AMEDE

Top Nico ! Belles barytines !

Sewen pour moi aussi, le quartz hématoïde confirme pour moi.

Sympa ça de la fluo sur Puy le Vigne, je n'avais jamais vu.

Plutôt quartz fumé ?

Beau !

Magnifique la dernière !

Et c'est le cas de la smithsonite (il y a bien une effervescence, très légère, mais si on ne fait pas attention et qu'on travaille au HCl 23 % à froid on ne la voit guère, de plus, les bulle mettent un peu de temps à apparaitre. C'est, en tout cas, ce que j'ai constaté sur celles de ce secteur). L'autre carbonate présent (hors cérusite et calcite) est la dolomite, très fréquente, mais elle n'a pas un habitus correspondant au spécimen, et elle a une effervescence faible, mais notable, à l'acide.

Si il n'y a pas eu d'effervescence non, plutôt un autre carbonate (type smithsonite).

Sauf que ça fonctionne avec toutes sortes de silice : jaspes, quartz, calcédoine, donc cela ne confirme pas le silex.

Une question : au phosphorique, les dépôts sont présents aussi ?

Intéressant, merci.

Par curiosité, tu t'y es pris comment ? Si on pouvait avoir un petit conte rendu ce serait très enrichissant !

Jolies ces galènes !

Donc avec du verre de vielle fenêtre on devrait bien avoir 5,5.

Un peu comme alkimik : l'orthose de dureté 6 raye le verre, l'apatite, de dureté 5 non, donc verre = plus ou moins 5,5. C'est aussi ce qui figure sur les marques pages du RM :

@le sablais, ce n'est pas plutôt 5,5 le verre ?

Rooo magnifique !! C'est dégagé ou libre ? Jolies les baguettes de tourmaline courbes !

C'est un habitus d'hématite.

Bien !

Il s'agit de fluorine incolore, par contre il s'agit d'une pièce dégagée à l'acide visiblement.

La baryte brille par son absence sur le site ! Seul un échantillon aurait été trouvé lors de l'époque mine (voir RM). Par contre, sur es échantillons de fluo que j'ai chauffé au chalumeau, pour voir la thermoluminescence, il y a bien un crépitement (même très violent), à une certaine température, la pierre explose littéralement en éclats (c'est assez dangereux d'ailleurs). J'avais essayé avec un morceau de Durfort je crois. Une bonne idée pourrait être de chauffer avec un petit chalumeau à gaz, un morceau dans le noir , et d'ensuite écarter la flamme pour voir si il y a thermoluminescence, ce qui confirmerait la fluorine. Pour la dureté, cela me semble correspondre à la fluorine (le problème de l'aiguille c'est qu'on ne peut pas appliquer de pressions trop fortes), comme c'est rayé avec un couteau. L'oxalique c'est pareil, je suppose que ça met un peu de temps, de plus, les dépôts jaunes peuvent êtres assez discrets si on ne les cherches pas.

Pourquoi ? Toute la fluo de Durfort n'est pas fluorescente. Pour moi, s'en est.

Quelques points importants : parfois, si nous de donnons pas certains lieux et disons qu'il n'y a plus rien, c'est par sécurité. Pour une personne non qualifiée et non équipée, s'amuser dans certaines mines ou carrières peut être très dangereux (par exemple Pontgibaud, Arignac, Lina ...) Il y a quelques temps, par exemple, j'étais avec un ami sur les parties extérieures d'une mine, dans une petite carrière à la recherche de sulfures. Au milieu de l'après midi, nous croisons un couple de randonneurs à la recherche de l'entrée, mais ces derniers n'étaient pas équipés : tenues légères, et aucun matériel car pas de sac. Ils cherchaient la mine pour faire de "l'exploration". Le problème, c'est que l'entrée de la mine est une chatière, où il faut ramper sur quelques mètres, dans les éclats de roche anguleux. Une fois dans la mine, une zone contient une poche de CO2. Nous leur avons donc dit qu'il ne restait plus d'entrées. Parfois, si on dit qu'il n'y a plus rien, c'est aussi pour protéger l'accès de la mine, pour qu'elle ne soit pas sécurisée par manque de discrétion.

C'est certain ? retenter avec un couteau en appuyant bien. Pas de réaction aux UV courts ou longs ?

Merci, j'ai crue que ça allait faire comme les fiches recoin ...