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smoky

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Tout ce qui a été posté par smoky

  1. Salut Fred Content de te savoir encore en vie. Cela faisait un bail. La bourse de l'Union, je n'en sais rien, ça fait un an que j'ai décroché.
  2. Je comprends mais je ne suis pas certain que pour ce type de gisement le pillage soit possible (roche massive, dyke profond), ni même motivant pour les éventuels "pilleurs" ou considérés comme tels. Et puis cette notion de pillage me fait toujours rigoler. Je ne connais aucun collectionneur qui se considère comme un pilleur. Sauf que 10 collectionneurs qui se rendent sur un site en même temps et qui font un prélèvement modeste d'une cagette par personne, laissent sur place, pour les suivants, le sentiment d'un champ de bataille, alors qu'individuellement chacun aura eu le sentiment d'avoir fait un prélèvement raisonnable, ce qui est parfaitement vrai. C'était juste une parenthèse qui n'attend aucune réponse lesquelles sont généralement dérapantes en la matière.
  3. Je pense que la bauxite n'a toujours rien donné. Par contre l'encaissant peut faire quelques trucs (sans lien avec la bauxite d'ailleur). A Unjat (09), il y a, ou avait, des calcites oranges sympatiques. Plus loin des Pyrénées, les bauxites des environs de Montpellier sont associées à une couche de poudingue trés géodique façon Pau. Il y a de grosses géodes décimétriques remplies de cristaux de calcite pas mal du tout. Pour les zircons je suis surpris qu'on fasse encore des mystères sur le secret de Polichinel de leur origine bien connue de tous.
  4. Bien, mais quelle est la part dans tout ça du recyclage de pièces anciennes et de véritables nouveautés ?
  5. Bon d'accord, je crois qu'on a compris, vous avez tous bien picolé et vous vous êtes bien marrés... mais question cailloux il y avait quoi ?
  6. La couleur de la prehnite s'altère rapidement (à l'échelle des temps géologiques) à l'air libre. En général, les oxydes de fer en surface proviennent d'une transformation du fer ferreux contenu dans la prehnite et responsable de sa couleur, en fer ferrique en pellicule de surface. C'est pour cela qu'en général lorsqu'il y a des oxyde de fer en surface de la prehnite, le passage au dithio ne fait que révéler en dessous une couleur blanchâtre avec en général un manque de brillance, car les quelques premiers millimètre de prehnite en surface sont altérés. Si tu veux avoir de bon spécimens, je pense que la seule solution est de trouver des zones de basalte où à l'intérieur les géodes n'ont pas été exposées aux altérations. Bon courage Frédéric
  7. Premièrement j'adore les prehnites. Ce minéral est un des mes minéraux préférés pour lequel j'ai trouvé une foule de gisements dans les Pyrénées, lesquelles sont un véritable terroir pour ce minéral. Donc, par comparaison avec ce que je trouve par chez nous, je te dirai que oui, la forme de Prehnite du Jbel Melh est assez classique. C'est une des formes les plus courantes dans les ophites (qui sont aussi des basaltes). Les prehnites pyrénéennes qui forment des boules ou des roues de "plaquettes" non toutefois pas le même rapport hauteur / épaisseur qu'au jbel Melh, mais le principe cristallographique est le même. C'est toujours un empilement de cristaux le long des faces (001). Cet empilement, pour une raison que j'ignore, est la plupart du temps centripète ce qui fini par former une roue. S'il y a plusieurs germes, les roues s'entrecroisent et on a des boules. Si les les faces (001) sont plus trapues et que les empilements sont parfaitements alignés avec développement important des faces (110) on a ... un casque. Frédéric Toutefois, ce qui est moi classique c'est la dimension des cristaux et donc des sphères au Jbelh Melh, ce qui en fait sans doute un des meilleurs gisements mondiaux.
  8. Où peut ont trouver de l'acide sulfamique et de l'acide formique ? Est ce que ça peut marcher pour supprimer des croûtes de calcite de 1 ou 2 cm d'épaisseur ?
  9. La prehnite dans les basalte est extrêmement courante... C'est même la roche dans laquelle elle cristallise le plus souvent... chez nous et en Espagne dans les ophites (basaltes tholéitique), ailleur en Ecosse, en Namibie, en Inde et dans plein d'autres localités et bien sûr e. au Cap (Afrique du Sud) localité type. Tes prehnites sont fabuleuses, en creusant un peu il doit y avoir des prehnite de fou dans ce secteur.
  10. Bonjour à tous Je m'interroge sur un truc. La population des minéralogistes n'est probablement pas vraiment en augmentation (mais qui a des statistiques là dessus ?). Pourtant depuis des années on abreuve les bourses de minéraux de partout. Or les minéraux ne sont pas périssables, en principe, même si pas mal d'entre eux doivent probablement terminer à la poubelle. Et donc je m'interroge ! Où vont tous ces minéraux entre le recyclage des collections et les nouveaux arrivages souvent intensif ? Ne devrait il pas y avoir une saturation du marché ? Si ce n'est pas le cas, j'ai bien peur que tout cela termine en vrac dans des greniers ou dans des poubelles... après on pourra discuter longtemps de notre capacité à prétendument sauvegarder ces merveilles de la nature... Qu'en pensez vous ? Frédéric
  11. Un copain gabonais m'a montré des bulles d'agathe plus ou moins géodiques qu'il récoltait en abondance dans le lit d'un ruisseau prés de chez lui. Il peut très bien y a voir bien mieux, genre géode d'améthyste, sachant que le copain en question est nullement minéralogiste. Est ce que quelqu'un en a entendu parlé ,
  12. Pour le Tourmalet, peux tu préciser ton projet, date et objectif, par mail, je préfère. Mais il est difficile de prévoir mes disponibilités en ce moment. J'ai fait deux sorties aux cailloux en 6 mois... et le mois d’aout risque d'être studieux autant que les autres.
  13. Petit rappel concernant le ramassage des minéraux dans le parc. A l'origine, cette interdiction a pour objet d'interdire la prospection métallogénique qui pourrait aboutir à l'ouverture de mines dans un parc national. Mais tous le monde a oublié le pourquoi, même les gardes du parc. En comparaison le ramassage des cristaux est bien peu de chose et n'ont rien à voir, surtout qu'ils sont en situation de sub-surface alors que les gites sont dans une dimensions kilométrique donc par essence protégés de tout. Ce n'est donc pas une récolte de surface qui peut apauvrir la "valeur" patrimoniale d'un parc. La récolte de cristaux en sub-surface, en phase de destruction par la nature mériterait d'être récolté sans arrière pensée .... sauf à détruire inconsidérément le biotope tout autour. Les parcs nationaux sont un peu des farces avec des règles écrites par des gens qui n'y comprenne rien et/ou qui sont sous influences de lobbies. Dans le Parc National des Pyrénées vous ne pouvez pas ramasser une fleur ou un caillou mais vous pouvez pêcher la truite ou mettre vos troupeaux (lesquels vont brouter et écraser un nombre considérable d'espèces rares). Vous pouvez également faire du ski avec de jolis remonte pente en plein parc ou encore créer un énorme parking goudronné sans un seule arbre (entrée du parc à Cauterêt). Dans d'autres parcs (Haue Tauern, autriche) la récolte des minéraux est autorisée mais réglementée. Dans celui des Picos, elle n'est pas interdite et pour cause.... à la création du parc il y avait une foule de mines en exploitation à l'intérieure de celui-ci... Tout cela pour dire que je n'adhère pas à l'esprit de sacralisation sans pour autant adhérer à celui du saccage, mais cela en tout lieu, pas besoin d'un PN.
  14. Salut Pirenenc codolos. Saint Lary (09): - Le gite à quartz / Ankerite est vraiment curé de chez curé. J'y suis passé avec mon fils il y a quelques semaines. Peut être des possibilités de trouver au dessus de la piste dans les bois mais le fentes affleurent mal et on ne peut pas creuser partout au hasard. Dessous la piste, continuité de la dolomie avec des veinules quartz / ankérite / chalcopyrite avec pratiquement aucune ouverture mais une jolie mine gallo-romaine de quelques dizaines de mètres. - Le gite de l'Osque de la Coumasse (plus haut et dans les schistes celui là) semble encore productif mais faut travailler dur. Pour le secteur Arroubert, Soum d'Arre et Migouelou, je connais mal. Mais ce sont des secteurs qui ont été très, très fouillé par beaucoup de monde. Tout dépend ce que l'on recherche, du micro ou du macro. Pour le micro c'est plus facile. Pour le reste ?
  15. Salut Orléan. En la matière je pense que tu raisonne trop en contemporain moderne. Je pense que c'est une erreur de transposer notre façon de voir le monde et de vouloir la greffer sur d'autres sociétés, encore plus à celle du passé. Détrompe toi, les actes artistiques notamment dans les sociétés dites "primitives" ne sont pratiquement jamais des actes gratuits ou l'expression d'un délire. Bien sûr tu peux plonger dans les récits, rapports et autres thèse d'ethnologie et penser que tout cela est de la foutaise... Cela sous-entend alors que de nombreux éminents chercheurs ne sont que des fumistes qui projettent leurs propres désirs sur une autre réalité plus prosaïque... un peu facile même s'il y a sans doute parfois un peu de ça. La simplicité de notre rapport au monde réel n'engage que nous... une poignée d'occidentaux. Ailleurs du Pérou à l'Inde, de l'Afrique à la Mélanésie, la sensibilité et les repères ne sont plus les mêmes... la population cartésienne est largement minoritaire par rapport à la population mystique, même si l'occident regarde toujours son nombril. Mais revenons aux cailloux nom de DDDDDieu ! Pour répondre concernant les mines de fer basque, type Barossa ou Ainoha, on doit en principe y trouver des la sidérite en pétale façon La Mure avec de temps en temps quelques cristaux de chalcopyrite.
  16. Je partage ton point de vue sur l'art pariétal au sujet duquel il y a beaucoup de conjectures... mais pas tant que ça... car l'art pariétal s'est poursuivi sur un mode assez semblable jusqu'à l'époque contemporaine dans d'autres région du monde comme en Papouasie, en Australie ou en Amérique du Nord, cet art là est mieux connu de manière sémantique et comme ces hommes là, jusqu'à qu'on déstructure leur civilisation d'origine, ont été l'objet d'études de bon nombre d'ethnologues. C'est donc à partir de cet art pariétal connu de manière contemporaine qu'on en a fait des suggestions sur leur rôle dans les sociétés paléolithique européenne antérieures... Mais le paléolithique ailleurs s'est poursuivi jusqu'à une époque extrêmement récente... et ça il ne faut pas l'oublier.
  17. Bonjour à tous. Je profite des remarques d'Azurite 09 et d'EricT pour m'immiscer dans le débat. Dans ce sujet, il y a deux choses: l'objet, "la nature", et le regard porté sur celui ci. Parlons d'abord de la nature. La nature en Europe est une vue de l'esprit. Notre paysage et particulièrement celui des Pyrénées et le résultat d'une construction / déconstruction menée par l'homme depuis des millénaires. Par exemple, si les Pyrénées étaient une vraie "nature", le sapin démarrerait en face Nord à partir de 700 m (en mélange avec les feuillus) pour monter jusqu'à 1800 m où il serait progressivement remplacé par le pin à crochet qui couvrirait les pentes presque en continu jusqu'à 2400 m formant ainsi une brousse impénétrable. Or ce n'est pas le cas aujourd'hui. Pour commencer les romains ont presque tout cramé dés leur arrivé. Puis le moyen âge a modifié et grignoté la forêt partout. A la fin du 17° scècle nos forêts ne sont plus que des taillis de hêtre qui partout ont remplacé le sapin à l'exception de forêts "royales" ou "seigneuriales", souvent de mature. Le plus bel exemple est celui de la forêt de Sault (Ariège/Aude) dont le périmètre était marqué par des gravures de fleur de lys dans la pierre.... Les cultures autrefois montaient très haut, jusqu'à 1200 m en face Sud pour la pomme de terre ou le blé noir, 1400 m pour les dernières prairies de fauche. Les estives ont leur ampleur maximale et sont surpâturée. Sur terrain granitique la lande à Rhododendron n'existe pratiquement pas. Les marques de l'homme sont dans les grandes structures du paysages mais également dans les détails: petites carrières partout (pierre à bâtir, ardoise, lauze), mines, roches gravés ou plantés pour marquer les limites de parcelles, arbres émondés et taillés, etc... Qu'en est il maintenant de la perception ? Jusqu'au 18°siècle, on ne se pose pas trop de question. Surtout dans les campagnes. L'important s'est de survivre. La notion de patrimoine naturel n'a aucun sens. L'environnement est là pour subvenir à nos besoins, considérés tout à tour comme un allié ou comme un ennemie. Dans tout les cas, un substrat à exploiter ou maîtriser. Au début 18° siècle. Le monde change. D'abord la nature est au paroxysme de son exploitation et la population montagnarde aussi. Pensez qu'il y avait 1500 habitants à Sentein à cette époque ! Ensuite arrive la révolution industrielle qui va progressivement vider nos campagnes et permettre aux terrains les plus difficile de se régénérer. Au même moment nait le romantisme qui construit un mode de perception qui oppose ville et campagne avec une mise en exergue du mythe "pastoral". Une sorte de Paradis perdu de communion de l'homme avec la nature où on vient se ressourcer pour oublier le bruit, la frénésie et la pollution de la ville, déjà à l'époque ! Ce mythe est à l'origine de notre perception contemporaine du paysage auquel pratiquement nul n'échappe grâce à la puissance des médias et notamment du cinéma. Avec l'urbanisation galopante en périphérie des grandes villes ce mode de perception ne cesse de s'accentuer jusqu'à la caricature... tout ce qui n'est pas urbain devient nature. Maintenant revenons au contexte. Le sentiment de rejet ou d'acceptation d'un acte visant à modifier ponctuellement les éléments qui nous entoure obéit à trois paramètres: notre histoire personnelle, notre culture sociétale, et les repères immédiats de l'environnement. Tout ce mélange dans le cerveau pour nous dire: ça c'est bien, ça c'est une horreur. En fait la réaction d'Azurite 09 est en ligne droite de la culture romantique qui nous imprègne mais si on n'en a pas nécessairement l'impression. A mon avis, on ne peut pas mettre sur un même plan l'acte isolé d'un artiste avec les "oeuvres" de nos ancêtres, pour une raison simple: ce qu'il faisaient obéissait à un sens commun: un marquage de territoire dont la typologie est récurrente, un acte sacré dans lequel toute la communauté se retrouve, etc... Notre société est marquée par une explosion de l'individualité dans lequel l'acte artistique n'est souvent plus accessible ... qu'à l'artiste lui même. Ce n'est donc un repère pour personne et ne sera jamais un élément de patrimoine... sauf à rendre public la démarche et à lui donner une certaine envergure où à porter un message dans lequel toute la société se retrouve. De mon point de vu, si on commence à laisser faire ces gravures de vulve en pleine montagne... que dira-t-on à ceux qui se mettront à créer des tags géants sur nos falaises ! Car ça viendra un jour ! Nous vivons un drôle de paradoxe, car au moment où la culture explose en une somme de "moi" qui aboutit notamment à une forme urbaine de plus en plus chaotique (mais on en revient); il y a un besoin de retrouver un espace qui a un sens commun, où les sons et les images ne sont plus du bruit mais une sorte de récurrence harmonique (la répétition en variation de tel ou tel élément végétal ou minéral, le rythme du champ des oiseaux ou du clocher du village... bref tout ce que le cerveau arrive à identifier). Du coup on a une sacralisation de l'espace "naturel" ou plutôt de l'espace "non urbain" qui est tout à fait légitime, mais qui n'est qu'une posture de notre époque.
  18. J'oubliais de préciser qu'il y a un autre effet qui vient polluer ces sujets et bien d'autres... le fait de balancer des photos sans explication... un peu comme on tire une balle. Parfois on n'a même pas le nom du minéral ! On oublie trop souvent que l'image sur un forum doit être vu comme un support de discussion, une illustration d'un propos, et non l'inverse. Sinon c'est une gallerie, ce n'est pas un forum. Il ne faut pas se tromper. Une image devrait s'accompagner du nom du minéral, d'une idée de dimension, de l'origine, de la date de récolte ou de collection, et ... du pourquoi on présente l'objet géologique en question... Sinon, non seulement l'intérêt s'en trouve réduit, mais en plus ça donne le champ libre aux débordements du type: "ben pourquoi tu mets cette pièce elle est bof bof" ce qui engendre des réflexes de vexation et des répliques qui n'en finissent plus.
  19. Chers amis, juste une petite remarque sur ce que j'ai pu lire sur les différents "tops". Lorsqu'on définit un sujet de discussion, ou de débat, quel qu'il soit, il me semble qu'il faut avant toute chose bien définir les termes qu'on utilise. C'est primordial. On ne peut pas imaginer le nombre de discussions ou de réunions de travail ou tout le monde s'engueule pendant des heures alors que ... au fond tout le monde est à peu prés d'accord. Lorsqu'on décortique ce qui a fait capoter la réunion, c'est très souvent la même chose: personne ne met le même sens derrière les même mots. Il appartient donc peut être à l'auteur de ces sujets de redéfinir clairement les mots utilisés. D'autre part, j'attire l'attention des participants que lorsqu'un auteur défini précisément ce qu'il entend derrière les mots qu'il emploie, c'est à sa définition qu'il faut adhérer et non pas à une autre, même dérivée... sinon .. tout part en vrille. Bref, un peu de rigueur que diable ! Pour en revenir à la notion de TOP, il faut faire remarquer également que le top n'est que l'image d'une qualité à un instant T reconnu par un nombre X de personnes. A l'instant T+1 le Top est peut être dépassé et le nombre de personnes qui le sait est peut être très limité. Sans parler de subjectivité et de sensibilité personnelle... D'où la difficulté des discussions sur ce sujet. Un exemple... pour beaucoup de monde les améthystes de Guerrero au Mexique sont parmi les meilleurs du monde pour le type allongé... mais c'est oublier les améthystes de Madjarovo en Bulgarie que pratiquement personne ne connait, et qui ont la même forme, la même couleur et qui on atteint la modeste de taille de .... 40 cm ! Mais qui le sait ? Pas grand monde... Pourquoi ? Découverte faite il y a 40 ans en pleine période communiste, avec pratiquement aucun échantillon sorti du pays... sauf par quelques collectionneurs allemands (de l'Est) venus récolté quelques miettes. Pourquoi je le sais... le géologue de la mine en question (fermée aujourd'hui) est un ami... j'en ai vu, tenu, et récolté quelques unes (mais bien plus modestes). Tout ça pour dire qu'en fonction de nos connaissances personnelles, de notre sensibilité et du moment, le top est un objet très relatif, qui ne mérite pas qu'on s'étripe pour lui mais qu'on s'explique aimablement.... et on apprendra tous quelque chose.
  20. J'adore la première.
  21. J'en ai une aussi de la Pic d'Arazur (Bouleste), mais pas de photo.
  22. Merci JBD. Je trouve que c'est sympat d'animer le sujet de la sorte. On devrait le faire plus souvent.
  23. Raahhh Gaston il est trop fort !!! Encore gagné ! En fait ce sont des soufres natifs qui se développent dans des moules en creux de dolomie ou de talc aprés dissolution complète de la pyrite. Il ne reste alors que des dendrites de limonites sur lesquelles on trouve des pustules de cristaux de soufre. Le phénomène doit être assez fréquent mais comme personne ne s'intéresse à des pyrites bouffées ça passe inaperçu. Plus maintenant sans doute... Frédo
  24. Nan nan, ce n'est toujours pas ça mais ça se réchauffe encore.
  25. Nan trop bas... mais vous commencez à chauffer...
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