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Posté(e)

fracture circulaire au sommet du Pié de Mar (Gard, France)
Pié de Mar, montagne champignon à pression interne ?
1. CONTEXTE OBSERVE
Le massif calcaire appelé localement Pié de Mar (alt. 350 m) présente les caractéristiques suivantes :
Il forme un relief isolé, en forme de dôme, dont le sommet est bordé d’une couronne circulaire de valats (petits exutoires..).
Cette couronne semble marquer une ancienne fracture en cercle, où la roche a cédé par poussée interne.
Tous les valats semblent nés de ce point périphérique, à la manière d'une capsule qui aurait sauté.
Contrairement aux collines voisines qui semblent en croissance ou en déformation progressive  (de + 8 à +11 m)
(par sédimentation ou pression tectonique), le Pié de Mar montre une stagnation apparente de son relief, voire un léger soulèvement localisé + 4m
Ce motif circulaire, conjugué à l’absence d’effondrement central visible, évoque un processus de pression ascendante interne et de rupture en périphérie.
2. HYPOTHESE FORMULEE
Le Pié de Mar pourrait être une structure rigide, posée sur un socle autonome, et creusée de réseaux souterrains.
hypothèse suivante :
L'eau confinée en profondeur exerce une pression verticale et latérale croissante, sans pouvoir s'évacuer efficacement.
Cette pression aurait provoqué une rupture circulaire à la couronne, point faible d'altération superficielle.
Le massif se serait donc "décapsulé" à son sommet, comme un champignon ou une caldeira sans effondrement central.
La disposition rayonnante des valats indiquerait une émission simultanée à partir de cette couronne.

COMPARAISON SYMBOLIQUE : ALEPOTRYPA (GRECE)
La grotte d'Alepotrypa, dans le Péloponnèse, présente un effondrement circulaire à son sommet,
conséquence d'une pression interne dans une cavité karstique.

je voudrais bien soumettre cette hypothèse à la discussion et/ou au contrôle de spécialistes (hydrogéologues,
karstologues, géomorphologues) afin de :
Confirmer ou infirmer l’existence d’un soulèvement interne ancien ?
Rechercher la présence de conduits souterrains rigides jouant le rôle de trop-plein ?
Évaluer les risques potentiels liés à la pression hydrologique actuelle dans ce massif ?
merci, muriel

Posté(e)

pour avoir lu dans les canards.... les puisatiers de notre décennie ont bouché toutes les sorties pour envoyer l'eau à une source pleine de caca ainsi qu'à la capitale de l'Hérault. Peut être des fakes ? Les fontaines je crois 40 sur ce village ont été condamnées, les puits sont règlementés  et l'arrosage aussi ...je ne suis pas spé c'est bien pour ça que je pose la question ici. La carte dit qu'au Sud Est la colline a poussé de 8 m, qu'au Nord disons 11 h la montagne a poussé de 11 m et la seule qui grandit moins vite seulement de 4 m c'est Pié de Mar

Merci pour votre réponse interrogative AMEDE

la stagnation relative de Pié de Mar, dans un contexte où l’eau est désormais piégée ou canalisée, me semble interroger.

Si vous avez accès à une notice plus détaillée ou à des relevés hydrogéologiques précis, je suis preneuse.

Bien cordialement,
Muriel

Posté(e)

Il faut aller sur infoterre, cartes géologiques au 1/50000. Ensuite, trouver le lieu grâce à ceci (ce n'est pas très précis pour le hameaux, le mieux est de taper la nom de la commune).

Capturedcran2025-07-29154959.png.72668b2567992bcf5e2443c13a5842cb.png

 

 

Ensuite, cliquer grâce à l'icone avec un petit i sur la zone. Vous obtiendrez ceci.

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Ensuite, compléter cet url en remplaçant les astérisques  par le numéro de votre carte, en bleu :

http://ficheinfoterre.brgm.fr/Notices/0***N.pdf

 Une fois sur la notice, chercher le nom de la couche, en rouge. Dans votre cas éplucher la notice voir s'ils parlent de cette colline.

 

Sinon, l'élévation, c'est sur quel laps de temps ?

Posté(e)

oui c'est ça ! et ça n'est pas du tout une montagne ordinaire. 

Merci beaucoup pour vos retours et pour l’extrait cartographique.

Oui, si on suit la lecture classique de la carte BRGM, le Puech de Mar pourrait être perçu comme l’extrémité d’un synclinal. Mais justement, ce sont souvent les extrémités ou charnières de ce type de structure qui concentrent les anomalies de terrain, les tensions hydriques et parfois les ruptures différentielles.

Dans mon cas, ce qui m’interpelle, ce n’est pas uniquement la géométrie géologique mais :

les soulèvements différents mesurés en des points voisins (ex : +11 m, +4 m sur le Puech et 8m),

la saturation hydrique étrange du sous-sol,

les sources disparues ou détournées,

et des indices topographiques anciens qui semblent désigner ce mont comme un point de tension ou de bascule.

Je ne prétends pas tout comprendre, je ne suis pas géologue — mais je suis sur le terrain depuis longtemps, avec des relevés visuels, des observations locales, et des témoignages concordants.

L’idée n’est pas d’opposer mais d’ajouter une lecture : sensible, hydraulique, symbolique parfois, mais toujours ancrée dans ce que le terrain “montre” quand on prend le temps de l’écouter.

Si ce n’est “que” l’extrémité d’un synclinal, alors peut-être est-ce une extrémité instable, comprimée, ou comprimante. Et ça m’intéresse d’autant plus.

Merci pour votre attention,
Muriel

Posté(e)
il y a 33 minutes, muriel a dit :

les soulèvements différents mesurés en des points voisins (ex : +11 m, +4 m sur le Puech et 8m),

C'est mesures ne veulent rien dire sans leur context temporel ... C'est élévations se sont faites sur combien de temps ?

il y a 35 minutes, muriel a dit :

Si ce n’est “que” l’extrémité d’un synclinal, alors peut-être est-ce une extrémité instable, comprimée, ou comprimante.

C'est à dire ? 

Je ne crois pas que de l'eau puisse être à l'origine d'un soulèvement notable de terrains, de plus, les cavités karstiques ne sont pas sous pression. Dans le cas d'un effondrement, c'est seulement gravitaire.

Posté(e)

Merci Amede, oui bien sûr les mesures isolées n’ont de sens qu’avec leur pas de temps. Mais ici je parle d’observations locales comparatives entre altitudes anciennes relevées (cartes, GPS agricoles, repères IGN, murs de soutènement) et les données actuelles.

Je n’exclus pas un phénomène gravitaire, mais je m’interroge sur un système karstique bloqué par saturation (ou colmatage), pouvant temporairement créer une poussée interne sur des parois déjà fracturées. On observe d’ailleurs :

des ruptures, affaissements, arrachement de blocs,

un possible bec de surpression (le "bec verseur"),

et une structure circulaire des valats.

Je ne prétends pas avoir raison, j’avance seulement pas à pas depuis le terrain. Et j’écoute tout ce qui permet d’avancer ensemble.

Posté(e)
il y a 28 minutes, muriel a dit :

Mais ici je parle d’observations locales comparatives entre altitudes anciennes relevées (cartes, GPS agricoles, repères IGN, murs de soutènement) et les données actuelles.

Je pense que ce écarts sont dues aux incertitudes des mesures anciennes, et non à un réelle élévation. D'où viennent ces données ?

il y a 29 minutes, muriel a dit :

Je n’exclus pas un phénomène gravitaire, mais je m’interroge sur un système karstique bloqué par saturation (ou colmatage), pouvant temporairement créer une poussée interne sur des parois déjà fracturées.

Les système karstiques sont soumis a de fortes et soudaines variation de niveau d'eau. Je ne crois pas qu'un tel phénomène soit possible, avez vous des sources ?

Il n'y a guère que de l'eau en phase gazeuse, et en surpression, pour faire "sauter" un terrain de la sorte ...

Posté(e)

Gardons le sourire, et puisque l'on nous soumet une "énigme", essayons de suivre le  fil.

C'est à n'y rien comprendre: de quoi nous parle-t-on au juste ?

Des photos pourraient nous éclairer peut être... montrer ce que seraient ces soulèvements incompréhensibles.

Existe-t-il des documents, des sources d'information qui pourraient être citées ici?

Qu'en pense le spéléo club local ?

Qu'en penserait M. Wiénin, qui doit être du côté de Vézénobres ?

:gratte-tete:   Y aurait-il de l'ésotérisme dans l'air ?  :clin-oeil:    Ou comme à Bugarach, une intervention d'extraterrestres ?

Bien cordialement

Posté(e)

À Kayou et aux explorateurs de terrain et du coin :

Pas besoin d’extraterrestres ni de Bugarach ! Juste un secteur karstique qui montre des anomalies :
- des altitudes qui semblent avoir changé,
- des affaissements visibles en aval,
- et une montagne qui semble monter alors qu’elle devrait s’éroder.

Je ne vends pas de mystère, je partage une intuition fondée sur le terrain : un système karstique saturé, colmaté, qui pousse… avant de craquer.

Pas de dogme, pas de magie.
Juste envie de comprendre avec d’autres têtes… ouvertes.

Je peux fournir photos, cartes, relevés si ça vous tente
À suivre ?

Muriel

aux membres curieux :

Ce que je vous propose n’est pas une énigme à résoudre, ni un mystère new age.
C’est une observation de terrain faite avec sérieux :

Comparaison d’altitudes anciennes et actuelles sur plusieurs points,

Analyse de fissures, affaissements et écoulements anormaux,

Système karstique suspecté d’être en saturation ou en colmatage,

Et présence d’une ancienne structure parallèle intrigante dans l’axe de drainage.

Je croise mes ressentis avec des cartes, des mesures, des coupes, des vues Lidar et la mémoire locale.
Mon hypothèse n’est pas de l’ordre de la foi, mais d’un appel au débat rigoureux ET ouvert.

Ce que j’attends : pas des moqueries — mais une contradiction étayée, une lecture géologique, une confrontation d’interprétations.
Si vous avez des données, des cartes, des publications ou juste une autre lecture, je suis preneuse.

Respectueusement,

Posté(e)
Il y a 1 heure, muriel a dit :

- des altitudes qui semblent avoir changé,

 

Il y a 1 heure, muriel a dit :

Comparaison d’altitudes anciennes et actuelles sur plusieurs points,

Mais d'où viennent ces infos ?! Cartes, dates, relevés etc. Entre quels relevés topographique faite vous la comparaison ? On peut avoir les données ?

Un terrain qui grandit de 8 m en disons 3 siècles maximum si on se base sur la cadastre napoléonien, ça relève de l'impossible dans ce secteur. Les reliefs sont ici surtout dus aux l'orogénèses alpine et pyrénéenne dans ce secteur.

D'où vient l'hypothèse du système karstique en surpression ? Il y a des cas similaires connus ou publiés ? 

En sciences on privilégie l'hypothèse la  plus probable, ici, ce n'est pas le système karstique, surtout en l'absence de cas similaires. 

Posté(e)

Attention avec les GPS (en tout genre, y compris et surtout ceux des téléphones)...

 

Mis à part les stations GPS "Pro" ou "Scientifique" étalonnées avant chaque usage à partir d'un point connu (longitude, latitude et altitude) l'EPE (Ecart Probable Estimé)  peut se mesurer en dizaines de mètres (en X, Y ou Z) en fonction de l'heure, la couverture nuageuse, la présence d'orage dans le coin et/ou la capacité de la puce GPS.
[ Note : c'est du vécu,j'ai du expliquer à un sous traitant qu'un GPS du commerce c'était pas suffisant pour mettre en place des faisceaux hertzien sur des pylones RTE, et il m'a bien évidement répondu qu'une station GPS "pro" coutait un bras et venait avec plein de contraintes... ma réponse as été évidente : il y passait le bras et vivait avec les contraintes ou on cherchait quelqu'un d'autre... ]

 

Les GPS agricole sont très proche des stations "Pro" mais ils ne sont pas toujours étalonnés avant usage, ce qui peut induire une erreur de plusieurs mètres.

Posté(e)

Merci pour les précisions sur les GPS 🙏

Justement, je suis d’accord : les GPS bruts ne suffisent pas, surtout pour les altitudes.
Mais ce n’est pas ce que j’ai utilisé.

Ma démarche repose sur des comparaisons croisées entre :

les cartes d’état-major anciennes et les cartes IGN actuelles,

les repères altimétriques IGN (bornes, tables),

des seuils de soutènement, dolmens et murets anciens positionnés avec rigueur,

et quelques visées GPS agricoles corrigées (en appoint, jamais seules).

J’ai aussi vérifié mon approche avec un point de référence stable : le mont Caroux, bien connu, qui a perdu 1 mètre entre les versions anciennes et actuelles (passant de 1091 m à 1090 m).
Cela montre que les écarts peuvent aller dans les deux sens… et que la marge d’incertitude existe bien.

Mais à Pié de Mar, c’est l’inverse : on a un gain localisé d’altitude, cohérent avec d'autres indices (soulèvement, fissuration du sol, dévers d’écoulement modifié, tensions rocheuses).
Ce ne sont pas des mesures au hasard, mais des faisceaux convergents de faits observés.

Je ne demande pas de croire à une fable, mais d’ouvrir un questionnement sérieux :
y a-t-il ou non un soulèvement différentiel lent, ou une poussée souterraine ?

Merci à ceux qui veulent chercher, pas moquer. image.thumb.png.4d05483c59d85e811fc6c2fdf3df82a7.png

 

 

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Posté(e)

Et si toutes ces différences étaient du à des approches, calculs différents. c'est pas simple de donner une altitude par rapport au niveau de la mer. Que ce soit en 1866, ou en 2025. Ce n'est pas comme cela que fonctionne la géodésie. Par exemple si on s'intéresse aux variations d'altitude, on ne fait pas cette simple comparaison, on choisi des repères que l'on qualifiera de solides, de fiable, par exemple les voies ferrées. Ce sera en relatif, mais on connait le souci des ingénieurs pour calculer des pentes pour le passage des trains. 

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Si on compare les altitudes données sur ces deux cartes, on voit que le Puech de Mar montre une différence de 2m.  Même chose, plus bas au Sud Est, au lieu dit le Chêne.

Le col près du château ruiné au Sud Ouest, une différence de 10m environ, on sait pas trop. La côte 346 (carte IGN) était 342m sur la carte d'état major avec hachurages. On a un col à 337m sur la veille carte et à 328m sur la carte ign.  En gros, s'il y a des trucs qui se soulèvent c'est à l'Ouest du Puech de Mar.  Du coup le Puech de Mar est plutôt, de façon relative affaissé par rapport à la partie Ouest. 

Posté(e)

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« Merci pour votre regard technique. J’apprécie qu’on prenne enfin le temps de regarder les différences d’altitude d’un point de vue sérieux et relatif. Ce que vous dites sur les repères stables (rails, cols) m’intéresse beaucoup. Ce que je remarque sur le terrain, c’est que la tension semble venir de l’Ouest. Cela correspondrait bien à un soulèvement en périphérie, avec un affaissement central lent. Je cherche une hypothèse géologique qui rendrait cela plausible. Vous avez une idée sur ce point ? » 

Posté(e)

Merci d'voir donné les origines des infos !

il y a 54 minutes, Grèze_2025 a dit :

Et si toutes ces différences étaient du à des approches, calculs différents.

C'est ce que je pense aussi. On en peut pas se baser sur ces mesures, les méthodes de l'époque présentent de trop grosses marges d'erreur. Ce qui n'est pas le cas des actuelles. A la limite, il faudrait tester ça sur d'autres endroit de la France, faire un moyenne sur beaucoup de points, en voir si c'est différent.

il y a 38 minutes, muriel a dit :

Je cherche une hypothèse géologique qui rendrait cela plausible. Vous avez une idée sur ce point ? » 

La meilleure hypothèse reste les conséquences de l'orogénèse alpine et pyrénéenne, qui sont encore en cour.

L'hypothèse karstique est pour moi à oublier, il n'y a aucun cas de surpression similaire connu jusqu'à preuve du contraire ! Il semble même que se soit impossible, la montée en pression devant être soudaine, ce qui est impossible en milieu karstique pour des pressions suffisantes !

On ne peut pas sortir une hypothèse comme ça de son chapeau, il faut un minimum d'arguments valables ! Sinon, on peut donner la raison que l'on veut, allez prouver que c'est faux.

Il faut aller au plus probable, et surtout au plus simple. Ici une surpression karstique implique un ensemble de phénomène très complexe et rare. La surrection alpine beaucoup moins. D'autant que les terrains sont déjà très plissés du fait de cette même orogénèse.

Posté(e)

Je vais répondre beaucoup plus tard. D'abord je mets des comparaisons au hasard.

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Bois de roche ign 784, état major 791m, les Ravaux, ign  707, état major 700, à l'est des Ravaux dans le ruisseau , ign un peu plus de 490, Etat major 500. La cote 611 de l'ign c'est la côte 663. Ici aussi si on se base uniquement sur ces données, ils se passent des trucs. L'ensemble c'est affaissé par rapport aux levés de 1866. Toutefois de façon relative l'affaissement est plus important  est de 50m à l'est du ruisseau, c'est un truc de dingue.  Au niveau des ravaux c'est assez stable, à l'est l'affaissement est moins important. Il y a donc un truc qui se passe au niveau du ruisseau, une faille sans doute qui implique un jeu relatif entre deux compartiments.

Posté(e)
il y a 2 minutes, AMEDE a dit :

 

Une question : d'où vient le fait que le centre du puech perd de l'altitude ? Ca a peut être été dit mais je n'ai pas saisi.

Pourquoi tu dis ça, qui te dit que le centre du puech perd de l'altitude? As tu pu consulter des données géodésiques? As tu pu avoir accès à des nivellements?

Posté(e)
il y a 5 minutes, Grèze_2025 a dit :

Pourquoi tu dis ça, qui te dit que le centre du puech perd de l'altitude? As tu pu consulter des données géodésiques? As tu pu avoir accès à des nivellements?

 

il y a 51 minutes, muriel a dit :

Cela correspondrait bien à un soulèvement en périphérie, avec un affaissement central lent.

Ou alors j'ai mal compris, il faut avouer que ce n'est pas hyper clair.

Il y a 1 heure, muriel a dit :

fissuration du sol

Tu as des photos ?

Il y a 1 heure, muriel a dit :

tensions rocheuses

C'est à dire ? Tu observe quoi sur le terrain, des failles ?

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