Kayou

Ah ! Les profs qui maîtrisent l'art de poser des sujets dont la principale difficulté résidé dans leur décodage ! Là je crains, faut connaître son prof pour savoir comment aborder et développer le sujet !!! Il faudrait aussi connaître tout le contexte de ton module. L.P. : qué zaco ? (je suis un "ancien") Traitement de l'eau: recherche d'éléments chimiques indésirables dissous dans l'eau, provenant des roches dans lesquelles les eaux souterraines ont circulé... Voir les normes de "potabilité chimique"...chimie des eaux naturelles... quels sont les terrains -roches- susceptibles de contaminer les eaux souterraines en éléments indésirables... Cas particulier des éléments toxiques...voir les roches responsables... parler aussi de la détermination des ressources du point de vue qualitatif (en fonction des usages de l'eau: potable, irrigation...), du fait de ces influences... Ton idée de présenter les types de roches selon leur origine peut mener à un découpage: eaux souterraines ayant circulé dans les roches volcaniques eaux ayant circulé dans les roches cristallines (granites...) eaux ayant circulé dans les roches sédimentaires... Avec observation de la minéralisation des eaux selon les cas. L'eau est elle même comparable à une roche, elle est minérale, et son état chimique est bien sous l'influence de ses relations avec les roches... possible aussi de mentionner pour mémoire les précautions à prendre pour éviter les contaminations indésirables... En fait il faut faire un peu de bibliographie sur les éléments pouvant aider à traiter le sujet. Bon, je ne veux pas faire confus... à toi de voir ton plan (un sujet de synthèse), mais on pourra en "reparler" à l'occasion.

Ton commentaire (commenter quoi ?) doit comporter combien de pages environ ? Ne pas partir sur un travail encyclopédique ! Les "pollutions" doivent être le seul fait des roches naturellement en place, et pas de l'activité humaine (ou alors pour mémoire). Intéressant.

La bienvenue sur le forum. (Si tu peux remplir ton profil, ce serait sympa) NATURE DES ROCHES ET INFLUENCE SUR LES EAUX SOUTERRAINES. A mon avis, ton travail portant sur l'eau (souterraine en particulier), le traitement de l'eau,... point n'est besoin de voir en revue détaillée la formation de toutes les roches. On peut partir de la définition générale de "Roche", ainsi qu'une définition d'aquifère (attention, il y a de l'eau dans des terrains réputés imperméables...aquicludes, argiles...adsorption), sans développer un traité d'hydrogéologie, et passer rapidement à l'influence -physique (hydraulique) et/ou chimique- des constituants minéraux des roches en contact avec les eaux souterraines. voir les divers types d'eau souterraines... Ce sont des idées rapidement mises là... A+

Après un premier cas annoncé vendredi, le Var compte une nouvelle personne malade du chikungunya à la suite d'une transmission locale, c'est-à-dire après avoir été piquée par un moustique tigre infecté évoluant dans le département. Oui, le Var est atteint... et notre ami Charles est, comme tous les varois, en danger. Il faut le sauver ! Des idées ?

ŵŽÆnT .

Super idée JEF, ces petits montages ! Et belles pièces. (Beaucoup de doigts, si je peux me permettre...et si je savais* faire ces montages je collerai peut être l'échantillon au bout d'une baguette noir-mat coudée) *: peut-on apprendre sans se prendre le chou ?

Bonjour ça fait un peu serpentine, n'est-il pas ?

Etonnant que ce post n'ait pas dérapé.... de fromage ? ça fait penser à...cuisine là. Merci de me rappeler qu'il me faut en ramener du marché ce matin, de quoi faire une gratinée !

Une augite est un minéral de la famille des pyroxènes. Il s'agit d'un clinopyroxène ferromagnésien et calcique.

" C'est dans la nuit du 21 novembre au 18 juillet de la même année que les frères Fauderche ont jeté les bases de cet extraordinaire appareil dont la conception révolutionnaire risque de bouleverser toutes les lois communément admises tant dans le domaine de la physique nucléaire que dans celui de la gynécologie dans l'espace. Voici donc, d'après la communication qu'ils viennent d'adresser à l'Académie des inscriptions sur les murs, et des belles lettres recommandées, quelles en sont les principales caractéristiques . Le Schmilblick des frères Fauderche est, il convient de le souligner, rigoureusement intégral, c'est-à-dire qu'il peut à la fois servir de Schmilblick d'intérieur, grâce à la taille réduite de ses gorgomoches, et de Schmilblick de campagne grâce à sa mostoblase et à ses deux glotosifres qui lui permettent ainsi d'urnapouiller les istioplocks même par les plus basses températures. Ça c'est clair, jusque là ! L'un des principaux éléments du Schmilblick est la papsouille à turole d'admission qui laisse passer un certain volume de laplaxmol, lequel, comme chacun le sait, n'est autre qu'un combiné de smitmuphre à l'état pur et de roustimalabémol sulsiphoré. Le laplaxmol, après avoir été soumis à un courant polyfoisé de l'ordre de 2 000 spickmocks exactement - moins, ce ne serait pas assez, plus ce serait trop -, se transforme alors en troufinium filtrant, non pas à l'état métalbornique, ce qui serait non seulement ridicule, mais encore totalement inopérant, mais bel et bien à l'état guilmanuré, d'où formation de gildoplate de raboninite, élément neuromoteur et fondamental du Schmilblick. La mise en marche du Schmilblick est, vous allez en juger, d'une déconcertante facilité puisqu'elle s'opère par simple rivaxion de la rabruche. Automatiquement, le flugdug - le flugdug métranoclapsoïdique, naturellement, autrement, ça n'aurait aucun sens, voyons - le flugdug métranoclapsoïdique, donc, entraîne, par le jeu de sa liquemouille et de ses trois spodules, le bournoufle du grand berdinière, qui faisant pression sur la rutole de sibergement libère la masse des zavaltarépodes, lesquels poussent le clampier dans la direction du viret d'alcalimon. C'est à ce stade, qu'intervient la phase la plus délicate du fonctionnement car, jusqu'à ces temps derniers, il y avait à cette période, risque permanent de calcifrage par suite du passage du flagdazmuhl dans le calcif du propentaire de mortification. Eh oui ! Eh oui ! C'était très dangereux . Or, il a suffi aux frères Fauderche de brancher un simple schpatmock du commerce sur le bidule d'échappement et deux pepsoïdaux clatinomalfoireux sur l'artimon préférentiel pour placer le Schmilblick en position idéale d'évernescence pornogyrohallucinoïdale d'où élimination radicale et même radicale socialiste, de tout risque d'accident - parallèlement le problème de saturation par accumulation des gaz splélémétiques ne se pose plus puisque, dans le schmilblick intégral, ils sont nécessairement et obligatoirement fulmiférés par le lavalnaplage automatique des onazbiplucks extra-chiadés. Enfin tout danger de gastralaminage est définitivement écarté par 1'utÏlisation rationnelle, dans la bélure staphomotrice, de la force extraphalzaroïdique, laquelle, comme nul ne l'ignore est proportionnelle au carré des ondes talardinconcentriques. Tel est, dans ses grandes lignes, dans ses lignes essentielles, le Schmilblick de Jules et Raphaël Fauderche, que les plus hautes compétences s'accordent à reconnaître, non seulement comme la plus étonnante découverte de tous les temps, mais, au sujet de laquelle, il est toutefois permis de se poser la question suivante : certes, le schmilblick est un merveilleux appareil, dont l'admirable degré de perfection ne saurait être révoqué en douce , mais en dépit de tout cela, en bref, au juste et en définitive, à quoi sert-il ? Pour pertinente qu'elle soit, cette question ne comporte pas de réponse. Car le grand, l'immense mérite, des deux illustres savants qui sont les frères Fauderche, réside principalement dans leur magnifique esprit de désintéressement, puisque faisant uniquement de la science pour la science, comme d'autres font de l'Art pour l'Art, ils n'ont jamais et à aucun moment, envisagé le côté bassement utilitaire de leur généreuse et gratuite invention . Ainsi donc, haut les coeurs et chapeaux bas, devant ces deux hommes aussi modestes qu'audacieux, et qui , partis de rien, pour arriver nulle part, n'ont pas hésité à consacrer les plus belles années de leur existence au seul bénéfice de la géniale réalisation qu'est le schmilblick. Ce schmilblick, dont on peut d'ores et déjà prédire que demain, ou les jours suivants, il sera universellement considéré par tous les hommes de bonnes volonté non seulement comme le sublime foyer du phare, d'une civilisation lumineusement rénovée, mais encore et enfin comme la seule panacée possible au sein d'un monde humainement et schmilblickement pacifié !"

Ouais, il a fonctionné un moment et puis plus rien... donc effacé et remplacé ! Merci

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A propos d'hallucinant, j'ai appris que l'on allait ré-ouvrir les fumeries ! Des centres d'injection, ça va nous changer ce ceux d'expulsion. Pour lutter contre la propagation du sida . Alors Fernande Grudet (*) devrait pouvoir ré-ouvrir ses poulaillers-sous-contrôle-sanitaire, qui, en plus de permettre de lutter contre le sida, seraient sans doute aussi utiles au gouvernement que les tables d'écoutes branchées sur le Canard. * = plus connue comme Madame Claude.

Pas de doute, nous sommes surveillés.

D'après le dentiste: très probable Hyène (Crocuta).

Ce soir, halo et cache cache avec les nuages (double clic)

60 posts pour le centième trou ! Quel parcours !!!

La bienvenue ! Ah mais nous sommes bien nombreux, là maintenant. Un plaisir ! Et bonne participation. A+

Salut Gougueul œurf permet de découvrir des coins de Terre à partir de son bureau ... Ici, de part et d'autre de la frontière (trait jaune) Irak/Iran...des formes géométriques...particulières: de quoi peut-il s'agir ? (C'est un peu au nord de Koweit-city, pour retrouver rapidement). agrandissement d'un détail.

La bienvenue sur le forum . Tu es sûr pour silex ? Il serait intéressant de connaître le lieu de la trouvaille. Tes cailloux paraissent vernis, et peuvent faire penser à des agates roulées... En aurais-tu un échantillon cassé, pour voir une surface "frêche" (comme on dit à Montpellier) ? A+

Ok, vu: dans la rubrique "minéraux" de ton site web.

Certes, leur aspect est " rectangulaire ", mais cristalographiquement parlant, ce sont des quartz prismatiques à contour hexagonal, classiquement composés des 6 faces du prisme et des 12 faces triangulaires des rhomboèdres négatif et positif… Même si, 2 faces du prisme et 4 faces de rhomboèdre sont prépondérantes. Mais bien sûr ! Allez, une aspirine et ça ira mieux !

ce que je propose c'est tout ce qui est dans la rubrique minéraux C'est à dire ?

Salut Claude, Belle trouvaille ! Dis voir, la boule blanche: c'est un plâtre, un testicule de la bête, ou son cerveau ? Une vertèbre paraît avoir été retournée, lors de la fouille. Et même si la connexion n'est pas alignée, il est probable qu'il y ait une suite à découvrir, mais peut être sur une plus grande surface s'il y a eu dispersion lors du dépôt... Je te prêterais bien la main pour le dégagement, mais pas le temps... Allez, portez-vous bien. Claude

Des micas enlevés par l'érosion sur des roches métamorphiques peuvent se retrouver déposés dans d'autres sédiments non métamorphisés: des argiles micacées par exemple. Les sables de certaines plages sont riches en micas, et pourront devenir des grès micacés si le mica échappe à l'altération. Edit: http://www.google.fr/imgres?imgurl=http://...%26tbs%3Disch:1 Psammite (de yammos = sable, A. BRONGNIART, 1813): internationalement, les psammites représentent les roches détritiques meubles ou indurées dont les grains sont compris entre 2 mm et 62 µm (Ech. de WENTWORTH /USA, 1922 ; DIN 4188/RFA, 1957) ou entre 2 mm et 20 µm (Ech. d'ATTERBERG in NIGGLI, 1948). Les psammites désignent donc l'ensemble des sables et des grès. - En Belgique, le mot est employé dans des sens très particuliers: 1) les psammites du Condroz (Famennien) sont des grès à grain fin dont les joints de stratification sont chargés de paillettes de micas, ce qui confère à la roche une certaine fissilité (cf : flagstone); 2) pour les géologues du Houiller, les psammites sont des grès micacés; 3) en 1953, P. MICHOT a introduit, à la fois, le préfixe psammo- pour désigner les roches détritiques dont la granularité est comprise entre 250 et 60 µm, et le mot PSAMMITE pour dénommer les roches présentant une structure d'agrégat particulière : la structure réticulée. Les psammites du Condroz qui ont servi de modèle à cette nomenclature sont, en quelque sorte, des " psammo-psammites ".