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ANDRE HOLBECQ

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Tout ce qui a été posté par ANDRE HOLBECQ

  1. non N 1er car c 'est là que l'on a extrait le "marbre" napoléon pour construire la colonne Napoléon à Boulogne commémorant le projet d'invasion de l'Angleterre à laquelle la statue de l'empereur tourne le dos. c'est du Viséen donc entre 325 et 345 millions d'années
  2. vois sur les cartes laquelle; carrière de Marquise c'est imprécis s'il s'agit de la Vallée Heureuse, du Banc Noir, de la Parisienne, Griset,Beaulieu, Basse Normandie ... faut savoir laquelle vue la photo c'est clair c'est la Napoléon
  3. les ages sont exprimés avec des noms d'étages ou de périodes, voici un extrait de l'échelle des temps géologiques pour avoir les correspondances des étages avec les millions d'années donc du viséen au givétien on passe de - 325 à -380 millions d'années
  4. quelle carrière? il y en a plusieurs et dans une même carrière on trouve des couches d'ages différents
  5. et la carrière Napoléon pour ses pseudo "marbres" calcaires non métamorphisés prenant quand même un joli poli.
  6. le Banc Noir carrière
  7. encore une petite doc pour se repérer sur le terrain:
  8. en carte simplifiée: légende : J4 3 : Callovo-oxfordien argiles et marnes J2c: Bathonien sup calcaire oolithique J2b: Bathonien moyen oolithe de Marquise J2a: Bathonien inférieur Calcaire de Rinxent J1: Bajocien marnes et sable H2 Calcaires et "marbres" d6a: famennien inférieur schiste rouge
  9. en coupe géol voilà:
  10. et encore sur:
  11. dans les carrières de Marquise on peut tomber sur :
  12. pour plus de précisions voir research article 7 may 2010 vol 328 SCIENCE www.sciencemag.org en anglais
  13. Il y a du Neandertal en nous | 07.05.10 | 15h47 • Mis à jour le 07.05.10 | 15h47 Réagissez (26) Classez Imprimez Envoyez Partagez Partagez : Il y a du Neandertal en nous. Du moins si nous sommes "non africains". Dans ce cas, 1 % à 4 % de notre matériel génétique a pour origine Homo neanderthalensis. Nous nous croyions simples cousins, issus d'un ancêtre commun. Nous nous découvrons aussi métissés avec cet humain disparu. C'est la conclusion la plus spectaculaire tirée de l'étude de l'ADN prélevé sur trois os de néandertaliens vieux d'environ 40 000 ans, issus d'une grotte croate. Conservez cet article dans votre classeur Abonnez-vous au Monde.fr : 6€ par mois + 1 mois offert Sur le même sujet Eclairage Leipzig, nouvelle Mecque de l'anthropologie évolutive Pour la première fois, le génome nucléaire d'un homme fossile est séquencé, à hauteur de 60%. Son analyse est publiée, au terme de quatre années d'efforts, dans la revue Science, vendredi 7 mai, sous la direction de Svante Pääbo, de l'Institut Max-Planck d'anthropologie évolutionniste de Leipzig. C'est à lui que l'on doit la première analyse génétique d'un néandertalien, en 1997. Il s'agissait d'ADN mitochondrial (ADNmt), transmis par la mère, d'extraction bien plus aisée que l'ADN nucléaire. En 2004, M. Pääbo et ses collègues avaient conclu que cet ADNmt ne révélait aucun croisement entre Homo sapiens, l'homme moderne et celui de Neandertal. Conclusion aujourd'hui invalidée par les mêmes chercheurs, qui ne cachent d'ailleurs pas leur surprise. "L'équipe était contre cette hypothèse, ce qui, d'une certaine manière, renforce nos résultats", rappelle David Reich (MIT et Harvard), cosignataire de l'étude. Et de rappeler les précautions méthodologiques prises pour se prémunir contre les contaminations par l'ADN des expérimentateurs, éliminer celui des microbes présents dans les échantillons, qui représentaient au départ plus de 95 % des éléments séquencés. COUSIN SULFUREUX Il a aussi fallu trouver les moyens de comparer l'ADN attribué à Neandertal à celui d'hommes actuels – un Français, un Han chinois, un Papou de Nouvelle-Guinée, un San d'Afrique de l'Ouest et un Yoruba d'Afrique de l'Ouest – et à celui d'un chimpanzé. Pourquoi ? "Parce que les variations génétiques non partagées avec Neandertal éclairent l'histoire évolutive de l'homme", répond Ed Green, premier signataire de l'article de Science. Ces comparaisons ont donc mis en évidence la présence de 1 % à 4 % d'ADN d'origine néandertalienne dans le génome de nos contemporains d'Eurasie, alors qu'un tel héritage est absent chez les deux Africains. Impossible à ce stade de décrire le rôle fonctionnel de cet ADN transfuge. Mais sa mise en évidence met fin à une controverse scientifique vieille de plusieurs décennies sur d'éventuels croisements entre les deux espèces. Mais sans doute faut-il rappeler qui est Neandertal, et pourquoi il constitue un cousin sulfureux. En 1856, sont découverts près de Düsseldorf une calotte crânienne et des os longs bientôt attribués (1864) à une nouvelle espèce, baptisée Homo neanderthalensis. En 1859, la publication de L'Origine des espèces par Darwin banalise l'homme au sein du règne animal. Double choc pour les contemporains. Le mythe de la Genèse est ébranlé, la "création" compte soudain une nouvelle espèce humaine. Pire, on découvre, à La Chapelle-aux-Saints (Corrèze), en 1908, un squelette de Neandertal enterré par ses congénères: ces primitifs avaient-ils le souci de l'au-delà ? Depuis lors, ces questions n'ont cessé de tarauder les paléoanthropologues, et d'autres se sont posées au fil des découvertes : Neandertal est le seul hominidé apparu en Europe, il y a environ 400 000 ans, descendant d'Homo plus archaïques venus d'Afrique ? A-t-il été rayé de la carte, il y a 30 000 ans, par Homo sapiens lui-même sorti d'Afrique il y a 50 000 ans ? Quid de la nature des relations entre les deux espèces, qui ont pu avoir des contacts pendant quelques millénaires ? Ces questionnements s'accompagnent de querelles sur le degré d' "intelligence" et d'humanité qu'il convient d'accorder à ce perdant de l'évolution. Avec ses bourrelets sus-orbitaires et son chignon crânien, l'incroyable robustesse de son squelette et de sa musculature, mais son gros cerveau, n'était-il qu'un balourd simiesque ? C'est aussi une créature politique : certains chercheurs en font un bon sauvage, victime des mœurs colonialistes incoercibles de l'homme moderne, d'autres soulignent les proximités entre les deux espèces, qui se seraient fondues l'une dans l'autre. "C'est un sujet explosif, car la notion de différence biologique est délicate à manier dès lors qu'on s'approche de l'humain", note le paléoanthropologue Jean-Jacques Hublin, lui aussi de l'Institut Max-Planck de Leipzig, pour qui la recherche, féconde, de différences avec ces espèces disparues n'a rien de commun avec celle d'une hiérarchie entre d'hypothétiques "races" au sein de l'espèce humaine. La génétique vient donc d'apporter son grain de sel dans ces polémiques souvent vives. Doit-on continuer à parler de deux espèces, si leur hybridation a donné lieu à une descendance aussi fertile ? "Je laisse à d'autres le choix de se quereller à ce sujet", répond Svante Pääbo, qui juge la discussion "assez vaine" et se contente de souligner qu'il y a bien eu croisements, même à une échelle modeste. Les populations en jeu ne dépassaient pas quelques milliers d'individus. Il a suffi de quelques dizaines d'accouplements pour que l'empreinte de Neandertal marque notre patrimoine génétique. "PÊCHE" AUX GÈNES Certains chercheurs n'ont pas attendu les généticiens pour se forger une conviction. C'est le cas du paléoanthropologue Erik Trinkaus (Washington University, Saint Louis, Missouri), pour qui "il existe déjà en abondance des preuves paléontologiques montrant des flux de gènes entre néandertaliens et hommes modernes, résultant de l'absorption des populations des premiers par l'expansion des seconds, il y a environ 40 000 ans". Sauf, répond Jean-Jacques Hublin, que la génétique suggère des métissages plus anciens, puisque tous les Eurasiens, et pas seulement les Européens de l'Ouest, en portent la marque : "Probablement ont-ils eu lieu du côté de l'actuel Israël, où la frontière entre populations de néandertaliens et d'hommes modernes a été fluctuante entre 120 000 et 50 000 ans", soit avant qu' Homo sapiens n'entame sa marche triomphale à travers le globe. Ce qui a fait ce succès évolutif, Jean-Jacques Hublin espère le trouver non seulement du côté des os – sa spécialité – ou de l'archéologie, mais aussi de celui des gènes. L'article de Science ouvre en effet d'autres perspectives fascinantes : disposer du génome de Neandertal offre un aperçu de ce qui fait la spécificité d'Homo sapiens. L'équipe internationale a ainsi mis en évidence quelques gènes uniques à notre espèce, qui ont la particularité de jouer un rôle dans le développement cognitif et le métabolisme énergétique. Lorsqu'ils sont endommagés, certains sont impliqués aujourd'hui dans la trisomie 21, l'autisme ou encore la schizophrénie. Un autre l'est dans la forme du crâne, de la clavicule et de la cage thoracique. Erik Trinkaus est critique vis-à-vis de cette "expédition de pêche" aux gènes, "qui ne nous disent rien sur la biologie ou le comportement" de Neandertal. Bruno Maureille (CNRS-UMR Pacea, Bordeaux) juge au contraire "très intéressante" cette nouvelle étape de la paléogénétique, qui va s'intéresser aux produits des gènes, les protéines. Il note cependant que les moyens techniques "évoluent beaucoup plus vite que les capacités de la communauté scientifique à en intégrer les résultats". La paléogénéticienne Eva-Maria Geigl (Institut Jacques-Monod) souligne, elle aussi, qu'il faudra du temps "avant que tout le monde soit convaincu". D'autant que la génomique n'en est qu'à ses débuts : "On va certainement s'apercevoir que la diversité génétique est beaucoup plus importante qu'on le pense", dit-elle, tant entre les espèces humaines qu'à l'intérieur de celles-ci. A Leipzig, on en est déjà à la prochaine étape pour caractériser les gènes qui font le propre de l'homme : le séquençage du génome d'Homo sapiens contemporains des derniers Neandertal est lancé. Hervé Morin Article paru dans l'édition du 08.05.10 Abonnez-vous au Monde à 17€/mois
  14. Une étude génétique révèle des croisements entre l'homme de Néandertal et l'humain moderne, probablement au moment où les premiers homo-sapiens ont commencé à migrer hors d'Afrique. Musée du Néandertal à Kaprina, en Croatie. Une étude génétique révèle des croisements entre l'homme de Néandertal et l'humain moderne, probablement au moment où les premiers homo-sapiens ont commencé à migrer hors d'Afrique. (Reuters/Nikola Solic) Les peuples d'origine européenne, asiatique et australasienne ont tous des traces d'ADN de Néandertal, mais pas les Africains, expliquent les chercheurs dans un article paru dans l'édition de vendredi du journal Science. L'étude pourrait aider à résoudre un vieux débat sur le fait de savoir si l'homme de Néandertal et l'humain moderne ont fait plus que simplement cohabiter en Europe et au Proche-Orient. "Ceux d'entre nous qui vivent hors d'Afrique portent un peu d'ADN de Néandertal en eux", résume Svante Paabo, de l'institut Max Planck à Munich, qui a dirigé cette recherche. "La proportion de matériel génétique hérité de Néandertal est d'environ 1 à 4%. C'est peu mais c'est une proportion bien réelle d'ascendance chez les non-Africains aujourd'hui", ajoute le Dr David Reich, de la Harvard Medical School de Boston, qui a participé à cette étude. Rien ne permet d'identifier quels "traits" peuvent avoir été hérités de Néandertal. "Tout ce qu'on peut dire, c'est que ce ne sont que des parcelles aléatoires d'ADN", dit Svante Paabo. Les chercheurs s'appuient sur le séquençage du génome d'os de Néandertal découverts en Croatie, en Russie, en Allemagne et en Espagne. Ils ont développé de nouvelles méthodes pour rassembler, séparer et séquencer l'ADN. "Dans ces ossements vieux de 30.000 ou 40.000 ans, très peu d'ADN a été préservé", souligne Svante Paabo, qui précise que 97% voire plus de l'ADN extrait de ces ossements provenait de bactéries ou de moisissures. Ils ont comparé ce séquençage à celui de cinq personnes originaires d'Europe, d'Asie, de Papouasie-Nouvelle Guinée et d'Afrique. ESPÈCES DISTINCTES? Le résultat dessine le portrait d'homo-sapiens vivant aux côtés d'hommes de Néandertal, éteints il y a quelque 30.000 ans, avec des relations parfois très intimes. "Il y a eu des métissages à un petit niveau. Je préfère laisser à d'autres le soin de se quereller pour savoir si l'on peut nous qualifier d'espèces distinctes ou non", poursuit Paabo. "D'un point de vue génétique, ils n'étaient pas très différents de nous." Les croisements génétiques pourraient remonter à il y a environ 80.000 ans, quand les hommes modernes venant d'Afrique ont rencontré les populations de Néandertal établies les plus au sud, au Proche-Orient. Les chercheurs ont identifié cinq gènes propres aux Néandertaliens, dont trois gènes liés à la peau. "Cela suggère que quelque chose dans la physiologie ou la morphologie de la peau a changé chez les humains", explique Svante Paabo. Jean-Stéphane Brosse pour le service français
  15. la "pierre bleue" vient de Belgique , de Soignies précisément c'est alors du Tournaisien. Est-ce bien ce cela qu'il s'agit ? à Porolepis image tu trouveras des photos très semblables talkrational.org Le trilo peut faire penser à :Cummingella belisama du tournaisien; mais cela reste à discuter avec les spécialistes.
  16. qui a une idée sur ce fragment de fossile trouvé au Cap Blanc Nez?
  17. vous allez avoir beaucoup de mal à trouver surtout avec des 4èmes pour deux raisons, les propriétaires sont de plus en plus réticents même dans des carrières sdans danger; en ce qui concerne les élèves , sont-ils tous capables d'obéir au doigt et à l'oeil aux consignes ? A cet âge là ça devient de plus en plus rare! Donc , moi, je déconseille. Trop gros risques et bien peu de chances de trouver une ouverture.
  18. http://www.forumdepartementaldessciences.f...-mammouths.html Visite commentée de l’exposition « Au temps des mammouths » par Patrick Auguste, paléontologue, le 29 mai Félix, notre mammouth laineux joue les stars au Forum. Ses yeux brillent sous les flashs des appareils photos des visiteurs venus nombreux. Ils lui causeraient même une surchauffe, à notre pauvre pachyderme. Qu’il se rassure, son fidèle lieutenant, Patrick Auguste, paléontologue à l’Université de Lille I viendra lui éponger le front. Plusieurs visites commentées de l’exposition sont organisées autour de l’animal en compagnie de son spécialiste. Première date proposée : le 29 mai à 15h - à partir de 15 ans - 5 €/3.5 € réservation conseillée au 03 20 19 36 36 En savoir + Suivez l’interview de P Auguste sur le mammouth dans le Nord ici
  19. mardi 27 AVRIL soir à 20h45 à la Ferme du Pire à Ville Neuve d'Ascq, au club VULCANO
  20. Je fais une conférence au Petit théâtre de poche de Béthune le lundi 3 Mai à 18h où je présente les grés d'Artois géologiquement mais aussi en géol appliquée (constructions) 2h avec un montage Powerpoint 2007: joli spectacle où on apprend beaucoup de choses notamment sur Béthune et Beuvry (deux buttes sablo- gréseuses). Conférence bilingue Français et Chti, "in vous attin ter tous "
  21. Tout connaître du mammouth Peut-être avez-vous déjà rencontré Félix, la star de notre exposition « Au temps des mammouths » qui vient à peine de débarquer dans le Nord ? Félix est un mammouth laineux. Son épaisse toison de poils, ses yeux si ronds ne peuvent que vous faire craquer ! Vous comprendrez la tendresse qu’il nous inspire quand vous aurez l’occasion de le rencontrer au Forum départemental des Sciences. Pour vous donner déjà un aperçu du sujet, nous vous conseillons un petit détour vers le site du Muséum National d’Histoire Naturelle de Paris. Le Muséum - concepteur de l’exposition - a réalisé ici un site très agréable qui regorge d’informations sur le fameux animal. Nous vous conseillons plutôt de vous diriger vers la partie « Tout savoir sur le mammouth » ; l’autre partie étant consacrée à l’exposition présentée en 2004 au Muséum. La vie du mammouth était loin d’être facile : à sa naissance, la bête faisait quelque 70kg. On peut donc féliciter la mère mammouth qui accouche d’un petit équivalent à un scooter ! Il supportait des températures de -20° pendant environ 8 mois de l’année. Il passait plus de 18h par jour à boire et à manger pour ingurgiter pas moins de 180 kg d’herbes. Il disposait d’une particularité anatomique étonnante : un clapet anal qui évite la déperdition de chaleur. Nous pourrions encore vous donner plus de détails mais le plus simple est de vous faire une idée par vous-même en suivant le lien http://www.mnhn.fr/expo/mammouths/frameset.htm Et n’oubliez pas, si vous venez visiter Félix au Forum, sachez qu’il adore les fleurs !
  22. http://www.mnhn.fr/expo/mammouths/frameset.htm Site du museum sur les mammouth à partir de l'exposition, très intéressant, et je rappelle pour les chtis que cette expo est à Villeneuve d'Ascq au forum des sciences: à voir absolument
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