Nanil

J’aimerais vous raconter la petite histoire que j’ai vécu à l’âge de vingt ans, au risque de passer pour un je-ne-sais-quoi... Par une journée resplendissante de soleil et de ciel bleu, soudain l’idée me vint de vouloir vivre cette journée en communion totale avec Dame Nature. Pour cela, ce n’était peut-être pas très malin, mais une petite bouteille d’un litre de whisky allait certainement me faciliter la tâche, si l’on peut dire... surtout sur le T-shirt. Cette histoire sans fin réunit le pire et le meilleur à la fois. D’un côté il y a des sensations fortes et inconnues, et de l’autre, une certaine vision d’un avenir potentiel d’ici cent ou mille ans... Je serais incapable de dire si je souhaiterais à qui que ce soit de vivre une telle expérience..... Depuis le début de la journée, l’heure n’avait plus la moindre portance pour me retarder dans mon projet. Le moment, ce temps magnifique et ce lieu, étaient tout à fait propices à un genre de balade méditative et aventurière. Une fois sorti du magasin, ayant acheté ce mauvais whisky ( malgré que la quantité d’une telle aberration rétablisse l’équilibre des choses ), et dans une vision assez cosmique et quelque peu aléatoire, l’idée était alors de commencer l’aventure dès le présent en question.., en bref entamer la bouteille. Une fois les premières gorgées pas tout à fait digérées mais encore gérables, il fallait absolument atteindre la plage le plus tôt possible ( profitant de vider par terre sur le trajet une ou deux dizaines de centilitres, la mort n’étant pas l’objectif ), histoire de ne créer aucune sorte d’histoire parallèle que je n’aurais aucunement souhaité et dont je n’aurais eu aucune maîtrise. A cet instant, le temps commence déjà à passer à une vitesse différente, mais la plage est enfin atteinte, et la bouteille certainement déjà terminée. Maintenant fallait-il encore trouver sa route, qui n’est autre et évidemment que tout droit au bout du chemin, longeant par là-même tranquillement l’Océan... En cohésion parfaite avec le mouvement de l’eau, suivant dans le même temps le vol des mouettes et des goélands, et marchant sur le sable de notre Terre comme sur un lit flottant, je me sentais bien et avais certaine dû atteindre le nirvâna, quelque part. A l’instant précis où se situe cette sensation, tout était comme synchronisé, le beau temps était bien présent, les oiseaux aux rendez-vous comme d’habitude, le tout avec un vent apaisé et une atmosphère propre à la consommation... L’instant d’après était bien différent. Ce qui m’a paru passer d’une seconde à une autre, n’était en fait qu’une après-midi en plein jour directement passée à une nuit au rideau d’une Voie lactée scintillant d’étoiles en tout genre. La fatigue commençant à se faire sentir, la nouvelle idée fut alors de s’allonger sur le dos et sur la sable pour contempler la voûte céleste... jusqu’à l’infini, avec un champs de vision panoramique et dont l’image fut directement intégré dans l’hippocampe des boyaux du crâne, au bout d’un bon quart d’heure, à vu de nez vingt trois ans plus tard. L’instant d’après, ce sont comme des flocons de neige, tombant droit, et dont la densité s’intensifiait à chaque seco... instant qui passait peut-être, mais surtout en plein été. Ce n’étaient en fait que des flocons de photons.., et une fois le champs de vision disponible complètement saturé de cette lumière aussi intense que celle du soleil, mais sans froisser les yeux, j’ai senti mon corps s’élever à une vitesse exponentielle, à la verticale et toujours dans la même position allongée sur le dos, mais surtout sans aucune secousse. Le moment juste après se résume à me retrouver en plein jour, avec le même beau temps, dans une ruelle adjacente au lieu dit et vécu, recherchant à qui parler à travers ce contexte un peu spécial. Étant redevenu blizzarment complètement lucide, cherchant même à retenir et à mémoriser à tout prix le numéro des plaques d’immatriculation des voitures reversées par quelque dévastation apocalyptique que ce soit. Jusqu’au bout de la rue, j’avais la fâcheuse impression que dans tous les cas de figure il n’y aurait, et n’y aurait eut personne à qui parler... communiquer un minimum. Seulement il n’y avait toujours personne, et à l’instant d’après je me suis retrouvé comme sur l’estrade d’un grand théâtre, l’espace autour restant sombre, maussade et avec plus aucune lumière disponible, conséquence certainement issue d’un climat détérioré et irrattrapable, l’espace d’un instant pour se dire que ce champs de cocons gérées par des machines organiques alimentant les sois-disantes futures générations, que j’entre-apercevais quarante mètres plus bas, n’avaient apparemment et bien tristement plus aucune chance qu’aucune forme de vie extérieur ne s’intéresse encore assez à nous... au point de venir nous secourir. Le seul message qui m’en ai resté est que l’avenir du monde entier dépend de chacun de nous. Si vous voulez avoir une impression de ce que j’ai vécu, vous pouvez visualiser les dix dernières secondes de la seconde vidéo qui va suivre... Je compte sur vous pour fabriquer un avenir meilleur pour les futures générations, pour Nous même en attendant, et donc nécessairement pour cette planète qui nous supporte encore. Vous pouvez aussi compter sur ma personne qui n’est qu’une partie de vous même, qu’un caractère, et qu’un mélange de toutes les personnes intéressantes que j’ai rencontré et retenu durant mon existence. Veuillez donc passer d’agréables fêtes de fin d’année !

Les dernières photos oubliées d’hier, car même avec une main et demie il fallait bien avancer encore un peu le boulot pour la prochaine intervention :

Ça pique un peu sur le petit doigt, même avec les gants, mais heureusement André était là pour me le réparer, tout comme il le ferait pour un chien de chasse... c’est rassurant. ^^ Juste après un pansement sec après l’aseptisation à l’eau de mer, on se sent déjà beaucoup mieux, et la blessure a quasiment disparue, enfin plutôt d’ici deux semaines... Cela arrive quand on veut absolument terminer le boulot coûte que coûte. Alors ayant cassé le manche de la masse, j’ai voulu terminer de démontrer ce fichu bloc, en prenant la masse avec le gant pour taper sur la hache faisant office de coin.., seulement avec le rebond mon petit doigt était au bas de la masse, et en a profiter pour se faufiler entre la masse et le coin. L’articulation n’est pas passée bien loin, peut-être un ou deux millimètres. Dans pas longtemps je vais lui faire sa fête, et vous verrez à quoi cette dune va ressembler... en attendant j’ai trouvé le ressort pour la masse à percussion.

Comme tu dis, le minimum d’éclats sera le bienvenu, et sera aussi un maximum de repos pour la séquence tamisage. Cette hache va peut-être pouvoir s’infiltrer entre deux parpaings afin de les déconnecter, accompagné d’un mouvement de la masse, d’une découpe à la scie enchantée si nécessaire, et d’une terminaison aux bottes de sept lieues, qui rappelons le, ne sont autres que des bottes magiques grâce auxquelles il est possible de parcourir des distances impressionnantes, quitte à réaliser le tour de Terre en un seul périple. C’est juste une question de temps... 🤤

C’est tout ce que j’ai trouvé comme coin, pourfendeur de machin-chose tels des parpaings pleins ^^ :

Aucun des deux, c’est la mer qui prend l’homme... ^^ En fait cela doit dépendre de la décomposition de chaque blockhaus, car les fragments peuvent être déplacés si ils sont trop légers. Certains blockhaus ont été explosé à la dynamite car entourés ou posés sur des charges explosives de la dernière guerre. Pour celui-ci, on pourrait presque croire qu’il va vouloir rejoindre l’eau avant elle. Il faudra d’ailleurs éviter de poser sa serviette de plage à l’ombre de ce monument, malgré que la souffrance ne devrait pas durer longtemps si l’on se reçoit un truc pareil sur le coin de la figure...

Si les blocks dégringolent de la pente jusqu’à atteindre la plage, à ce moment-là ils peuvent être emportés par les courants côtiers. Lorsqu’ils sont entassés, le sable se coince dans les interstices jusqu’à recréer une petite montagne de sable. Ensuite quand l’eau aura définitivement atteint les blocks entassés, ils devraient descendre plus bas dans le sol... d’après mes calculs, si toutefois personne n’a eut d’ici là, la présence d’esprit de les dégager du sable une bonne fois pour toutes... Certainement, mais il me manquerait de l’énergie pour une plus grosse masse, sur cette pente atteignant parfois 45 degrés. Même la bétonomite serait insuffisante pour les blocs armés.

Ce sont surtout les morceaux de blockhaus traînant à marée basse qui me déconcentrent lors de la recherche de roches fossilifères ou minérales. Comprenez bien que lorsque l’on voit un bébé assis au bord de l’eau juste à côté d’un de ces blocs tranchant et contondant, remarquant par là-même que cela semblerait être l’avant dernier soucis de ses parents, et de tout le monde autour, d’ailleurs. Dans tous les cas de figure, ces blocks en amont sur la dune finiraient par arriver sur la laisse de mer à un moment ou à un autre...

Veuillez s’il vous plaît bien me croire si je vous dis, vous décris ou vous écris cette idée qui ne m’a pas même traversé l’esprit que la bétonite pourrait servir à dégommer, pour démanteler avec beaucoup d’amour et un peu d’humour, de réduire en petit tas, en micro-colline, ce super patrimoine franco-allemand au poids historique si important, imposant et contondant.., surtout quand on s’en paye des parcelles sur le coin de la tronche, avec ou sans combi, en surf ou à pat... la nage, bousculé par une vague ou une lame de fond. Il est juste dans la ligne de cette mire, issue d’une photo presque aléatoire, mais pas non plus totalement prise par inadvertance : ... juste avant qu’il ne glisse et ne tombe dans l’oubli, dans le fond des fins fonds abyssaux, là où certaines barriques de déchets radioactifs commencent à peine à voir le petit jour, à travers quelques tonnes d’eau au-dessus de leur petit manteau fragile, frigide et rouillé depuis le temps. Sincèrement, si ce blockhaus disparaissait sur un coup de vent, la baïne associée à celui-ci disparaîtrait probablement tout autant que leur danger associé aux baigneurs, et qui plus est, et en adéquation, à la protection potentiellement vitale de nos Sauveteurs en mer.., du moins c’est ce que je pense.

On ne va pas non plus se laisser ennuyer par un petit morceau de ciment pas même armé... Avec la motivation que vous m’avez donné en participant à ce thème, il n’y a même pas eut besoin de bétonomite.., et puis dans tous les cas je n’avais pas une tune, sans compter le temps pour l’acquérir malgré que cela serait, et d’ailleurs ou d’ici, sera bien utile à un moment ou à un autre. La prochaine évolution sera une masse montée sur un ressort, à percussions, masse enchantée spécifique au démantèlement de tout genre. Comme ceci, au moins c’est noté quelque part en cas d’oublis... Chercher, puis trouver le point faible ( dans la série où l’on se détend comme on peut... ^^ ) : Un jour, si possible juste avant l’été, cette dune sera ratissée, tamisée, jusqu’à obtenir des grains fins, de Quartz et autre.., mais surtout pour que la dune et la plage en avale de cette dernière, redeviennent de véritables ères de repos.

Y On ne se le dira jamais suffisamment assez, à Dieu Vat, Inch’Allah !

Je ne connaissais pas cette reprise que j’ai eut grand plaisir à connaître... Chapeau bas pour les artistes !

Pour apaiser les morts ( exorciste par intérim ^^ ) : << Glissez mortels, n’appuyez pas... >>

Je n’ai pas eut le choix, même si je n’aime pas tuer, seulement il s’agissait là d’un anachronisme.., alors je l’ai résolu avec une bonne baffe dans l’armoire en essayant de ne pas trop l’abîmer.., le moustique; juste avec la pression suffisante pour le faire imploser ( ´sont solides ces moustiques tigres ! ^^ ) :

Vraiment navré, pourtant le cœur y était. On ne peut pas toujours être au top, musicalement parlant, ou plutôt musicalement écrit, décrit ou décrié...

Veuillez m’excuser pour la musique qui va suivre, nettement moins agréable que celles que j’aime vous faire partager habituellement... Alors, tout comme les publicités sont collantes, dès qu’une vidéo dérange un peu trop, elle est supprimée d’Internet en moins d’une journée, normal. En fait ce sont les auteurs-même qui l’ont supprimé, espérant un minimum de participation, car un tel documentaire indépendant représente une belle somme d’argent. => https://syndicatgj.fr/hold-on/ << Hold on : Primum Nocere, référence au serment d’Hippocrate primum non nocere, a été mis en ligne il y a quelques jours. Une enquête menée par un collectif d’anciens journalistes, qui s’ouvre avec beaucoup de recul grâce à des interventions de grande qualité. >> La question est : jusqu’à quel point accordez-vous votre confiance à ceux qui nous contrôlent, qui nous dirigent, soit disant, malgré que la plupart des rois et présidents de ce monde ne soient que des pions ..? ... diviser pour mieux régner... En premier lieu, cela les arrangerait bien que la population soit remontée, les uns contre les autres... Si cela ne fonctionne pas comme ils le souhaiteraient, c’est au tour de la confrontation entre forces de l’ordre et civils. Si cela ne fonctionne toujours pas, alors concrètement c’est la guerre civile pour remettre à sa place ce pantin de macro de Manu Macron, quitte à l’attraper par la peau du cul pour lui décoller ses petits doigts des manettes, toujours et sans oublier qu’il n’est qu’un pion, qu’une devanture... C’est d’ailleurs pourquoi ça ne sert absolument à rien de s’énerver, car les réels détenteurs du pouvoir sont sacrément bien planqués sur une île, imaginant le reste de la population mondiale non moins que les moustiques qui les dévorent en un climat tropical. Elle est pas belle la vie ?

Toute dernière fabrication, venant juste de finir le ponçage sur un des modèles ondés, avec les cases en Sycomore ondé, Sapelli pommelé, et un cadre composé de Movingui, Bubinga, Ipé et Eucalyptus fumé :

Je pense avoir trouvé mon bonheur... ^^ Un grand merci à Alkimik ! Dans ce genre de travaux il vaut mieux garder à l’esprit que ce n’est pas une mince affaire, car une fois les blocs dégagés, c’est sous le sable qu’ère le plus grand danger... La suite c’est limite au pinceau, accompagné de mon ami le tamis, à travers duquel plus d’une tonne de sable est déjà passée, pour les endroits concentrés en petites billes plastiques. Ces petites matières plastiques servant de matière première pour tout les moulages ou encore qui brassent les déchets de la centrale d’épuration, proviennent d’une part de cette dernière, et d’autre part d’accident de bateaux transportant ces petites billes, mais encore d’un grand manque d’attention pour leur acheminement du quai au bateau, ou du bateau au quai ( exemple de progrès incontestable de notre époque, et pendant ce temps là, la marmotte... ). Le détecteur de métaux entrera en jeux à ce moment là, sachant malgré tout que certaines bombes sont en plastique, et donc indétectables.