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Nanil

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Tout ce qui a été posté par Nanil

  1. C’est vrai que la forme pourrait tromper énormément... => http://fossilesdescharentes.unblog.fr/2018/12/21/campanien-planche-16-bivalves-rudistes/
  2. Coquille d’huître d’une époque lointaine, très ferrugineuse (la coquille ^^) : : Ces dernières sont toutes les roches que je dois scier en deux et en priorité. Vivement que les scientifiques s’intéressent à ces trouvailles !!! Dans tous les cas, avec ou sans guerre, le budget de tout ce qui est public a toujours été très limité, et en plus d’après ce que je crois comprendre, ce n’est pas dans leurs directives que de s’intéresser à des affleurements méconnus... voire inconnus. Peut-être qu’une fois certaines de ces roches erratiques ayant été déterminées dans leurs origines spatiales et temporelles, peut-être qu’à ce moment-là... qui sait, ne sait-on pas toujours ! ^^
  3. << Un point sur...: Lumière sur les débuts de la vie Loïc Bertrand, Lara Maldanis La période géologique antérieure à 541 millions d'années est appelée le Précambrien. Les roches précambriennes abritent les plus anciens microorganismes fossiles de la Terre, qui peuvent remonter à plus de 3,4 milliards d'années. Une bactérie est environ 10 à 100 fois plus petite qu'une cellule humaine. Ces formes microscopiques observées dans des roches ont été « cuites » à des températures supérieures à 100°C, substituées par des minéraux et sous pression pendant des milliards d'années. Un obstacle majeur à leur étude est donc la difficulté à prouver leur biogénicité, c'est-à-dire leur origine biologique. >> => https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-03096746/document
  4. C’est un ami dont le père a travaillé au BRGM ou dans les mines, ou autre, qui m’a dit ça ce matin. Bientôt je la scierais en deux dans l’épaisseur pour y voir plus clairement sa forme et sa dimension la plus représentative. Moi non plus je n’y croyais pas trop, mais il existe tellement de choses curieuses dans tous ces domaines...
  5. Attention là ça devient hyper technique. Once upon a time.., en bref ce matin j’ai ramassé un caillou sur le sable mouillé. A ce niveau là, on ne peut plus se fier qu’au volume et qu’à la forme des microcristaux constituant une partie de la roche, ceux-là même ayant remplacé la matière organique plus ou moins fragmentée, le tout lié par une matrice silicifiée d’origine calcaire. La photo ne sera certes pas toute aussi bonne que la musique de Fip pour l’instant, l’appareil photo dorsale de ce fichu téléphone ne fonctionnant plus.., mais le cœur y est. En très bref, la photo qui suit pourrait bien être l’empreinte d’une dent de requin... Déjà que la plupart de ce que je ramasse ne sont que des roches erratiques sorties de montagnes disparues aux affleurements tout autant disparus que leur époque associée..; alors si en plus on rajoute le fait qu’il n’y ait plus aucune chance de reconnaître quoi que ce soit de trace ou de structure biologique, ceci étant devenu microcristalin, et bien on est pas sorti de l’auberge... ^^
  6. Pour celle-ci, j’y verrais aussi l’ovoïdale dendritique roche polie ^^, insérée dans un grés à matrice ou ciment de silice, et comportant de nombreux nanofossiles entiers et fragmentés... avec beaucoup d’imagination accompagnant le zoom.
  7. Ils ont dû légèrement se planter dans la traduction... Le jour en question dans la bible traduit de l’hébreu, signifie en réalité période et non journée !!! 🤫 😁 << L’estimation de l’âge de la Terre et sa longue histoire, divisée en six périodes, est l’une des parties les plus novatrice de son Histoire naturelle. >> << Avec le recul, ce qui est remarquable dans cette expérience est la démarche, rigoureusement scientifique. Ses résultats sont complètement faux – l’âge de la Terre est estimé à 4,5 milliards d’années et non 75 000 ans ! Mais ses estimations, même complètement fausses, ont néanmoins contribué à faire progresser le savoir. >> => https://www.scienceshumaines.com/buffon-1707-1788-la-longue-histoire-de-la-terre_fr_41255.html
  8. Oui c’est sûr, mieux vaut ne pas connaître tout de suite la réponse la plus pertinente... ^^ Merci Kayou, je ne connaissais pas ce mot !
  9. Ca me ferait penser à du grès ferrugineux... => https://stock.adobe.com/fr/images/pierres-de-gres-ferrugineux-pour-la-construction/22569221?as_campaign=ftmigration2&as_channel=dpcft&as_campclass=brand&as_source=ft_web&as_camptype=acquisition&as_audience=users&as_content=closure_asset-detail-page
  10. Il était une fois, dans un monde jetable... La crevette n’avait pas même rencontré l’ours polaire qu’elle en était en plein hiver déjà tombée amoureuse. Enfin quelqu’un qui la protégerait de ses prédateurs... On ne sait jamais, ou bien ne sait-on pas toujours, seulement comptait-elle toujours sur lui, sous son aile exactement, d’après elle. Quelques scientifiques, presque choqués de leurs comportements se posèrent quelques questions. Certaines personnes très callées en la matière pensaient qu’il s’agissait d’une erreur de la nature et qu’un ours ne pouvait communiquer avec une crevette tout comme un pêcheur bio-inspiré par les dauphins n’aurait pu communiquer qu’avec la pêche au mâles avec des bulles tout comme font les dauphins pour ne pas dégrader les futures générations... under construction ^^
  11. Vraiment navré, car n’ayant pas participé au forum durant deux ou trois ans, j’en avais oublié la triste nouvelle, alors désolé de vous avoir ravivé ce mauvais souvenir, et peut-être bien surtout je l’espère, tous les bons souvenirs qui vont avec l’histoire de Phil...
  12. Bonjour ici ! @Paleoman 3° Toujours garder trace du lieu de découverte ! C'est la base même de la Paléontologie, et la clé de tout le processus de détermination. 4° Déterminer l'étage géologique de la trouvaille. 6° Sur base de la famille, consulter la littérature disponible. 7° Effectuer sur Google une recherche. . 8° Ecrire une étiquette et toujours la laisser avec le fossile ! Retrouver une provenance en examinant le fossile n'est jamais certain à 100%, même avec une expérience de fouilles longue de plusieurs décennies. 4° Donner une photo supplémentaire présentant la faune découverte en association avec le fossile à déterminer. Phil « Fossil » >> Voyant que beaucoup de monde est motivé, j’espère que vous serez nombreux à m’épauler dans la recherche de provenances d’époque et de lieu de toutes ces roches (en particulier microfossilifères) ramassées sur la plage sous forme de galets, et donc appartenant aux domaine des roches erratiques aux origines mystérieuses, et dont beaucoup sont issues de montagnes disparues... 😅 🤗
  13. Après le manuel de micropaléontologie, le court traité en foraminiféralogie... => http://paleopolis.rediris.es/cg/BOOKS/CG2010_B02/fr-index.html
  14. Bientôt l’acquisition d’un microscope binoculaire Nachet avec un grossissement maximum de mille sept cent cinquante fois... et dès que possible le 108 mp qui ira avec. La fine lame (éclat de silex) d’une probable orbitoline vert émeraude attend son tour avec impatience, sans parler des pollens et autres trucs qui sont vraiment quelque chose... ^^ On va bien s’amuser.
  15. Voici apparemment le document source concernant le dernier post : => https://citeseerx.ist.psu.edu/viewdoc/download?doi=10.1.1.956.3305&rep=rep1&type=pdf
  16. << Des Involutinina enroulées de manière trochospiralée exceptionnellement bien conservés ont été trouvés dans des roches carbonatées du Trias supérieur (montagnes Wallowa, Oregon, États-Unis) et du Jurassique précoce (Alpes calcaires du nord, Autriche). Leur conservation remarquable, liée à l'imprégnation de l'épreuve avant la recristallisation, a permis d'observer des caractères habituellement effacés par les processus diagénétiques et métamorphiques. Cet article propose une révision de la morphologie, de la structure, de la position systématique, de la phylogénie et de l'aire stratigraphique de la famille des Trocholinidae Kristan-Tollmann. De nouveaux critères permettant de distinguer les genres de trocholinidés, même en cas de recristallisation intense, sont présentés. Une clé d'identification et un nouvel arbre monophylétique sont proposés pour toute la famille. Les principaux résultats de ce travail sont que 1) Neotrocholina Reichel est définitivement exclue de l'Involutinina ; 2) les genres Andersenolina Neagu, Hottingerella Piller et Septatrocholina BouDagher-Fadel et Banner sont placés en synonymie avec Coscinoconus Leupold ; 3) le genre Ornatoconus di Bari est considéré comme synonyme de Trocholina Schlumberger ; 4) la distinction entre les genres Auloconus Piller et Lamelliconus Piller est abandonnée ; 5) cinq nouveaux genres (Coronaserra n. gen., Frentzenella n. gen., Kristantollmanna n. gen., Papillaconus n. gen. et Wallowaconus n. gen.) et trois nouvelles espèces (Frentzenella frentzeni n. gen., n . sp., Frentzenella perforata n. gen., n. sp., et Wallowaconus oregonensis n. gen., n. sp.) sont introduits ; 6) l'espèce ‘‘Trocholina intermedia’’ Henson est réinstituée ; 7) ‘‘Trocholina gigantea’’ Pelissie´ et Peyberne`s, et ‘‘Semiinvoluta verrucosa’’ Tollmann et Kristan-Tollmann sont renommés Coscinoconus limognensis nom. nov. et Papillaconus kristani nom. nov., respectivement ; et 😎 de nouvelles combinaisons pour plusieurs espèces de Trocholinidae sont fournies. La reconnaissance de deux sous-familles (Lamelliconinae et Trocholininae) et de douze genres au sein des Trocholinidae souligne la grande diversité de la famille. La diversification rapide et la distribution étendue qui caractérisent le groupe suggèrent que le potentiel d'Involutinina enroulé de manière trochospirale dans les études stratigraphiques et paléoenvironnementales est largement sous-évalué. >> => https://archive-ouverte.unige.ch/unige:31018
  17. Ils auraient tout de même pu l’appeler Cornucopia, non mais sans blague... => https://www.researchgate.net/publication/258998839_Taxonomy_and_Phylogeny_of_the_Trocholinidae_Involutinina
  18. Bon d’accord, c’est l’Involutinina de la douzième page. Il ne nous reste plus qu’à déterminer l’époque et le lieu d’origine de cette roche erratique...^^ Bonjour, c’est avec grand plaisir.
  19. =>https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S163106830200043X Alcide d’Orbigny se prit d’un tel engouement pour ce groupe, qu’il se fit apporter des sédiments du monde entier par les officiers et les médecins de marine qu’il croisait dans le port de la Rochelle (Fig. 2), afin d’y rechercher de nouvelles espèces. Quelques-uns de ces petits coquillages microscopiques étaient déjà connus et classés parmi les Céphalopodes, en raison de leur forme enroulée. Mais il constata qu’ils étaient différents des autres céphalopodes, non seulement par la taille, mais aussi par leur structure interne : les loges successives n’étaient pas reliées par un siphon, mais étaient séparées par une cloison percée d’un orifice (foramen en latin) ; il baptisa ce groupe du nom de « Foraminifères » et en fit un ordre nouveau. Il ne sut en fait que beaucoup plus tard, grâce aux travaux de Dujardin 〚7〛, qu’il s’agissait d’animaux unicellulaires.
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