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Bourse minéraux Sainte Marie aux Mines 2024, avec fossiles et gemmes.
Bourse minéraux et fossiles de Sainte Marie aux Mines (Alsace) - 26>30 juin 2024

Nanil

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Tout ce qui a été posté par Nanil

  1. Le ciel aurait été si beau, si bleu.., s’il n’y avait pas tous ces épandages aériens de sels de Baryum, Strontium, Titanium, Aluminium, et autres petites friandises radioactives pour la santé et pour les alvéoles pulmonaires, et surtout pour avoir une belle peau photoluminescente et phosphorescente à la fois. Il faut être brillant à notre époque...
  2. Donc, ceux qui sont simplement motivés peuvent le signaler ici-même, sans parler de validation de date ou de lieu...
  3. Du moment qu’il ne s’est jamais attaqué à un dinosaure, tout va bien. Suis-je bête, c’est le mot sanglier que je voulais dire... désolé, je n’sais pas c’qui m’a pris. (^^)
  4. T’es sûr qu’il ne s’agissait pas plutôt d’un grimlin ?
  5. Pourrions-nous envisager une rencontre entre les personnes motivées du GéOForum, un moment de rencontre convivial entre les membres du forum et d’ailleurs, et encore d’ailleurs, ne faut-il pas oublier la musique adéquate, adaptée et adaptable grâce à mon frère Loïc (^^) : https://djl2l.fr Et voici le site qu’il m’a réalisé, si vous souhaitez y jeter un coup d’oeil, pour la culture de l’art : http://art-et-action.fr Si cela vous enchante, nous pourrions organiser cela vers la mi-juin, ou avant ou aprés, suivant les disponibilités de chacun, et si vous voulez passer au Cap Ferret, vous serez les bienvenus. On pourrait même organiser en plus une expédition à la recherche de tout objet ou chose ( comme dirait si bien notre ami Jnoun ^^ ) que nous trouveront, étudieront et scruteront à travers les oculaires de la loupe, lourde mais portable, et bien plus légère qu’un piano à transporter. Sinon, si le 9 Juillet convient à tout le monde, ce serait dans le même temps le premier essai de Sky surf, grâce à mon pote Dédé qui remplacera pour l’occasion l’homme qui tombe à pic.., ce dernier étant occupé. 😎
  6. Vous allez voir à la récrée, la tronche du petit carré de béton qu’il reste à dégommer pour commencer à avoir l’aperçu d’une moitié de dune reprenant petit à petit sa splendeur originelle... Et vous avez amplement et entièrement le droit et le permis de fabriquer la même pour vous-même. Non mais sans blague, on ne va pas se laisser démoraliser par des petits bouts de ciment desséché ! ^^ Juste le temps de réparer le petit doigt, celui-là même qui m’avait prévenu que c’était inutile de vouloir œuvrer plus vite que la musique... Et bien figurez-vous qu’il avait raison. En attendant ça va chier des bulles gonflées sous vide dans pas si longtemps que ça... On va se régaler, et tout ceci avec un minium d’effort pour un maximum de rendement ! 🤗
  7. Variantes de jeux d’échecs ou de constructions innovantes en tout genre, mais surtout répondant à un besoin technique, telles une scie à métaux améliorée ou bien encore incessamment sous peu, une masse à percussion, toute nouvelle génération, et pour si peu en pleine exclusivité... et dont l’idée est de ce simple fait protégée, puisque notée quelque part sur la toile ou ailleurs. Il ne restera que le test, avant mais surtout après fabrication du prototype... ... à suivre.
  8. Sans déc, ce n’était pas un extrait de house techno ?
  9. Absolument pas, je peux t’assurer que mes dires, ou plutôt mes écrits étaient entièrement spontanés, sans aucune réflexion commise auparavant. (^^) J’ai ainsi été capable de te donner le genre de ce court extrait de house musique que j’ai entendu et qui ne devait pas uniquement être pondu par mon imagination, même débordante. C’est pas mal, il manque juste le son.
  10. Le lien ne fonctionne pas encore... apparemment. Pourtant, si l’on clique assez rapidement sur la flèche qui apparaît furtivement en arrivant sur ton message, on peut écouter l’extrait d’un genre de musique house techno...
  11. J’aimerais vous raconter la petite histoire que j’ai vécu à l’âge de vingt ans, au risque de passer pour un je-ne-sais-quoi... Par une journée resplendissante de soleil et de ciel bleu, soudain l’idée me vint de vouloir vivre cette journée en osmose, en communion totale avec Dame Nature. Pour cela, et ce n’était d’ailleurs peut-être pas très malin, mais une petite bouteille d’un litre de whisky allait certainement me faciliter la tâche, si l’on peut dire... surtout sur le T-shirt. Cette histoire sans fin réunit le pire et le meilleur à la fois. D’un côté il y a des sensations fortes, mystérieuses et inconnues, et de l’autre, une certaine vision d’un avenir potentiel d’ici cent ou mille ans... Je serais incapable de dire si je souhaiterais à qui que ce soit de vivre une telle expérience..... Depuis le début de la journée, l’heure n’avait plus la moindre portance pour me retarder dans mon projet. Le moment, ce temps magnifique et ce lieu, étaient tout à fait propices à un genre de balade méditative et aventurière. Ainsi, une fois sorti du magasin, ayant acheté ce mauvais whisky ( malgré que la quantité d’une telle aberration rétablisse l’équilibre des choses ), et dans une vision assez cosmique et quelque peu aléatoire, l’idée était alors de commencer l’aventure dès le présent en question.., en bref entamer la bouteille. Et la fois d’après, les premières gorgées pas tout à fait digérées mais encore gérables, il fallait absolument atteindre la plage le plus tôt possible ( profitant de vider par terre sur le trajet une ou deux dizaines de centilitres, la mort n’étant pas l’objectif ), histoire de ne créer aucune sorte d’histoire parallèle que je n’aurais aucunement souhaité et dont je n’aurais eu aucune maîtrise. A cet instant, le temps commence déjà à passer à une vitesse différente, mais la plage est enfin atteinte, et la bouteille certainement déjà terminée. Maintenant fallait-il encore trouver sa route, qui n’est autre et évidemment que tout droit au bout du chemin, longeant par là-même tranquillement l’Océan... En cohésion parfaite avec le mouvement de l’eau, suivant dans le même temps le vol des mouettes et des goélands, et marchant sur le sable de notre Terre comme sur un lit flottant, je me sentais bien et avais certainement dû atteindre le nirvâna, quelque part. A l’instant précis où se situe cette sensation, tout était comme synchronisé, le beau temps était bien présent, les oiseaux aux rendez-vous comme d’habitude, le tout avec un vent apaisé et une atmosphère propre à la consommation... L’instant d’après fut bien différent. Ce qui m’a paru passer d’une seconde à une autre, n’était en fait qu’une après-midi en plein jour directement passée à une nuit au rideau tombé d’une Voie lactée scintillant d’étoiles en tout genre. La fatigue commençant à se faire sentir, la nouvelle idée fut alors de s’allonger sur le dos et sur le sable, afin de contempler pour de bon la voûte céleste jusqu’à l’infini, avec un champs de vision panoramique, et dont l’image s'imprégnait peu à peu directement dans l’hippocampe des boyaux du crâne, au bout d’un bon quart d’heure, à vu de nez vingt trois ans plus tard, soit maintenant. L’instant d’après, ce sont comme des flocons de neige, tombant droit, et dont la densité s’intensifiait à chaque seco... instant qui passait peut-être, mais surtout en plein été. Ce n’étaient en fait que des flocons de photons.., et une fois le champs de vision disponible complètement saturé de cette lumière aussi intense que celle du soleil, mais ne froissant les yeux, j’ai senti mon corps s’élever à une vitesse exponentielle, à la verticale et toujours dans la même position allongée sur le dos, mais surtout sans aucune secousse. Le moment juste après se résume à se retrouver en plein jour, avec le même beau temps, dans une ruelle adjacente au lieu dit et vécu, recherchant à qui parler à travers ce contexte un peu spécial, étant redevenu blizzarment complètement lucide, cherchant même à retenir et à mémoriser à tout prix le numéro des plaques d’immatriculation des voitures reversées par quelque dévastation apocalyptique que ce fût... Jusqu’au bout de la rue, j’avais la fâcheuse impression que dans tous les cas de figure il n’y aurait, et n’y aurait eut personne à qui parler... communiquer un minimum. Seulement il n’y avait toujours personne, et à l’instant d’après je me suis retrouvé comme sur l’estrade d’un grand théâtre, l’espace tout autour restant sombre, maussade et avec sans plus aucune lumière disponible, conséquence certaine d’un climat détérioré artificiellement et irrattrapable. L’espace d’un instant pour se dire que ce champs de cocons géré par des machines organiques, alimentant les probables futures générations.., que j’entre-apercevais quarante mètres plus bas, n’avaient apparemment et bien tristement plus aucune chance qu’aucune forme de vie extérieur ne s’intéresse encore assez à nous... au point de venir nous secourir. Quel intérêt de venir à la rescousse d’une humanité qui s’est sabordée toute seule, et à laquelle le soit disant progrès n’aurait produit qu’une destruction massive à tous azimuts ? Le seul message qui m’en est resté est que l’avenir du monde entier dépend de chacun de nous. Si vous voulez avoir une impression de ce que j’ai vécu, vous pouvez visualiser les dix dernières secondes de la seconde vidéo qui va suivre... Je compte sur vous pour fabriquer un avenir meilleur pour les futures générations, pour Nous même en attendant, et donc nécessairement pour cette planète qui nous supporte encore. Vous pouvez aussi compter sur ma personne qui n’est qu’une partie de vous même, qu’un caractère, et qu’un mélange de toutes les personnes intéressantes que j’ai rencontré et retenu durant mon existence. Veuillez donc passer d’agréables fêtes de fin d’année ! D’ailleurs ou d’ici, si quelqu’un connaissait l’origine des dix dernières secondes de cette vidéo, je suis preneur, quitte à échanger l’information contre un galet poli de roche micro fossilifère. (^^) Cherchant à vous rassurer, ce potentiel avenir était issu d’une date bien précise, mais surtout passée, sachant qu’à chaque seconde qui passe, rien est écrit et tous les avenirs plausibles sont encore accessibles, du moins à la seule condition d’avoir encore la disponibilité intellectuelle d’avoir la force de pouvoir l’imaginer. Veuillez me préciser quel intérêt auraient certains êtres, vivant à l’extérieur de notre système solaire, de rechercher une quelconque communication ou une simple tentative d’échange culturel ? Il est certain que vu comme ça, bien peu de monde extra Terre pourrait s’intéresser à nous, sauf pour endormir et désactiver ces bombes et leurs essais nucléaires associés, qui doivent leur résonner dans les écoutilles jusqu’à l’autre bout de notre galaxie ou de l’Univers.., allez savoir. Mine de rien, cette expérience m’a beaucoup aidé à comprendre et apprécier chaque individu à sa juste valeur, ne supportant que rarement les effets de groupes aux mouvements et conséquences si aléatoires, mais respectant et aimant chacun et chacune comme moi-même, et ce, irrémédiablement et inconditionnellement.
  12. Ne sachant pas trop où poser le récit de ma petite histoire, je me suis dit que ce n’était pas utile d’ouvrir un sujet pour cela. J’ai tout de même essayé d’y déposer quelques traces d’humour... que l’on doit pouvoir déceler, en cherchant bien et longtemps. ^^ => https://www.google.fr/amp/s/www.sudouest.fr/gironde/le-bouscat/le-departement-de-gironde-relance-la-collecte-de-coquilles-d-huitres-7386645.amp.html << En décembre 2020, le comblement intégral de deux carrières souterraines sur la commune de Prignac-et-Marcamps a été expérimenté. Au printemps 2022, un nouveau chantier de comblement sera réalisé à Lugasson (Sud-Gironde). Il s’agira de combler environ 3 000 m³ de galeries en utilisant des coquilles d’huîtres collectées en cette fin d’année. Le mortier nécessaire sera constitué de ces coquilles concassées et du sable issu du dragage de la Leyre. >>
  13. D’ailleurs ou d’ici, si quelqu’un connaissait l’origine des dix dernières secondes de cette vidéo, je suis preneur, quitte à échanger l’information contre un galet poli de roche micro fossilifère. (^^) Cherchant à vous rassurer, ce potentiel avenir était issu d’une date bien précise, mais surtout passée, sachant qu’à chaque seconde qui passe en ce lieu de l’Univers ( les être extra ayant aussi le droit de nous penser des être un peu spéciaux, nés quelque part sur Terre, qu’ils ne supportent apparemment plus, étant donné qu’ils la défoncent et lui essorent ses propre ressources vitales et renouvelables de toutes parts ), rien est écrit et tous les avenirs plausibles sont accessibles, du moins à la seule condition d’avoir encore la disponibilité intellectuelle d’avoir encore la force de pouvoir l’imaginer. Dans ce cas, quel intérêt dans la recherche de communication, autant chercher à parler en français à un vers de Terre ! ^^ Il est certain que vu comme ça, bien peu de monde extra Terre pourrait s’intéresser à nous, sauf pour endormir les essais ou les bombes nucléaires qui leur résonne dans les écoutilles jusqu’à l’autre bout de l’Univers...
  14. J’aimerais vous raconter la petite histoire que j’ai vécu à l’âge de vingt ans, au risque de passer pour un je-ne-sais-quoi... Par une journée resplendissante de soleil et de ciel bleu, soudain l’idée me vint de vouloir vivre cette journée en communion totale avec Dame Nature. Pour cela, ce n’était peut-être pas très malin, mais une petite bouteille d’un litre de whisky allait certainement me faciliter la tâche, si l’on peut dire... surtout sur le T-shirt. Cette histoire sans fin réunit le pire et le meilleur à la fois. D’un côté il y a des sensations fortes et inconnues, et de l’autre, une certaine vision d’un avenir potentiel d’ici cent ou mille ans... Je serais incapable de dire si je souhaiterais à qui que ce soit de vivre une telle expérience..... Depuis le début de la journée, l’heure n’avait plus la moindre portance pour me retarder dans mon projet. Le moment, ce temps magnifique et ce lieu, étaient tout à fait propices à un genre de balade méditative et aventurière. Une fois sorti du magasin, ayant acheté ce mauvais whisky ( malgré que la quantité d’une telle aberration rétablisse l’équilibre des choses ), et dans une vision assez cosmique et quelque peu aléatoire, l’idée était alors de commencer l’aventure dès le présent en question.., en bref entamer la bouteille. Une fois les premières gorgées pas tout à fait digérées mais encore gérables, il fallait absolument atteindre la plage le plus tôt possible ( profitant de vider par terre sur le trajet une ou deux dizaines de centilitres, la mort n’étant pas l’objectif ), histoire de ne créer aucune sorte d’histoire parallèle que je n’aurais aucunement souhaité et dont je n’aurais eu aucune maîtrise. A cet instant, le temps commence déjà à passer à une vitesse différente, mais la plage est enfin atteinte, et la bouteille certainement déjà terminée. Maintenant fallait-il encore trouver sa route, qui n’est autre et évidemment que tout droit au bout du chemin, longeant par là-même tranquillement l’Océan... En cohésion parfaite avec le mouvement de l’eau, suivant dans le même temps le vol des mouettes et des goélands, et marchant sur le sable de notre Terre comme sur un lit flottant, je me sentais bien et avais certaine dû atteindre le nirvâna, quelque part. A l’instant précis où se situe cette sensation, tout était comme synchronisé, le beau temps était bien présent, les oiseaux aux rendez-vous comme d’habitude, le tout avec un vent apaisé et une atmosphère propre à la consommation... L’instant d’après était bien différent. Ce qui m’a paru passer d’une seconde à une autre, n’était en fait qu’une après-midi en plein jour directement passée à une nuit au rideau d’une Voie lactée scintillant d’étoiles en tout genre. La fatigue commençant à se faire sentir, la nouvelle idée fut alors de s’allonger sur le dos et sur la sable pour contempler la voûte céleste... jusqu’à l’infini, avec un champs de vision panoramique et dont l’image fut directement intégré dans l’hippocampe des boyaux du crâne, au bout d’un bon quart d’heure, à vu de nez vingt trois ans plus tard. L’instant d’après, ce sont comme des flocons de neige, tombant droit, et dont la densité s’intensifiait à chaque seco... instant qui passait peut-être, mais surtout en plein été. Ce n’étaient en fait que des flocons de photons.., et une fois le champs de vision disponible complètement saturé de cette lumière aussi intense que celle du soleil, mais sans froisser les yeux, j’ai senti mon corps s’élever à une vitesse exponentielle, à la verticale et toujours dans la même position allongée sur le dos, mais surtout sans aucune secousse. Le moment juste après se résume à me retrouver en plein jour, avec le même beau temps, dans une ruelle adjacente au lieu dit et vécu, recherchant à qui parler à travers ce contexte un peu spécial. Étant redevenu blizzarment complètement lucide, cherchant même à retenir et à mémoriser à tout prix le numéro des plaques d’immatriculation des voitures reversées par quelque dévastation apocalyptique que ce soit. Jusqu’au bout de la rue, j’avais la fâcheuse impression que dans tous les cas de figure il n’y aurait, et n’y aurait eut personne à qui parler... communiquer un minimum. Seulement il n’y avait toujours personne, et à l’instant d’après je me suis retrouvé comme sur l’estrade d’un grand théâtre, l’espace autour restant sombre, maussade et avec plus aucune lumière disponible, conséquence certainement issue d’un climat détérioré et irrattrapable, l’espace d’un instant pour se dire que ce champs de cocons gérées par des machines organiques alimentant les sois-disantes futures générations, que j’entre-apercevais quarante mètres plus bas, n’avaient apparemment et bien tristement plus aucune chance qu’aucune forme de vie extérieur ne s’intéresse encore assez à nous... au point de venir nous secourir. Le seul message qui m’en ai resté est que l’avenir du monde entier dépend de chacun de nous. Si vous voulez avoir une impression de ce que j’ai vécu, vous pouvez visualiser les dix dernières secondes de la seconde vidéo qui va suivre... Je compte sur vous pour fabriquer un avenir meilleur pour les futures générations, pour Nous même en attendant, et donc nécessairement pour cette planète qui nous supporte encore. Vous pouvez aussi compter sur ma personne qui n’est qu’une partie de vous même, qu’un caractère, et qu’un mélange de toutes les personnes intéressantes que j’ai rencontré et retenu durant mon existence. Veuillez donc passer d’agréables fêtes de fin d’année !
  15. Les dernières photos oubliées d’hier, car même avec une main et demie il fallait bien avancer encore un peu le boulot pour la prochaine intervention :
  16. Ça pique un peu sur le petit doigt, même avec les gants, mais heureusement André était là pour me le réparer, tout comme il le ferait pour un chien de chasse... c’est rassurant. ^^ Juste après un pansement sec après l’aseptisation à l’eau de mer, on se sent déjà beaucoup mieux, et la blessure a quasiment disparue, enfin plutôt d’ici deux semaines... Cela arrive quand on veut absolument terminer le boulot coûte que coûte. Alors ayant cassé le manche de la masse, j’ai voulu terminer de démontrer ce fichu bloc, en prenant la masse avec le gant pour taper sur la hache faisant office de coin.., seulement avec le rebond mon petit doigt était au bas de la masse, et en a profiter pour se faufiler entre la masse et le coin. L’articulation n’est pas passée bien loin, peut-être un ou deux millimètres. Dans pas longtemps je vais lui faire sa fête, et vous verrez à quoi cette dune va ressembler... en attendant j’ai trouvé le ressort pour la masse à percussion.
  17. Comme tu dis, le minimum d’éclats sera le bienvenu, et sera aussi un maximum de repos pour la séquence tamisage. Cette hache va peut-être pouvoir s’infiltrer entre deux parpaings afin de les déconnecter, accompagné d’un mouvement de la masse, d’une découpe à la scie enchantée si nécessaire, et d’une terminaison aux bottes de sept lieues, qui rappelons le, ne sont autres que des bottes magiques grâce auxquelles il est possible de parcourir des distances impressionnantes, quitte à réaliser le tour de Terre en un seul périple. C’est juste une question de temps... 🤤
  18. C’est tout ce que j’ai trouvé comme coin, pourfendeur de machin-chose tels des parpaings pleins ^^ :
  19. Aucun des deux, c’est la mer qui prend l’homme... ^^ En fait cela doit dépendre de la décomposition de chaque blockhaus, car les fragments peuvent être déplacés si ils sont trop légers. Certains blockhaus ont été explosé à la dynamite car entourés ou posés sur des charges explosives de la dernière guerre. Pour celui-ci, on pourrait presque croire qu’il va vouloir rejoindre l’eau avant elle. Il faudra d’ailleurs éviter de poser sa serviette de plage à l’ombre de ce monument, malgré que la souffrance ne devrait pas durer longtemps si l’on se reçoit un truc pareil sur le coin de la figure...
  20. Si les blocks dégringolent de la pente jusqu’à atteindre la plage, à ce moment-là ils peuvent être emportés par les courants côtiers. Lorsqu’ils sont entassés, le sable se coince dans les interstices jusqu’à recréer une petite montagne de sable. Ensuite quand l’eau aura définitivement atteint les blocks entassés, ils devraient descendre plus bas dans le sol... d’après mes calculs, si toutefois personne n’a eut d’ici là, la présence d’esprit de les dégager du sable une bonne fois pour toutes... Certainement, mais il me manquerait de l’énergie pour une plus grosse masse, sur cette pente atteignant parfois 45 degrés. Même la bétonomite serait insuffisante pour les blocs armés.
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