geopas

Mucrodactylites du Toarcien de l'Indre, en espérant que l'identification soit juste. (les pointures du Toarcien ont le droit de corriger !)

Un très vieux trilobite (Cambrien inférieur) du Maroc : Marsaisia sp.

Après cette belle démonstration de L, passons au M (ce qui tombe bien, demain étant le 1er Mai). Cranidum de Manublesia du Cambrien moyen de la Montagne Noire. En fait, c'est un sous-genre de Solenopleuropsis caractérisé par l'absence de granules sur le limbe frontal.

Leiagnostus thorali du Cambrien moyen de la Montagne Noire. Et un petit dernier (de mon côté) : Languedopeltis binodosus de l'Ordovicien inférieur.

Bon sang quelle photo ! Et voici Lonchodomas de l'Ordovicien d'Espagne 😁

En voici un (mais pas coryphaenoides) du Kimméridgien.

Sympa cette araignée de mer. C'est rare ? Lobothyris sinemuriensis du Sinémurien de l'Indre Et Leuciscus sp des diatomites tortoniennes de l'Ardèche

Le J ne faisant pas recette, on tente le K. Kerfornella dans un nodule de l'Ordovicien moyen de Crozon. Très caractéristique avec sa glabelle en forme de cloche.

Changement de date, changement de lettre : on passe au J. Jincella convexa du Cambrien moyen de la Montagne Noire. Rare d'avoir un tel groupement. Le pygidium de l'exemplaire de droite est bien visible.

Oui, il s'agissait d'un gisement exceptionnel (maintenant sur une propriété privée). Le limbe des Hanchungolithus est préservé de façon spectaculaire. Les gisements actuels les livrant sont des argilites beaucoup moins fines, limite sableuses, et on ne retrouve pas cette qualité. Hélas.

A priori, voici l'origine de ce cet article : https://www.atelier-de-france.fr/il-decouvre-par-hasard-un-gisement-dor-en-auvergne-evalue-a-4-milliards-deuros-mais-letat-bloque-lexploitation/47592/ Et le petit avertissement inséré en fin d'article : Conclusion : vous pouvez remballer vos pelles et vos pioches. Et zut, j'avais déjà fait le plein de la voiture !

Bonjour, A mon avis oui. Cela ressemble beaucoup à un hypostome de Nobiliasaphus (mais je connais très mal ces faunes). A confirmer par des chercheurs du cru ! Et un document issu de la thèse de Isabel Rabano (1988). Malheureusement des photocopies de l'original.

Isocrinus tuberculatus du Sinémurien de l'Indre.

Hanchungolithus primitivus du Floien de la Montagne Noire.

C'est un pygope au milieu de l'image ?

Un trilobite (bizarre non ?) très courant mais rarement figuré : Homalopteon radians de l'Ordovicien moyen du Pays de Galles.

On est sur un forum de géologie et pas sur un forum de gastronomie 😁

En attendant une avalanche d'Hildoceras qui ne saurait tarder, voici une ammonite du Berriasien du Djebel Nara (Tunisie) : Hegaratia (si ma détermination est bonne).

Là, je ne sais pas, mais c'est surtout à cause du caractère perforé (ponctué) de la coquille.

Malgré les apparences, Gemmarcula menardi (du Cénomanien de l'Indre) n'a rien à voir avec les "rhynchonelles" mais est à classer dans les "térébratules" (si je ne raconte pas de bêtises). Je vous laisse chercher pourquoi (ça aurait pu être l'objet d'un quizz). C'est pas dur, il suffit de soudoyer quelques chercheurs et le tour est joué.

Compris, je me suis mélangé les pinceaux en voulant décliner avec le nom de genre. Et en effet quand on veut dédicacer à un groupe de personnes de même patronyme, on termine en -orum. En plus, on trouve plein d'exemples :

Holotype. Bien. Sinon petite question de latin sans importance. Je pensais que les noms de patronymes devaient se terminer par -i. (pour marquer le neutre). En parlant d'holotype, voici un double G. C'est un échinoderme du Cambrien moyen de la Montagne Noire : Gogia gondi. A l'occasion, il faudrait que je refasse une photo de meilleure qualité.

Evidemment, les gryphées. ... Une Gryphaea mccullochii (aux dernières nouvelles, c'est le nom d'espèce pour les gryphées du Sinémurien supérieur).

Oui, on passe à G. Les F semblent se faire rares ! Ginglymostoma des phosphates de Tunisie (détermination via Géorum).