emedard

D'abord il te faut une licence avant tout, donc tu as un an de L3 avant de t'affoler. Pour le CAPES SVT, un L3 en biologie-géologie ou SVT, je ne sais pas comment ils l'appellent. Ensuite je ne sais pas comment c'est à Dijon, mais je peux te décrire la situation dans mon université (Clermont-Ferrand). Dans le système actuel, tu t'inscrivais en prépa CAPES, assurée par les universités (donc frais d'inscription classiques d'une université), avec aussi quelques cours à l'IUFM je crois. Dans le nouveau système (à partir de la rentrée 2010 normalement), il te faudra avoir un master pour obtenir le concours. Concours que tu passeras pendant ton M2 si j'ai bien compris. N'importe quel master conviendra en théorie, mais certaines (toutes ?) les facs vont transformer leur prépa CAPES en spécialité d'un master (à Clermont, master de biologie, spécialité enseignement, ou quelque chose comme ça). Donc c'est à priori ce master qui sera à conseiller. Etienne

Euh, la c'est un peu loin de la volcano et de la sismo, non ? Si tu es vraiment sur de ton orientation (volcano ou sismo), je conseillerais une 1ere année de licence de physique ou physique-chimie, avec un peu de géol en option libre si possible (la bio ne te servira a rien, et il y a l'air d'en avoir pas mal a Bordeaux...). Même une deuxième année de physique / physique-chimie si ca te motive. Bon, après il faut rattraper la géol, mais en particulier si tu veux faire de la sismologie il te faudra de solides bases de physique (mécanique, traitement du signal...) qui ne sont pas forcement incluses dans un cursus de géol (surtout dans une fac assez "surface/sédimento" comme Bordeaux). Je connais plusieurs personnes qui ont fait ca (dont moi-même), et ca ne pose pas de probleme si tu as de la motivation et des résultats pas trop mauvais. Celui-ci devrait être plus a jour (avec le programme de la licence) : http://wwwobs.univ-bpclermont.fr/lmv/cursu...cence/index.php et ceux-la pour le master volcano (pas encore tout a fait au point mais on y travaille) : http://wwwobs.univ-bpclermont.fr/lmv/cursu...s_masterMV1.php http://wwwobs.univ-bpclermont.fr/lmv/cursu...s_masterMV2.php Aucun probleme pour rentrer a Clermont en cours de cursus, L2, L3, M1, M2... a voir selon ton projet professionnel. Seul l'accès en M2 est sélectif, donc il vaut probablement mieux venir avant. L1 et L2 restent tres généralistes, même s'il y a un module de volcano et un de physique de la terre en L2 (mais rien d'irrattrapable) Encore une fois je conseille une ou deux années de physique +/- chimie si tu veux vraiment faire volcano ou sismo. Si tu es motive, tu sera pris en L2 ou L3 a Clermont avec un L1 ou L1+L2 de physique +/- chimie. Pour la bio, c'est vraiment si tu y tiens, moi je le déconseille aux étudiants qui veulent faire volcano, il vaut mieux une petite dose de physique même si c'est peut-être un peu plus dur... Etienne

et on peut aussi ajouter que si tu te sens largué il y a dans un certain nombre de facs la possibilité de faire un S0, c'est a dire une année de remise a niveau en sciences (en gros tu refais le programme du bac S). a discuter avec les responsables lors de ton inscription... Etienne

Salut, Si tu es suffisamment motivé, tu peux essayer de faire une seconde année de master pro, puisque tu as déjà une maîtrise. J'ai une amie qui l'a fait. Mais il faut pouvoir être suffisamment convaincant auprès des responsables, parce que tu vas être en concurrence avec les jeunes étudiants de M1. En géotechnique il y a un M2 à Clermont (http://www.univ-bpclermont.fr/formation/formation/UBP-PROG6865.html), mais il doit y en avoir d'autres. Etienne

Ben Pascal tu m'as battu, je devrais venir plus souvent sur Géoforum. 100% d'accord dur tes déterminations. Et très belles photos de philipsite, au fait... Etienne

Il faut dire que des fois ce n'est pas évident non plus pour les responsables de master de savoir ce que deviennent leurs anciens étudiants, et de pouvoir donner de façon précise des statistiques sur les débouchés. Contrairement aux Écoles, les universités n'ont souvent pas d'associations d'anciens ou de service dédié au suivi des étudiants. Ce qu'il faut c'est chercher sur le site des universités s'il y a eu des études de faites. Des fois ce n'est pas facile a trouver, mais normalement l'info doit être quelque part. J'ai fini par la trouver pour ma fac (Clermont - http://ent.univ-bpclermont.fr/sof/Enquete_...ie_promo06.pdf), mais tu dois pouvoir la trouver pour les autres aussi... Etienne

Eh, Pascal, tu sèches deux fois de suite ? T'as pas encore digéré le champagne du réveillon ? Suis inquiet, la... Bonne année, au fait ! Etienne

Alors tu peux tout de suite éliminer la subduction, il n'y en a pas dans le coin depuis quelques centaines de millions d'années. Volcans explosifs et stratovolcans il peut y en avoir (presque) partout, même s'ils sont peut-être un peu plus fréquents en domaine de subduction (d'où le raccourci volcan explosif = subduction = volcan "gris" - qu'est-ce que je déteste ce terme). Donc effusif et strombolien, on en a partout, et explosif et stratovolcan, on en a presque partout. Pour le rift, oui, ils sont associés a un rift - si tu utilise le mot rift dans son sens "bassin d'effondrement", c'est a dire une zone en extension, avec des failles normales. Par contre, la question est plutôt, comment se forme le rift, pourquoi y a-t-il (ou non) de l'extension. Ensuite, pour faire du volcanisme, il faut une remontée du manteau, ce qui va très bien avec de l'extension. Alors comment provoquer de l'extension et une remontée du manteau ? C'est la que deux théories concurrentes sont en lice : - la théorie du point chaud. Stricto sensu, un point chaud correspond a une remontée localisée de matière dans le manteau, en provenance de la zone de transition ou de l'interface noyau/manteau. Cette remontée est fixe par rapport aux plaques tectoniques, d'où la formation de chaines volcaniques alignées (comme Hawaï). Problème, la répartition du volcanisme en Europe de l'Ouest et dans le Massif Central ne correspond pas du tout, et ne forme pas des alignements corrélés avec l'age. On peut alors envisager un "point chaud" très large, a l'échelle du Massif Central tout entier, voire de l'Europe de l'Ouest, point chaud assez faiblard, qui ne produirait de la fusion que localement. Pourquoi seulement a certains endroits ? La il faut laisser la parole aux geodynamiciens, mais je sais qu'il y a des solutions. - la théorie de la racine des Alpes. La formation d'une racine lithospherique sous les Alpes entraine le déplacement latéral de manteau asthenospherique qui va donc remonter en périphérie de l'arc alpin, notamment sous le Massif Central, mais aussi en Allemagne, République Tchèque... Qui dit remontée de manteau dit volcanisme et extension. Je ne pense pas qu'il soit possible de se prononcer définitivement pour l'une des deux hypothèses en l'état actuel des connaissances, même si personnellement j'ai un faible pour la deuxième. Etienne

petit commentaire a Remi et sur le geowiki. je ne pense pas que neck implique breche, certain sont en lave massive et prismes. je croyais d'ailleurs que la Devil's Tower etait un neck "A volcanic neck is a cylindrical-shaped landform standing above the surface created by magma solidifying in the vent of a volcano. Erosion of the sides of the volcano exposes the neck." Formation volcanique en relief, en forme de cylindre, créé par du magma qui se solidifie dans le conduit d'alimentation d'un volcan. piqué sur internet, sans garantie, mais ca me parait raisonnable comme définition Etienne

J'aurais tendance a utiliser ce terme pour décrire un objet. Un ensemble de roches, structures... d'origine magmatiques, et qui peuvent être reliées entre elles par des processus magmatiques. Etienne

Salut Remi, A priori comme son activite eruptive ne concerne pas grand monde (a part quelques Masais et touristes) et qu'il est dans un pays d'Afrique, il est tres peu instrumente. Ca ne l'empeche pas de faire de tres belles eruptions... Etienne

Intéressant... J'apprends que mon travail de recherche relève du "fantasme"... ;-) Disons que les enclaves d'origine mantellique (des péridotites) remontées par les éruptions volcaniques représentent seulement un échantillonnage de la partie située au-dessus de la zone de genèse des magmas - la partie traversée par les magmas lors de leur chemin vers la surface. Donc pas l'endroit exact ou sont générés ces magmas. Mais ca on le sait depuis longtemps. Et il s'agit du manteau, quand-même... L'étude pétrographique n'est pas la panacée, certes... Mais quelle technique est une panacée ? L'étude pétrographique apporte une quantité importante d'informations, il faut simplement connaitre ses limites. Par exemple, c'est la seule technique qui puisse nous donner accès aux températures des magmas (sauf dans le cas des volcans en éruption, ou on peut mettre un "thermomètre"). C'est la seule technique qui nous donne egalement les profils de température (le géotherme) dans les zones ou sont produits les magmas... et bien d'autres choses. Et je ne voit pas quelle autre technique pourrait nous donner la composition d'un magma profond (pas forcement besoin d'enclaves pour ca, d'ailleurs). Oui bien sur. Il est évident que les techniques ont beaucoup évolué, et les expériences actuelles permettent d'affiner ou d'infirmer les travaux anciens. La science avance petit a petit. Elle est pleine d'incertitudes. Mais ce n'est pas pour cela qu'il faut systématiquement rejeter ce qui est un peu trop ancien. Et pour reparler de techniques incertaines, je dirais qu'il faut se méfier du joli diagramme en couleur de fossile47. Si une science pose des problèmes dans son interprétation, c'est probablement plus la tomographie sismique que la pétrologie (aie aie aie, j'espère qu'il n'y a pas trop de sismologues sur le forum). Cette figure nous indique des vitesses sismiques anormalement faible vers le bas de la carte. De quoi s'agit-il ? De zones plus chaudes ? Peut-être. Ou de zones ou de faibles quantités de magmas est présent ? Peut-être aussi... Est-ce que ces zones profondes vont influer sur ce qui va se passer en surface ? Quand ? Comment ? Je n'ai aucune idée, et je ne suis pas sur que quelqu'un d'autre ait une idée claire de ce qui va se passer. Etienne

> Pour le mont Saint-Helens il y avait un renflement anormal et important de la partie qui s'est "désagrégée" (explosion et effondrement) donc ça a pu être prévu sauf qu'effectivement l'énergie et l'étendue des dégâts avaient été sous estimés. Les coulées pyroclastiques ont une énergie interne (gaz et énergie thermique) ajoutée à une onde de choc comme pour les avalanches. Ceci dit si on avait calculé avant l'éruption le volume donc la masse susceptible de s'effondrer, il y aurait peut être eu moins de victimes dans les alentours... mais on n'avait sans doute pas le recul suffisant à l'époque ? En fait pour le St Helens, c'est assez intéressant parce qu'on connaissait déjà une éruption du même type, qui avait eu une étendue très similaire. Problème, elle s'était déroulée dans une zone très peu peuplée, et en Union Soviétique. Guerre froide oblige, on ne peut pas dire que l'information circulait facilement. Mais si les américains avaient étudié en détail cette éruption, ils auraient probablement pu faire une très bonne estimation de celle du St Helens, et sauver quelques vies de plus (ils ne s'en sont quand-même pas mal tirés !). Etienne

Tient, je ne connaissais pas ton site... super pour les profs de science nat en manque de cailloux ! Juste un petit détail qui m'a sauté aux yeux : LA ROCHE DE VOLVIC N'EST PAS UNE ANDESITE @#%& !!! TRACHY-ANDESITE, ca n'a rien a voir ! Amicalement, Etienne

Euh, j'ai pas trop compris, mais si tu mets en contact deux tas de sable tu vas pas voir grand chose... Et je ne vois pas trop le lien avec les failles, en plus, dans la nature ce ne sont pas des sables que tu auras en contact, mais des roches. Rien a voir au niveau des proprietes mecaniques. Etienne

Salut Wolke ! Bon la, je crois qu'on a un problème de définition : qu'est-ce-qu'un minéralogiste ? Qu'est-ce-que tu entends par minéralogiste ? 1. Un marchand de minéraux... ben la ya pas de formation, même si une formation universitaire de base en géologie va aider. Sinon c'est contacts, motivation... 2. Un gemmologue. ya des formations rapides qui te permettent de te former, je n'ai pas trop idée des débouchés, il faut contacter des gens qui sont déjà dans le métier. 3. Un chercheur dans le domaine de la minéralogie. Pour moi ca correspond a la "vraie" définition d'un minéralogiste. Ceux-la il y en a dans les universités, au CNRS, mais aussi dans pleins d'entreprises, a St Gobain, chez les miniers comme Denain-Anzain... Des gens qui font de la caractérisation de minéraux, identification, composition... Pour être minéralogiste, il faut suivre une formation supérieure (5 ans minimum), soit en université (master), soit en école d'ingénieur. La minéralogie est a l'interface entre géologie et chimie, donc tu peux y arriver par l'une des deux disciplines. Je conseillerais peut-être de commencer par la chimie, mais ca dépend vraiment de ton projet dans le détail. Il y a des emplois après un niveau Bac + 5 (master), mais pour les emplois de chercheurs a l'Université (et dans certaines entreprises), il faut faire une thèse, Bac + 8. Etienne

Juste par curiosite, pourquoi as-tu quite Clermont ? Alors qu'il y a un des meilleurs master en geologie de l'amenagement et geotechnique de France ? Juste curieux... Etienne

Je me trompe ou la partie extérieure est bulleuse ? Je ne m'y connais absolument pas en marcassite, mais est-ce que ca pourrait être un fragment de granite enrobe dans une scorie basaltique ? Comme on en trouve plein dans le massif central ? Juste une idée comme ca... Etienne

Salut, > De retour de Charente Maritime, je suppose que tu as fait Fournial ?, pour la pyrargyrite, elle a un éclat plutot adamantin comme la blende et pas du tous métallique comme la pyrite oxydée. Il me semble que mon maître Picot me l'avait montré au coeur de la galène. pyrite très probable ou arsénopyrite... > Sur Brioude Massiac il y a plusieurs venues (s'il y a des spécialistes, rectifiez moi si je me plante), Une première venue avec succession de dépot à mispickel aurifère puis stibine massive (très classique) et une seconde à baryte, sulfosels argentifère (les Anglais La Rodde). La dedans il faut caser, la mine d'or de Bonnac Scoufour avec W si je me souviens bien, Fournial et un croiseur à wolframite réputé recouper la stibine à Leyvaux (Anzat), perso, je n'ai rien vu d'évident. Je confirme, d'abord As-Au-W-Sn, puis Sb (stibine), et enfin une dernière venue à Pb, qui dépose de la galène quand elle est toute seule, ou quand elle phagocyte une première venue à stibine elle se met à produire tout plein de jolis sulfosels. Pour Fournial, il y a au moins deux venues je crois (peut-être plus), il faudrait que je vérifie, mais à priori l'argent qui était initialement dans la galène a été remanié et précipité sous forme de sulfosels (pyrargyrite, stephanite, polybasite, pyrostilpnite...). Mais ça reste tout de la micro. Etienne

Eh bien moi je ne dirais pas Massiac... Il n'y a pas de mines à Massiac !!! Massiac ça ne veut rien dire, autant laisser "Auvergne" !!! Ouche, Auliac, La Dahu (Lubilhac), Ally... tout ce que vous voulez, mais s'il vous plait pas Massiac !! Après c'est un cauchemar pour essayer de savoir d'où elle vient réellement... Si c'est une pièce suffisamment ancienne, ça peut être de la Dahu (Lubilhac) - mais c'est vraiment dur à dire. Et pour répondre à mineralparangon, Auvergne ça peut surtout vouloir dire Haute-Loire, ou les plus belles pièces ont été trouvées dans le passé... Et oui, les plus beaux spécimens viennent du district minier de BRIOUDE-Massiac. Les Mines du secteur d'Ally ou de Lubilhac (la Dahu) sont dans le département de la Haute-Loire.... Désolé pour le réveil grincheux d'un altiligérien de naissance... Etienne

Photo 1 : dans la lherzolite (olivine + orthopyroxène + clinopyroxène + spinelle), les cristaux noirs sont du spinelle (qui se voit mieux sur les surfaces altérées). Quand aux minéraux verts, si c'est un vert un peu émeraude, c'est très probablement du clinopyroxène (diopside chromifère). Idem, présent partout, mais plus facile à voir en surface. La photo 3 ressemble à de la serpentine, vérifie si c'est doux et lisse au toucher. Difficile de dire quelle serpentine exactement, peut-être de l'antigorite. La photo 4 est une brèche tectonique composée essentiellement de fragments de marbre, il y en a d'autre qui ont un peu plus de fragments de lherzolite dedans. Elles sont probablement liées à la mise en place de la lherzolite. Rien à voir avec les granulites à sapphirine qui sont beaucoup plus friables et ne réagissent pas à l'acide. Etienne

Il y a un numéro des Cahiers de l'AFM (97, 3-2007) qui parle de Roffin, une des mines du district de Lachaux. Je regarderai ce soir si ils parlent de fluorine, mais perso je n'en ai jamais trouvé là-bas. C'est effectivement de l'uranifère, et célèbre pour de la très belle parsonsite... Etienne

Salut, Il y a plein plein de choses à faire sur les surfaces en géol... Si tu es branché minéralogie, il y a tout ce qui est croissance cristalline, qui est souvent contrôlée par les mécanismes aux interfaces (i.e. dépôts d'atome sur un plan cristallographique existant...). Il y a plein de très jolies figures de croissance à expliquer en fonction de ce thème. En pétrologie magmatique, un nombre non-négligeable de phénomènes dépendent de la notion d'énergie interfaciale (ou énergie de surface), qui est l'énergie supplémentaire créée par la présence d'une surface de contact entre deux milieux (cristal / liquide, liquide / bulle de gaz...). Comme tout bon système thermodynamique, un magma va évoluer pour minimiser cette énergie, donc les gros cristaux vont pousser au détriment des petits (et les grosses bulles aussi). Il y a aussi tout le problème de l'extraction des magmas à partir d'une source majoritairement solide (les péridotites du manteau). Beaucoup de choses se jouent entre les cristaux et dépendent de l'énergie interfaciale. La description de tous ces phénomènes est très physique, une physique qu'on étudie peu en classe, mais assez sympa, et pas très compliquée finalement. Bon bien sur les plans de faille, chevauchements... et si tu es suffisamment profond la fusion qui peut leur être associées (les pseudotachylites). En métamorphisme ça me parait un peu plus dur, mais tu doit trouver des choses aussi... Plus en surface, tout ce qui est mécanismes réactionnels en domaine sédimentaire, comme la diagenèse, l'altération (en surface des minéraux et sur les plans de fracture en priorité), tout le domaine de la pollution/dépollution qui dépend beaucoup de mécanismes d'adsorption en surface (voir le comportement des métaux lourds...). Allez, je m'arrête, il y en a pour tous les goûts... Bon courage, Etienne

Petit rappel, parce que j'ai l'impression que l'info n'a pas été envoyée sur Geoforum : ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Le club Minéralogique de Moulins organise le dimanche 13 septembre sa première bourse d'échange de micromontures. Cette rencontre se déroulera à la salle du Temps Libre de Moulins. Participation : 5 € Horaires : de 9h à 17 h un repas sera servi dans la salle le dimanche midi (15€) Réservation : M. Jacques BEL, 10 rue Pape Carpantier - 03000 Moulins Tél : 04 70 44 52 25 E-Mail : brunogilles03@yahoo.fr ou bardot@wanadoo.fr réservation avant le 22 août 2009 Viendez nombreux !!! Etienne

Bonjour, Si tu veux faire des études courtes tu as bien sur le BTS de Nancy, sinon la fac. La plupart des facs ont maintenant des semestres ou années de remise a niveau pour les étudiants qui ne viennent pas de bac S. Ca te coute une annee, mais apres ca tu as le meme niveau que les etudiants venant de S en maths, physique, chimie. Par experience ce n'est pas negligeable, on a un etudiant de bac technologique (STI je crois, mais pas totalement sur) qui a refuse de le faire cette annee, et s'est retrouve completement largue en premiere annee de licence, et du coup completement degoute... Bonne chance, Etienne