nuance ! ... Mais le volcanisme de la région de N'goutou est situé à plus de 100 KM au nord, au delà d'Okondja. Oui, mais là, le moteur thermodynamique du phénomène n'est pas à rechercher dans un volcanisme mais dans la fission de l'uranium 235. Et c'est là que ça devient intéressant !
  22. -Environnement ? Avoir démontré que ces édifices proliféraient juste en dessous de la surface de l'eau, ou juste au dessus, est peut-être précis, mais pas du tout assez pour se faire une idée de ce à quoi ressemblait leur environnement. Sur terre, en effet, "être au bord de l'eau" peut signifier être au bord de la mer, être au bord d'un lac, être au bord d'une lagune salée, être au bord d'un étang, être au bord d'une mare, etc ... Après avoir bien réfléchi, je me suis rendu compte que pour chacune de ces possibilités il y avait au moins une objection qui la rendait, sinon impossible, du moins fort improbable. Sauf pour un cas que je n'ai pas cité. Et le voilà : http://www.google.fr/images?hl=fr&q=champagne+pool+new+zealand&gbv=2&sa=X&oi=image_result_group&ei=49fDUoHVNMmShgeS6YG4Bg&ved=0CCYQsAQ Ou encore : http://www.google.fr/images?hl=fr&q=yellowstone&gbv=2&sa=X&oi=image_result_group&ei=PdjDUuGRFISihgf6sIC4Bg&ved=0CEUQsAQ Pour coller réellement à la réalité de l'environnement de l' échantillons N°3 et de son jumeau, il vous suffit, par expérience de pensée, de nettoyer ces superbes images des végétaux supérieurs qui les polluent, et pour les photos prises de suffisamment loin, de rajouter à l'horizon ce qu'il restait de la mer francevillienne.
  23. -Hématite ? Sur le papier, la géochimie du fer est des plus simple, et se résume, en gros, à : Fe++, soluble <=> Fe+++, insoluble. Mais dès que l'on est dans la nature, tout devient abominablement compliqué. L'origine du fer, l'existence de courants, les gradients de température, de PH,de salinité, les variations de pression partielle d'O2, de CO2, d'H2S, la présence de colloïdes, l'évaporation, les arrivées d'eau douces, sont tellement de facteurs déterminants qu'il est bien difficile de s'y retrouver. Si on ajoute à cela la présence de la vie, comme c'est le cas ici, avec ; les cyanobactéries qui produisent de l'O2 le jour, les autres microorganismes qui consomment de l'O2 et produisent du CO2, la décomposition qui produit de l'H2S, l'existence de bactéries sulfatoréductrices, et de ferrobactéries, beaucoup de choses deviennent possible. Pour ceux qui veulent quelques bases fiables ; un excellent cours, en français, et gratuit ! (chapitre VII) http://www.google.fr/url?q=http://www.ulg.ac.be/geolsed/sedim/sedimentologie.htm&sa=U&ei=8PK_UtzZMKOM7QbosYD4BA&ved=0CCMQFjAA&usg=AFQjCNHiO1BPhT9NyN0MLrSp0CeHfJE3VQ Et deux articles récents : http://www.google.fr/url?q=http://www.umanitoba.ca/science/geological_sciences/people/faculty/bekker/Planavsky%2520et%2520al.,%25202009.pdf&sa=U&ei=d_S_Up_JL6iR7AbFl4GwAw&ved=0CCMQFjAA&usg=AFQjCNEaa_k94l9z-9KIgIBP2a9n3GfM1A et http://www.google.fr/url?q=http://dash.harvard.edu/bitstream/handle/1/4795338/knoll_duckcreek.pdf%3Fsequence%3D1&sa=U&ei=CvW_UrryEcqVhQfYrIHoDg&ved=0CCkQFjAB&usg=AFQjCNHb42brYyY27rrkvfPyIwSElEypYQ.
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