ANDRE HOLBECQ

aucune assurance ne compensera la perte inestimable d'objets de collection difficilement acquis, avec passion. Le préjudice moral dans ce cas, je pense est pire que le grand préjudice pécunier. C'est un viol moral ! Un très gros coup dur pour Monsieur Carion, comme pour n'importe qui aurait eu le même tour ou l'aurait à l'avenir.Je suis choqué et outré de voir à quel point de bêtise certains idiots en sont arrivés. Il est de plus en plus vrai que pour avoir une idée de l'infini, il suffit de penser à la connerie humaine.Je plains sincèrement et compatis à la douleur sentimentale du collectionneur à qui on a joué un sale coup de ce type.Ancien prof j'ai eu à compter plusieurs vols d'échantillons de roches ou fossiles dans ma classe, notamment en mon absence, j'ai toujours très mal vécu ces moments là et je comprends l'immence déception qu'Alain Carion doit avoir sur le coeur. Personnellement dans une de mes dernières expositions (bourse de Wasquehal)où mon ami J.H. exposait une maquette de scorpion géant du carbonifère, celle- ci étant démontée et attendait sur une table d'être embarquée. Un homme s'est approché de la table, a regardé à droite, à gauche, a saisi une patte et est parti avec. Heureusement mon ami sculpteur l'a vu faire, il observait en attendant que la salle se vide des visiteur, pourque nous démontions et transportions les maquettes.Mon ami l'a poliment mais très fermement prié de poser délicatement la patte sur la table. L'autre abruti a eu le tort de répliquer en bougonnant, il s'est alors pris une volée de bois vert et il s'en est failli de peu qu'un ancien para comando qui avait sauté sur Kolwezi ne lui défonce la gueule. Ouf! ça n'a pas été jusque là mais c'était moins une ! Une autre fois à la bourse de Cambrais, une femme adulte prend la patte d'une maquette d'araignée géante du carbonifère et la casse sous les yeux du sculpteur, qui l'invective, et pour réponse cette dame a répondu: "c'est pas moi, j'ai rien fait!" Pour finir elle voulait voir si c'était solide !!! Et elle a fuit sans même demander si elle pouvait réparer ni même s'excuser. Pire qu'un gosse ! Conseil aux organisateurs de bourses, ce n'est pas la première fois que je constate des vols en fin de bourse quand on remballe. Il va sans doute falloir prévoir des équipes de surveillance pour ce moment clef où fatalement on manque d'attention. Peut -être faudra-t-il comme à la piscine siffler la fermeture et clore les portes avant de se mettre à déménager entre nous uniquement.Voilà ce que m'inspire cette triste affaire.

Réservation Sans réservation Date 24 octobre 2012 - 13 mai 2013 Dinosaure, la vie en grand Cette exposition explore l'incroyable biologie des plus grands dinosaures de tous les temps : les sauropodes, ces herbivores géants hauts comme quatre autobus et pouvant peser 90 tonnes, qui ont vécu pendant 140 millions d'années. Comment vivaient ces géants ? Comment trouvaient-ils suffisamment d'aliments pour obtenir les 100 000 calories qui leur étaient nécessaires chaque jour ? Comment leurs muscles pouvaient-ils faire bouger un tel poids ? Nourrie des recherches les plus récentes en paléontologie, physiologie et biomécanique, cette exposition est spectaculaire et accessible à tous - en particulier aux 6-12 ans -, grâce à des scènes interactives et des activités pratiques. La pièce maitresse est la reconstitution à taille réelle d'un Mamenchisaurus, de plus de 3 m de haut et 18 m de long, laissant voir d'un côté ses organes et de l'autre la texture de sa peau. Autres surprises : un chantier de fouilles miniature ou encore des os de dinosaures à toucher... Accès : Grande Galerie de l'Évolution - 36 rue Geoffroy Saint-Hilaire. Horaire d'ouverture : de 10 h à 18 h, tous les jours, sauf le mardi et le 1er mai. Tarifs : 9 euros adultes / 7 euros enfants (billet couplé avec la visite de la Grande Galerie de l'Évolution). Gratuité : personne handicapée + accompagnateur ; membre de l'ICOM ; journaliste ; demandeur d'emploi ; bénéficiaire des minima sociaux (sur présentation de justificatif). Billetterie : achat sur place, sur billetterie.mnhn.fr et sur le réseau Fnac / Carrefour. Visite en groupes, scolaires : réservation museum@cultival.fr / Tel : 0826 10 42 00 (0.15 € TTC). Informations pédagogiques : apc-galerie@mnhn.fr Accessibilité : handicap@mnhn.fr World's Largest Dinosaurs, exposition organisée par l'American Museum of Natural History de New York (www.amnh.org) en collaboration avec Coolture Marketing, Bogota (Colombie), présentée, adaptée et complétée par le Muséum national d'Histoire naturelle.

Réservation Sans réservation Date 24 octobre 2012 - 13 mai 2013 Dinosaure, la vie en grand Cette exposition explore l'incroyable biologie des plus grands dinosaures de tous les temps : les sauropodes, ces herbivores géants hauts comme quatre autobus et pouvant peser 90 tonnes, qui ont vécu pendant 140 millions d'années. Comment vivaient ces géants ? Comment trouvaient-ils suffisamment d'aliments pour obtenir les 100 000 calories qui leur étaient nécessaires chaque jour ? Comment leurs muscles pouvaient-ils faire bouger un tel poids ? Nourrie des recherches les plus récentes en paléontologie, physiologie et biomécanique, cette exposition est spectaculaire et accessible à tous - en particulier aux 6-12 ans -, grâce à des scènes interactives et des activités pratiques. La pièce maitresse est la reconstitution à taille réelle d'un Mamenchisaurus, de plus de 3 m de haut et 18 m de long, laissant voir d'un côté ses organes et de l'autre la texture de sa peau. Autres surprises : un chantier de fouilles miniature ou encore des os de dinosaures à toucher... Accès : Grande Galerie de l'Évolution - 36 rue Geoffroy Saint-Hilaire. Horaire d'ouverture : de 10 h à 18 h, tous les jours, sauf le mardi et le 1er mai. Tarifs : 9 euros adultes / 7 euros enfants (billet couplé avec la visite de la Grande Galerie de l'Évolution). Gratuité : personne handicapée + accompagnateur ; membre de l'ICOM ; journaliste ; demandeur d'emploi ; bénéficiaire des minima sociaux (sur présentation de justificatif). Billetterie : achat sur place, sur billetterie.mnhn.fr et sur le réseau Fnac / Carrefour. Visite en groupes, scolaires : réservation museum@cultival.fr / Tel : 0826 10 42 00 (0.15 € TTC). Informations pédagogiques : apc-galerie@mnhn.fr Accessibilité : handicap@mnhn.fr World's Largest Dinosaurs, exposition organisée par l'American Museum of Natural History de New York (www.amnh.org) en collaboration avec Coolture Marketing, Bogota (Colombie), présentée, adaptée et complétée par le Muséum national d'Histoire naturelle.

Les dinosaures reviennent au Muséum National d'Histoire Naturelle mais cette fois en version Géants avec l'exposition "Dinosaure, la vie en grand". En effet du 24 octobre 2012 au 13 mai 2013, les plus grands dinosaures de l'histoire, autrement dit, les Sauropodes, seront à l'honneur au Jardin des Plantes. Une exposition qui s'annonce déjà spectaculaire. Le Muséum se plonge à nouveau dans le monde des dinosaures en 2012. Mais cette, fois-ci, le musée a vu les choses en grand ! Le thème de cette nouvelle exposition portera sur les sauropodes, les plus grands dinosaures de tous les temps ! Les dinosaures, c'est grand, sans conteste, quoiqu'il en existe des tout petits... Mais dans la famille des dinosaures, les plus imposants appartiennent à la famille des sauropodes. Des herbivores géants qui peuvent peser jusqu'à 90 tonnes, rien que ça ! Ces spécimens vivaient il y a environ 140 millions d'années et aujourd'hui encore, de nombreuses recherches en paléontologie, biomécanique et physiologie se poursuivent. Le Muséum vous invite à découvrir le fruit de ces recherches, parfois récent. L'exposition vous permettra d'en connaitre davantage sur ces créatures au niveau biologique et environnemental. De nombreuses questions que peut-être, vous vous êtes déjà posé, trouveront des réponses : - Comment des herbivores aussi grand faisaient-ils pour trouver suffisamment à manger chaque jour? - Comment se faisait la circulation de leurs quelque 600 litres de sang? - Quelle était la taille de leur cœur? - A quelle vitesse grandissaient-ils? - Quel était leur mécanisme de digestion? - Comment leurs muscles pouvaient-ils porter et faire bouger un tel poids? Autant de questions sur lesquels se sont penchés les paléontologues, botanistes, nutritionnistes, biologistes et biomécaniciens. De quoi en apprendre davantage sur ces êtres fascinants que sont les Argentinosaurus, Camarasaurus, Ampelosaurus, Apatosaurus, Supersaurus et autres Mamenchisaurus. Le must de l'exposition vous donnera à voir la reconstitution d'un Mamenchirausus. Une femelle de 18 ans, mesurant la modeste taille de 3 m de haut et 18 m de long ! Rien que le cou, représente la moitié du corps. Un modèle en taille réel qui vous laissera voir les organes de la bête d'un côté et la texture de la peau de l'autre. Vous l'aurez compris, il s'agit d'une exposition spectaculaire qui sera accessible à tous. Des scènes interactives et des activités pratiques donneront aux enfants comme aux grands de confronter les fameux sauropodes aux animaux vivants. Infos pratiques : Site officiel : Dinosaure, la vie en grand au Muséum National d'Histoire Naturelle Du 24 octobre 2012 au 13 mai 2013 Lieu : Jardin des Plantes Horaires : de 10h00 à 18h00, tous les jours Fermé le mardi et le 1er mai Tarifs : 9 € adultes / 7 € enfants Réservation dans la galerie de l'évolution au fond du Jardin des Plantes du 24 octobre au 13 mai super expo de dinos

à vos magnétoscopes ... sur Canal+ mardi 30 octobre à 20h55 et 2ème partie fin décembre un document BBC Discovery et Canal+ 2 x 80mn si quelqu'un peut m'en faire une copie sur DVD je suis preneur merci.

celui là vous y attend et vous aura à l'oeil ...

Fossilium

venez retrouver nos ptérosaures et dinosaures j'essaierai demain une meilleure résolution, dossier trop chargé pour le moment, je dois réduire , je n'y arrive pas, à demain ou tout à l'heure cliquez sur l'imlage c'est quand même lisible

à bientôt à Fossilium

Amiens

qqs photos de mon expo à l'Université Jules Verne à Amiens, bientôt à Fossilium à Villeneuve d'Ascq près de Lille avec le Deinonychus, la tête osseuse du Monolophosaurus Ianji, les jouets permettant aux enfants de trier les dinos des autres ne répondant pas aux critères distinctifs, les têtes de ptérosaures sculptées par Jules Herman, ainsi que son Quetzalcoatlus de 6,40 mètres d'envergure. Un grand succès notamment avec les nombreux scolaires qui sont venus se familiariser avec les dinosaures et les ptérosaures.

donc les pterosaures appartiennent à archosaures qui appartiennent à diapsides qui appartiennent à sauropsides qui appartiennent à amniotes.

dans le bouquin de Lecointre qui fait autorité en matière de classification on peut voir ceci: j'ai modifié et extrait les chéloniens (tache jaune) ne pouvant surligner les limites d'ensemble comme il se devait.

Disparité morphologique: maintenant il reste encore bien des problèmes puisque je viens de lire que les coelurosaures et les pachycephalosaures selon Brusatte sont stables à la fin du crétacé alors que les hadrosauroides et les ceratopsides sont en déclin... pourquoi les uns et pas les autres ?

j'ai constaté qu'une pierre tombale en granite gris perd assez vite son éclat, son lustre, vois dans les cimetières ...

comme en témoignent ces trottoirs fossés bétonés récents et craquelés, ça bouge fréquemment dans le coin!

mais pour répondre précisément à la question posée: comment arrivent elles à coloniser des mares salées deci delà? Les branchiopodes sont des animaux des milieux aquatiques temporaires par excellence (eau douce ou salée). Ils ont développé des adaptations efficaces pour résister à un assèchement complet de leur biotope, ce dernier pouvant être, d’ailleurs, nécessaire à l’accomplissement du cycle de vie complet des espèces. En particulier, ils pondent des oeufs (dits « de résistance », ou cystes) qui supportent un assèchement complet qui ne compromet aucunement leur viabilité. On peut donc les retrouver dans les sédiments des mares lorsqu’elles sont à sec. La structure de l'enveloppe externe de ces oeufs est par ailleurs caractéristique des genres voire des espèces dans certains cas. Ces oeufs de résistance donneront naissance, à la prochaine inondation, à des larves qui se développeront rapidement en plusieurs mues. La colonisation de nouveaux habitats peut être permise par la dispersion des oeufs par le vent ou le transport involontaire de boue d’un biotope à un autre (boue adhérant aux bottes ou aux pattes des oiseaux ou du bétail). Des oeufs peuvent être également transportés d’un endroit à l’autre par l’intermédiaire des oiseaux qui les ingèrent puis les rejettent.

Les artémies sont des animaux faciles à élever[5] : achetez des cystes (œufs d'Artemia) dans un magasin animalier aquariophile, dans un récipient versez 1 litre d'eau et laissez-la reposer 24h pour que le chlore dégaze, portez l'eau à une température comprise entre 20 et 32 °C, versez l'équivalent de quatre cuillères à café de sel de mer dans l'eau (33 g/litre), versez vos cystes dans l'eau et agitez pour qu'ils coulent (faire tremper les cystes dans l'eau douce pendant une heure en pleine lumière peut améliorer le taux d'éclosion), aérez régulièrement votre eau à l'aide d'une paille à boire ou mieux, installez un « bulleur » d'aquarium, attendez 1 à 5 jours selon la température et vous découvrirez des nauplii d'Artemia. La récolte des nauplii se fait en vidant le récipient sur un tamis de vide de maille de 120 µm puis en les rinçant abondamment à l'eau avant distribution. Pour éviter de distribuer les enveloppes des cystes ou les cystes non éclos (indigestes pour les larves), on peut laisser le récipient sans brassage pendant quelques instants à proximité d'une source de lumière : les nauplii seront attirés vers elle et il suffira alors de les siphonner. Pour maintenir ou faire « pousser » vos nauplii, vous pouvez vous procurer du phytoplancton en poudre et les nourrir avec l'équivalent d'un millimètre cube de poudre par jour. Néanmoins, il faut savoir que les qualités nutritionnelles des artémies sont à leur maximum dans les heures qui suivent l'éclosion. Les Pifises[modifier] Les magazines pour la jeunesse Pif Gadget (Pif Gadget n°60 d'avril 1970 : Le sachet miracle ! La poudre de vie[6] et Pif Gadget n° 01 de 2004 : Donne La Vie A Tes Pifises) et le Journal de Mickey (1996 et 2002), ont offert en tant que gadget des Artemia salina à leurs lecteurs, rebaptisés « Pifises » pour l'occasion

L’artémie Artemia salina est un petit crustacé[1] vivant dans les lacs salés, les lagunes et les marais salants[2], notamment dans le Grand Lac Salé au nord de l'Utah, sur la côte rocheuse au sud de San Francisco, et en mer Caspienne. Artemia salina est couramment appelée par les anglophones sea-monkeys[2] (singes de mer) en raison des mouvements qu'elle fait dans l'eau à l'aide de sa « queue »[2]. Lorsque les conditions de vie du milieu ne sont plus favorables, Artemia salina est capable de produire des cystes, qui ont la faculté de pouvoir après réhydratation donner naissance à une larve appelée nauplius (nauplii au pluriel), et ce parfois même des années après[3]. La résistance des cystes aux changements de milieu, en état de cryptobiose, leur permet de survivre à des températures extrêmes (-190 °C / -310 °F), et un petit pourcentage est capable de résister dans l'eau bouillante (105 °C / 221 °F) pendant plus de deux heures[4]. Mais la facilité de stockage des cystes et les qualités nutritionnelles des nauplii en ont surtout fait une nourriture de choix pour la plupart des écloseries de poissons et de crustacés dans le monde[2]. Les nauplii sont distribués aux larves dès l'éclosion ou après 24 à 48h d'enrichissement en protéines et lipides (à ce stade ce sont des métanauplii). Les élevages aquicoles sont donc de gros consommateurs d'œufs d'Artemia. On utilise aussi les Artemia en aquariophilie : ce sont alors souvent les individus adultes qui sont utilisés, frais ou congelés.

pour avoir vu moi même , en Août, ces troncs d'arbres dont un montrait clairement une surface sciée bien plane, ce sont des arbres exploités au début du siècle, laissés sur place puis effondrés dans les ravins entaillés dans les marnes et sel. J'ai dû utiliser mon manche de marteau de géologue pour hacher les bouts de branches autour des troncs enlacés en fond de ravin pour pouvoir passer dessous en évitant de s'empaler le dos.

si ! je pense que c'est dangereux mais bien moins que de prendre l'autoroute; cependant c'est une zone de subduction avec de fréquents séismes, je pense donc qu'il est très risqué d'explorer ces mini grottes de sel, tant que rien ne se passe tout va bien, mais ...

salut Christophe, merci d'avoir rappelé mon reportage sur Slànic; je rappelle que la dissolution quasi complète du diapir de sel est dans le temps, à échelle humaine quasiment. Voir mes photos prises depuis 1971 jusqu'à ces dernières années. je signale qu'à Bàicoi il existe aussi des bains salés à la station dite "Acapulco" ,par les autochtones, officiellement "Valea stelei" où pululent là aussi les artémia salina. Ta nouvelle trouvaille de fossiles lamellibranches est intéressante , si je pouvais avoir des gros plans voire des fossiles extraits , ça serait sans doute bon pour confirmer mon hypothèse. Alors comme ça tu m'a emmené dans le territoire de "Mos Martin" ? Sans pétards ! Et tout ça sans son autorisation de pénétration sur son territoire ... Nous l'avons échappé belle ... heureusement qu'il y avait nombre de baies comestibles dans le coin ! Les empreintes, tu les a vues dans un ravin ?

Pour les météorites dans les sédiments anciens. http://www.psrd.hawa...Meteorites.html voir le doc de Kayou on y montre une chondrite avec ses chondres près d'un nautiloïde, et ça ne ressemble pas à ce que je vois ici. 9,1 de dureté dit-on ... j'observe une erreur quand on dit dans le premier article que le quartz aurait 8 de dureté, non c'est 7 ! 8 c'est la topase, je crains déjà des approximations qui en disent long sur la méconnaissance du sujet. Les tectites sont entre 5 et 5,5 donc rayées par le quartz!!! Ce n'est donc même pas une tectite. Le carbure de silicium, assez récemment découvert, est beaucoup plus dur que le corindon mais bien moins que le diamant. Sa dureté se situerait à 9,5.

bonjour Christophe; on n'en a pas parlé ici à la TV ... outre la très mauvaise prise de vue dans la grotte qui ne sert à rien pour identifier, je n'ai pu que reconnaître, sous réserves, qu' une brèche avec des passages anguleux ou "filoniens" noirs brillants qui tout au plus pourraient évoquer un verre d'impact. Mais dans ce cas la dureté ne serait pas celle (9,1) qui est décrite à savoir très supérieure à 7 celle du quartz. Question comment a-t-on pu juger de la dureté; ont-ils réussi à rayer topaze(8) et corindon(9) ? Ce ne sont pas des outils de spéléologues mais de minéralogistes! l'aspect très angulaire des trucs noirs ne plaide pas pour des météorites plutôt arrondies par la fusion, sauf bien sûr s'il y a eu éclatement comme à Shikoté Alin mais dans ce cas ce sont des métalliques réagissant très bien à l'aimant, ce qui semble ne pas être le cas ici vu que l'on parle de silicates; ce qui me remets sur la piste d'éventuelles tectites ou verres d'impact mais pas de météorite au sens stricte. le 3ème film un peu moins triste pour la prise de vue, semble montrer plutôt des silices dures du type ménilites, sauf erreur mais attendons les analyses. Un bon conseil: à envoyer à l'université de Cluj pour examen; affaire à suivre ...

effectivement / informations superficielles, avis consensuels ... on ne se mouille pas, on approfondie pas ET OUI DES FOIS QUE L'ON CHOQUERAIT CERTAINS ... Mais comment peut on être aussi mou quand on a pourtant les sciences avec soi? Peur ? De qui de quoi ? De la vérité qui blesse ?