Ricaille

Nuages partout !!!! Vivement l'été, qu'on retrouve le beau soleil ! Tiens, comme cet été sur les Hauts Cantons Ou aller bronzer au bord de la "grande bleue"

Pas facile de trouver des photos de "grosses" émeraudes sur la toile... J'ai trouvé ceci : Bah, on peut dire qu'elle n'est pas parfaite, mais je lui accorderai bien l'asile chez moi... Ou encore ça : Mouais ! Ou alors : Moins gros, mais plus joli. Afghanistan semble-t-il, alors que les précédentes viennent du Brésil. Bon, on se console comme on peut : Je sais : l'est pas parfaite, l'est pas belle, l'est pas grosse... mais je la fais chanter au soleil de mon jardin, alors elle me plaît ! Autrement, du beryl maousse, j'ai, mais pierreux il est, et pas question d'envoyer des feux au soleil... En attendant vos trouvailles pour des gemmes XXL...

Bah ! Désolé, je n'ai fait que mettre des guillemets aux propos des journalistes... Mais c'est vrai, il faut TOUJOURS vérifier les propos des journalistes. Oui, ce serait intéressant si quelqu'un pouvait dénicher une photo de ces monstres avant la taille. En tout cas votre amie a eu beaucoup de chance. Au fait, la galerie minéralogique au jardin des plantes à Paris était fermée pour travaux l'année passée, je n'ai pas pu y emmener ma classe. Quelqu'un y est-il allé récemment ? Y a-t-il eu des changements ? En bien ... ?

Whaouh ! J'ai pô d'étagère suffisamment costaud, je ne participerai pas à l'enchère... "La plus grosse émeraude du monde, évaluée à Calgary à 1,15 million de dollars, sera vendue aux enchères à Kelowna à la fin du mois. La pierre précieuse a la taille d'un melon d'eau. « Elle est d'un magnifique vert profond. Pour moi, c'est tellement beau, c'est spectaculaire! », s'enthousiasme le propriétaire de la compagnie d'enchères Western Star, Mike Odenbach. Selon M. Odenbach, la pierre pourrait être vendue à un prix bien supérieur à 1,15 million. « Ce n'est pas rare qu'une pierre précieuse soit vendue à un prix bien plus élevé que celui auquel elle a été estimée. Ça dépendra de qui voudra être propriétaire de la plus grosse émeraude du monde. Sky is the limit ». L'actuel propriétaire de la pierre de 57 000 carats est un vendeur de Calgary. L'émeraude, nommée Teodora, provient cependant du Brésil, et elle a été taillée en Inde." d'après radio Canada, mardi 17 janvier 2012. Précédemment, c'était celle-ci qui détenait le "record" : "La plus grande émeraude du monde a été exposée pour la première fois en Colombie. Cette émeraude de 2.270 kg et de 15.000 carats, a été extraite d'une mine située à 75 km au nord de la capitale Bogota il y a 12 ans. Elle a été exposée dans plusieurs pays, ce qui n'était pas le cas en Colombie pour des causes de sécurité." Juin 2011.

C'est vrai que je n'y avais pas pensé, cela correspond bien, cela fait une quarantaine de kilomètres. Il y avait un magasin de minéraux, fossiles à Villefranche. Salut Lalex. Tu ne peux pas savoir comme j'aimerais bien passer de l'eau dessus... ! Aux prochaines vacances !

As-tu essayé une bonne trempette pour voir si tout cela restait ensemble et gardait le même aspect en sortant de l'eau ? As-tu humé pour détecter éventuellement une odeur suspecte (colle ou solvant) ? Zut, je m'aperçois que gadin m'a précédé sur le même chemin... En tout cas, un bon coup d'oeil sous une grosse loupe devrait t'en apprendre un peu plus... Et un petit grattage également, pour voir si la malachite existe encore en profondeur...

Je crois que j'ai trouvé quelques renseignements ici : http://roches-ornementales.com/Site-Languedoc/LANGUEDOC.HTML . Un site très intéressant semble-t-il. "En diverses localités des Pyrénées-Orientales, des brèches massives, comportant des éléments mélangés allant jusqu'à l'Albo-Aptien, et discordantes sur des étages divers du Jurassique ou du Crétacé, ont été cartographiées, et certaines d'entre elles exploitées. Leur âge est incertain, pouvant s'étendre du Crétacé supérieur à l'Oligocène. Elles sont en tout cas postérieures à la phase métamorphique et tectonique des Pyrénées. La brèche de Baixas (Pyrénées-Orientales) était mentionnée par une enquête de 1748 (Bresc-Bautier et Du Mesnil, 1986), et était active en 1889. De belles coupes au fil hélicoïdal subsistent, mais il n'y a plus maintenant qu'une activité de concassage. Le contact avec les calcaires jurassiques, découvert par l'exploitation de concassés, est vertical et tectonisé. La brèche massive est polygénique, comportant des éléments anguleux de marbres blancs paléozoïques ou jurassiques, des calcaires noirs du Lias, des dolomies jurassiques, des fragments de schistes verdâtres, dans un ciment gris ou rougeâtre. Cette roche portait différents noms de fantaisie comme brèche romaine, brèche orientale, brèche de Portugal ! A Estagel a été signalée une brèche, discordante sur le Jurassique-Crétacé inférieur, à éléments montrant un métamorphisme haute température à scapolite (Durand-Delga et al,, 1980). Son exploitation était ancienne puisqu'elle a été constatée en 1748 et 1823, mais elle n'a plus été signalée par la suite. A Tautavel (Pyrénées-Orientales), une brèche calcaire massive, discordante sur des marbres bleus a été extraite par découpage au fil hélicoïdal, dans une petite carrière abandonnée dans les années cinquante sur la rive droite de la gorge. Cette brèche est formée d'éléments anguleux bleus et blancs, dans un ciment jaune-orangé, et se compare à celle de Baixas. Les grandes carrières dominant Tautavel et recouvrant la brèche produisent industriellement depuis 1954 des produits concassés pour la fabrication de granitos et de poudres blanches très pures à partir de marbres blancs du Jurassique supérieur. La brèche du Cap Romarin (Aude) est produite dans deux carrières voisines, sur les communes de La Palme et de Port-la-Nouvelle, sous les noms de Saint-Jean Fleuri ou Brèche Nouvelle. C'est une brèche massive, à éléments de calcaires bleu-noir entrecoupés de filonets de calcite blanche et de calcaires gris, dans un ciment souvent rouge-brique. Les éléments les plus récents datent de l'Aptien et de l'Albien, la brèche apparaît discordante sur le Jurassique, ailleurs elle l'est sur le Crétacé inférieur. Bien que des brèches aient été mentionnées en intercalations dans le Jurassique supérieur, il semble que la brèche du Cap Romarin doit être rattachée à l'ensemble des brèches discordantes post-albiennes (Crétacé supérieur à Oligocène). La carrière de La Palme (à forte karstification) semble abandonnée, tandis que celle du Cap Romarin a été réactivée depuis deux ans par la société Pitié de Castres, avec des techniques modernes (grande haveuse Fantini pour le sciage de base, câble diamanté pour les sciages latéraux, forages et coins à main ou coins hydrauliques pour la coupe arrière). Il en résulte de beaux blocs de 6 à 8 m3, vendus surtout en Italie. Fig. 9 - La carrière de brèche du Cap Romarin" En ce qui concerne mon évier, Baixas, Estagel et Tautavel sont deux bons candidats

Ah ça, je peux t'en assurer, il a fallu trois gaillards pour le charger sur la remorque ! Donc on en restera à la brèche, une espèce de conglomérat. Je me demande avec quels outils on creusait ces éviers, comment on les polissait. Existe-t-il des traces de ces anciens métiers ?

2012 : des nouvelles de mon évier. Il a bougé d'une bonne centaine de kilomètres pour atterrir en Hérault ! Dernier avis, on disait que c'était de la brèche... pas d'autre avis ?

Que diriez-vous d'un petit rayon de lune pour commencer l'année ? Ou plusieurs,.. ?

Bonne année à toutes et tous ! Santé, amour, amitié, et beaucoup de belles trouvailles à partager sur Géoforum !

Merci pour cette bonne pinte de rire ! Par les temps qui courent, ça ne se refuse pas...

Non, malheureusement, je n'ai pas la contre empreinte... snif ! (mais je suis vraiment heureux de posséder cette pièce) Merci pour les précisions apportées.

Bonjour, J'ai fait l'acquisition de cette pièce à la bourse de Villeneuve d'Ascq, Fossilium, et voici les renseignements qui m'ont été communiqués : Hovasaurus - Permo trias Région de Morondave - Madagascar Ce qui m'intrigue (excusez mon ignorance) ce sont les espèce d'"arêtes" que l'on aperçoit entre les côtes. On ne les voit pas dans les descriptions anatomiques que j'ai pu copier sur le net.

Les "choumettes", c'est une expression familière pour choux de Bruxelles... Tu pourras voir dans une autre rubrique, une cueillette héraultaise...

Avril 2010, c'est loin déjà... ce furent mes premières, et mes papilles s'en souviennent encore !

Dans Ch'Nord, petit jardin, petite récolte, mais GRANDE satisfaction... Et encore, je ne vous ai pas mis les patates, et il me reste les choumettes à cueillir !

Le 10 novembre, j'étais à Amsterdam, et j'ai pu assister au concert de Kenny Wayne Shepherd. Si vous aimez Hendrix, si vous aimez Stevie Ray Vaughan, alors ne loupez pas celui-ci s'il passe dans votre contrée...

Fin Août, pas loin de Sète, la mer était très calme... Cliquez

Beaucoup de soleil dehors, mais pas la grande foule de visiteurs pour cette édition 2011. Cependant les exposants comme à leur habitude n'hésitent pas à apporter des explications aux plus jeunes et de magnifiques spécimen sont encore à découvrir. Le beau spécimen est devant, pas derrière ! Des visiteurs peu nombreux mais fidèles... On recrute pour le club de géologie de Wasquehal... ( www.geologie-info.com )

J'en ai encore une, du même tonneau :

Une petite de Dalnegorsk, qui réagit beaucoup aux UV. *

Encore de Madagascar, 7cm de haut, 6 de large, 4 d'épaisseur pour l'ensemble, une émeraude. Pas complètement gemme, bien sûr, mais j'aime, quand même ! * * *

Héliodore de Madagascar. Hauteur 5cm, largeur 7cm, profondeur 5,5cm, 280 grammes. * Vu de dessus