-C. mactra se reconnaît à la finesse de son ornementation, à ses flancs subparallèles entre eux et à la rareté des fasciculations
-Votre deuxième ammonite est très involute et se rapproche en ce sens de Leioceras.
-La suivante a un mur ombilical de type Walkericeras avec une ornementation très fine et dense ce qui la rapproche de W. delicatum mais il existe beaucoup d’intermédiaires entre delicatum et pseudolotharingicum.
-Votre C. paucicostata a un mur ombilical de type Cotteswoldia et des côtes assez espacées et flexueuses qui me font beaucoup penser à cette espèce.
-W. lotharingicum est similaire à W. pseudolotharingicum mais les côtes sont plus rarement bifurquées et sont radiales au moins jusqu’au milieu du flanc. Pareil, votre ammonite a un mur ombilical de type Walkericeras.
-W. pseudolotharingicum est la plus facile à reconnaître avec ses côtes flexueuses, simples, bifurquées, fasciculées. En fait, il s’agit de Walkericeras lugdunense mais les auteurs de cette espèce ignoraient qu’elle avait déjà été décrite sous le nom de pseudolotharingicum.
-W. arcuatum se reconnaît à ses côtes flexueuses, simples, bifurquées ou trifurquées (?). De mémoire, il n’y a pas que ça mais je ne m’en souviens plus.
-Enfin, C. distans a des côtes le plus souvent simples, avec des intercalaires de temps en temps. Elle se reconnaît surtout à sa section tectiforme.
Voici quelques liens:
Di Cencio & Weis, 2020: https://orage.univ-lorraine.fr/files/original/42e32d6864a3ff01e798d689380f8e20f39f4724.pdf
Branco, 1879: https://orage.univ-lorraine.fr/s/orage/item/6061
et quelques livres: