Lors d'un passage en Bretagne, j'ai voulu voir la carrière de Grand Champ.
J'entre, gare la caisse sur un parking et me dirige vers les bureaux... j'explique qui je suis, quelle est la curiosité qui m'anime... rencontre/bavardage avec des responsables du chantier,... j'aimerai bien ramener un échantillon d'ici pour le ramener en Languedoc,... un gars en sort deux ou trois de son bureau et me les donne. Merci. J'ai aussi pu faire quelques photos du site, d'en haut !
Bon, si j'avais voulu casser du caillou en front de taille, ça aurait été une autre aventure, mais c'est pas mon truc.
Pour Peyrebrune, pareil, aussi bien dans les années 60 que ces dernières années: me présenter, bavarder, deux trois photos et repartir avec quelques kilos de cailloux qui étaient sur le dessus de l'armoire du chef de chantier ...juste un échange qui m'a été proposé...contre la valeur d'un pack de mousse.
Pour le Loiras, accès signalé interdit, personne sur place (rarement des chargements de gravats) mais des tas de cailloux d'accès aisé et pas dangereux... faire gaffe aux chevilles quand même.
etc....
Les cailloux, c'est comme les......., je demande le consentement avant, et j'évite les ........!
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exemple sur ce que font le Canada ou les USA....ça marche très bien !
Ou les pyrites de Navajùn...
Il me semble avoir vu passer des infos (sur ce forum) sur des sites, en France, où le proprio accorde des droits de visite/fouille/prélèvement, moyennant je ne sais pas quoi.