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Bourse minéraux Sainte Marie aux Mines 2024, avec fossiles et gemmes.
Bourse minéraux et fossiles de Sainte Marie aux Mines (Alsace) - 26>30 juin 2024

quartz

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Tout ce qui a été posté par quartz

  1. Qui peut m'identifier ce minéral, que je vais essayer de décrire au mieux. Couleur : rouge rouille à vermillon. Dureté : rayable par l'ongle. Trait : rouge rouille. Aspect : squameux. Eclat un peu gras mais mat. Non dissous par HCl. Support bréchique constitué d'oxyde de fer mamelonné et de morceaux de schistes, semble t'il. Gîte : "chapeau de fer" d'un gisement plombo-zincifère et ferrifère à galène, sphalérite, pyrrhotine, chalcopyrite, sidérite...), exploité dès l'antiquité pour sa galène argentifère, y compris, semble t'il, par le feu (filons massifs et verticaux de 2 m. de large). J'ai sur place pensé au minium ; après la non dissolution par HCl, j'ai pensé plus raisonnablement à l'ocre rouge mais je ne sais exactement quoi penser, les ocres que j'ai rencontré jusqu'à présent n'ayant pas tout à fait cet aspect. Les photos ont été aimablement réduites par un membre de ce f
  2. Phillipsite ? (à confirmer par spécialistes) sur basalte. Echantillon de 7/5/5 cm. Provenance : j'ai trouvé cet échantillon dans les déblais du fonçage d'un puits, aux fins d'expériences, dans le volcan support de l'atoll de MURUROA. Profondeur : entre -300 et -1200 m. Autres minéraux d'accompagnement : harmotome, stilbite. Le basalte est gris mais les vacuoles et fissures comportant des zéolites sont, dans cet échantillon, recouvertes de (basalte ?) noir. Initialement, ce volcan était sous marin, mais il a eu des périodes ou il a vu le jour. Il s'est enfonçé sous son propre poids, auquel est venu se rajouter l'énorme poids du corail compacté et transformé en dolomie et calcaire, sur une épaisseur de 300 m. Interêt autre que l'origine : possibilité d'action de l'eau de mer ?
  3. Stalagtites et mites de glace sur baryte dans un travers banc pour le moins venté. ARRENS (65). (je sais, je l'ai déjà mise sur un autre sujet, mais la DRIRE est passée, et on ne les verra plus jamais ! ).
  4. Fred 48, tu pourrai utilement nous aider en nous disant où tu as vu le papy répandre cette matière autour de ses arbres ; en Italie, en Françe ? Si c'est en France, quelle région ? Je ne pense pas qu'il la faisait venir de loin :coucou!:
  5. Trop facile pour moi, papyfred, car je suis un K ! je ne m'intéresse qu'aux minerais et matières utiles
  6. Un petit prospecteur amateur de minerais peut il apporter une modeste contribution ? si oui, je suggère qu'il s'agit d'alunite et non alinite ; en effet, les schistes alunifères (contenant donc de l'alun, résultat de la décomposition de la pyrite) sont aussi dits "ampéliteux", du grec ampelos qui, en grec, veut dire, comme chacun le sait, vigne : pourquoi ? parceque on a employé ces schistes, réduits en poudre (par exposition à l'air ou par grillage ?) pour l'amendement des vignobles. Ce qui est bon pour la vigne doit aussi l'être pour d'autres espèces ? D'ailleurs, dans l'UTAH, on a exploité l'alunite pour l'aluminium (c'est pour cela qu'elle m'intéresse), mais aussi pour le potassium, qui est un fertilisant.
  7. Mais, CAILLOUTEUX, je suis tout à fait d'accord avec ce que tu dis sur la solidarité des mineurs, quelque soient leurs nationalités ; il n'y a sans doute pas de métier qui rende si solidaire et tous les anciens me disent, quand je leur pose la question des relations entre mineurs locaux, espagnols, italiens, marocains, algériens et, pour remonter dans le temps, républicains espagnols, allemands mêlés à eux par les troupes d'occupation, S.T.O., prisonniers de guerre allemands et italiens, tous, sans exception, me disent qu'ils s'entendaient bien et qu'ils ne faisaient aucune différence. Un mineur, rappelé en 47 dans le but de former des troupes pour aller mater les mineurs grévistes du Nord m'a dit récemment qu'il aurait déserté si on lui avait ordonné de le faire. Pas de métier plus honorable que celui là, je suis tout à fait d'accord. Mais, on s'éloigne peut être du sujet...Ce que je voulais dire, en parlant d'immigration, ne les concerne pas : je cherche les raisons sociales profondes qui font que, dans les ex bassins houillers, il y a des réticenses, surtout de la part des petits-enfants, à dire que papy était mineur de fond, je cherche à savoir pourquoi XXXXXX les Mines est devenu XXXXX les Thermes, après réapparition quasi miraculeuse d'une source thermale à la fermeture de la mine (il ne doit pas y avoir que des raisons économiques) et pourquoi, à cet endroit, quand je demande où je peux rencontrer un ancien mineur, pour sonder son coeur, on me dit " ôôôh, peut être là, sur un banc de la place, il doit y en avoir un ou deux, mais vous savez, ils n'ont rien à dire", pourquoi, plus loin, quand je demande à m'approcher pour photographier le crochet d'une berline, le toucher, on me prends pour un dingue, pour me dire ensuite que "papa était mineur, alors !" on devrait, nom d'un chien, et avec enthousiasme, me le tenir bien horizontal, ce crochet, et m'expliquer comment il fonctionnait, surtout si l'on est chargé de sa conservation et donc, à priori, compétent sur le sujet. Tout ceci me fait dire que, et c'est bien dommage, beaucoup de descendants de mineurs répugnent à parler de leur passé : pas les mineurs eux même, fiers qu'ils sont de leur ancien métier, et à juste titre. Et cela, si je ne me trompe pas, contribue au peu d'interêt que porte la Nation, ingrate, aux vestiges miniers. Mais je connais mieux les pays de mines métalliques de montagne où, là, j'en suis sûr, on se réjouit souvent des destructions d'oeuvres d'art métalliques de surface parceque, inconsciemment, elles sont la preuve que le monde industriel a pris, un temps, le dessus, ou tout au moins cohabité sur (avec) le monde agro-pastoral, oubliant qu'il a aussi apporté le bien être. Et ça, que ce soit les origines lointaines de la famille ou l'inconscient esprit de revanche, on ne peut l'éradiquer : cela expliquerait en partie que la défense de ce patrimoine ne soulève pas les foules. Qui m'encouragera dans cette idée ?
  8. Bonne année. Oui, de nombreux anciens mineurs et descendants de mineurs ne veulent pas parler de ce métier, l'un des plus durs qui soient ; je cherchais à faire dévier vers, justement, les raisons pour lesquelles il y a ces réticences, qui sont parties prenantes dans le fait que, hors microcosme caillouteux, la politique de l'Etat, la DRIRE n'étant que son bras armé, ne rencontre pas de semblant de résistance. Pour les houillères, je crois que, passé "l'euphorie" de la dernière berline et la sublimation du métier, on ne veut plus parler du problème ; la question est POURQUOI ? Pour les mineurs, le sentiment d'avoir été pris pour des imbéciles, d'avoir été culpabilisé en lisant qu'ils coûtaient cher à la société, de s'être esquintés les poumons pour le bien des autres ... ? Pour leurs descendants, cela me semble plus délicat, car touchant au plus profond de leur être ; en parler ferait référence, souvent, à leurs origines d'immigrés (alors que nous en avons eu bien besoin). Pour les mines métalliques, qui firent appel à une proportion de locaux plus importante, essentiellement rurale, je vois le problème différemment et avec plus d'interêt : je pense que, bien que n'ayant fait l'objet que de peu de littérature, le travail dans les mines métalliques ou dans les grands chantiers de percement pour l'hydroélectricité, sauf dans les mines modernes, était de l'esclavage : ça rapportait plus que l'agriculture, mais c'était la peur au ventre tous les jours. Et là, j'en viens à ce qui me tient à coeur : les descendants de ces mineurs, grâce au travail de ces derniers, et à leur retraites quand ils ont pu en jouir, redevenus ruraux, mais avec plus d'aisance, ne voient pas d'un bon oeil ce rappel au passé ; d'ou la satisfaction affichée, par exemple, d'avoir vu découper moultes pylones de "chemins de fer aérien" qui "blessaient leurs bêtes" et boucher les "trous" qui les avalaient (je n'ai jamais vu qu'une vache crevée que dans une grotte, jamais dans une mine). C'est sur ce dernier point que j'aimerai discutailler, mais peut être n'est ce pas le bon endroit ? Et peut être ai-je tord ?
  9. La DRIRE, c'est comme la justice, et la justice est comme un rouleau compresseur...ça va lentement, mais ça arrive toujours. Bon travail lorsqu'il y a réel danger pour les touristes ( puits à quelques m. d'un sentier) gâchis archéologique et financier (pas pour tout le monde, n'est ce pas, Messieurs de la DRIRE) pour le travail ou les semblants de travaux à des endroits où personne ne va, sauf les minéralogistes. Ceci dit, relativisons... à part les minéraux de néoformation bien connus, on ne risque sans doute pas de faire de grandes découvertes dans les anciens travaux ; c'est surtout une ambiance, un certain stress, une odeur de sulfures, des roues de berlines , KOBOLD qui bondit au détour d'une galerie, une petite ou une grande peur.... Mais je passe toujours, tant que j'ai la forme, parce que la DRIRE ne peut tout boucher ; c'est une utopie de technocrate ; de plus, grâce aux chauves souris, qui semblent avoir plus d'importance que le minéralogiste, il y a très souvent un passage qui, un jour ou l'autre, sera forcé : j'ai même revisité un site parce que la DRIRE avait oublié de mettre, ou était momentanément dépourvu du cadenas tout à fait normalisé qui niche dans les barreaux creux spécial DRIRE ; bref : un passionné, pour peu qu'il sorte un peu des sentier battus, rentrera toujours, aujourd'hui ou après demain. Ceci est un avis tout à fait personnel. Peut être pourrait on parler des réelles raisons qui font que "le bon peuple s'en fout" ; en France, tout du moins. Mais surtout des raisons sociales profondes qui, à mon avis, font que les populations locales ont plaisir à voir disparaître le peu qu'ils connaissent des restes miniers, travaux souterrains et infrastructures de jour : je veux parler, pour les houillères, de problèmes d'immigration passées, et pour le Sud, d'une revanche de l'ancestral agro-pastoral sur l'industriel : pourtant, si le descendant de Polonais Stéphanois a encore une certaine aisance, c'est bien grâce au travail et sacrifice de son grand père mineur, et si le rural Pyrénéen peut aller visiter son cheptel en quad, c'est bien parce que son grand père a souffert dans les mines de sulfures. Un lien entre ces deux types de mineurs, le courage et la silicose : un lien entre les deux modernes, l'ingratitude et le refus du passé. Il est dur de faire "avouer" à un contemporain que son ou ses ancêtres ont peiné dans les mines ; en insistant, on arrive cependant souvent à leur faire "avouer" et c'est finalement avec fierté, mais en secret, qu'ils vont au grenier chercher la lampe. Qui a un avis sur ce sujet (sensible) ? Moi, je le dis, mon grand père était mineur de charbon.
  10. Peut on considerer que la laforetite est ou est susceptible de devenir une source d'indium, puis-je le ralouter sur ma liste et partir à sa recherche ? . Pour rejoindre le signalement de l'article de science et avenir, que je me procure le plus tôt possible, ces métaux joueront certainement un grand rôle en géopolitique ; j'espère que nos experts du BRGM conseillent nos gouvernements sur le sujet ! il faut placer ses billes à l'avance ; car la réalité est tout aussi cynique qu'auparavant (Madame CLAUSTRE ne cherchait pas que des peintures rupesques dans le Borkou Ennedi Tibesti). Concernant Ga, Ge, Ta ..., il semble que des recherches métropolitaines aient été faites en se sens et que certaines mines pourraient reprendre leurs activités rien que pour eux : pauvre gave de CAUTERETS, pas prêt d'être dépollué, celui là ! mais chuuuuuut.
  11. Je ne connais qu'un minerai dont le traitement peut donner de l'Indium, en sous produit : la sphalérite ; il est vrai que notre bonne vieille blende peut aussi donner le Zinc, bien entendu, mais aussi le Germanium, le Cadnium, le Gallium, l'Argent, l'Or. Collectionneur de minerais, je n'ai jamais noté sur mes tablettes que ce seul minerai (ajoutant au regard, peut être par erreur "quand elle est noire, ferrugineuse". J'attends avec impatience que l'on me désigne de nouvelles sources d'indium afin de completer mes listes et...ma collection.
  12. Merci pour le travail, ô délicat hydroxyclhroride. Comme les pharaons avec leurs ingénieurs constructeurs de leurs pyramides, il ne me reste plus qu'à te plonger dans l'acide nitrique !
  13. C'est fait, ô Maître : en grosissant, on voit bien la méthode de progression de l'aimable sulfate ! sournoise, rapide, tout est envahi. Une suggestion : pour une blessure saignante à la main, plonger cette dernière dans mon bain et attendre.
  14. Va sur la rubrique zéolites : j'y ai mis deux photos de zéolites que j'ai trouvé là bas ; il doit bien en rester encore ! J'ai oublié de signaler la braunite et je crois que ce renseignement figure sur la carte géologique.
  15. J'espère que tu as reçu la photo que je n'ai pu envoyer sur géo. Les résultats sont certainement spectaculaires, mais il est surtout très intéressant de constater la grimpette de l'alun, qui se mettra à déborder si on la laisse faire : un conseil, cependant : se servir d'un fil de couture blanc car il faudra bien couper le fil de part et d'autre de l'objet couvert d'alun et, plus il sera fin et blanc, moins on n'en verra la trace. Je ne connais pas les résultats avec les divers aluns du commerce mais j'ai lu qu'il y avait du faux alun, résidus de la fabrication du nylon ! Je pense que tu es allé fouiller sur google et que tu le sais.
  16. OK, JPP2A. J'ai apporté un élément de réponse pour le 65 ; j'en resterai donc là et n'encombrerai pas avec mon diverticule sur les origines sociales de la chasse aux trous
  17. JPP2A : acceptes tu, en tant qu'initiateur de cette rubrique destinée à relever les dégâts par département, que je parle des raisons qui, à mon avis, font que le peuple s'en fout, au risque d'interrompre inoportunément ton idée première et que, par dérapage, on ne réponde plus à ta question initiale ?
  18. Pour le 65, rajouter, dans le Secteur minier du NERBIOU, : Mines du NERBIOU. Info à confirmer par d'autres, acr je ne suis pas allé vérifier : on aurait muré les galeries dites romaines, sans aucun danger mais d'un grand interêt archéologique. J'espère qu'on aura laisssé un petit trou pour les petites bêtes volantes, c'est tellement pus important que la culture !
  19. Beeeen...pour le 65, je dirais : dans le secteur (au sens minier du terme) de PIERREFITTE : VIEILLE MINE, BANCIOLE, COULEDOUS, GARAOULèRE, FILON DU RAVIN. Dans le secteur d'ESTAING : Filons d'ARROUY. Dans le secteur d'ARRENS :MINES D'ARRENS et PEYRARDOUNE. Dans le secteur de CHèZE : MEYABAT DE CHèZE et HèCHES-TRAPPES D'autres compléteront. Question : peut on en profiter pour polémiquer sur les raisons sociologiques profondes qui font que la population, si elle se réjouit à juste raison de la sécurisation des vieux travaux qui pourraient mettre sa vie en danger, se réjouit ou se fout de la destruction de notre patrimoine minier souterrain et de son infrastructure de jour ?
  20. Sans aucun esprit de polémique, je ne comprends pas si tu es pour la fermeture, ou pas ! En effet, si l'on part du fait que chacun est raisonnable, il n'y a pas à fermer, je pense qu'il y a plus urgent. Si l'on part du fait que l'homme n'est pas parfait, ce qui est vrai, il est même parfois franchement c.., alors, il peut se tuer en allant n'importe où. Je comprends que l'on bouche un "trou" près d'un sentier de randonnée, c'est même impératif, je ne comprends pas que l'on aille boucher des galeries situées là où seuls les personnes "averties" ou qui se croient averties, nul n'est parfait, se rendent. La montagne n'est elle pas tout aussi dangereuse ? Pour un mort dans une vieille mine, combien sur le Mont Blanc ? A t'on barricadé les ALPES ? Combien et combien de morts et blessés aux sports de neige, avec quel coût pour la Société : l'a t'on interdit pour autant ? Pour résumer, les mines ne rapportent rien aux collectivités, vouons les aux gémonies ; la montagne et la mer rapportent beaucoup à certains (pas au contribuable d'ailleurs, mais à certains), mettons les au pinacle. Je pense que certaines mines sont dangereuses, en effet ; celles qui le sont trop sont à interdire physiquement ; mais, pour les autres, respectons le laborieux travail des anciens, leurs sciences, leurs pénibles efforts, ceux que nous serions bien incapables d'imiter, et mettons plutôt leur travail en valeur, plutôt que de le détruire : à l'étranger, on sait faire. Pour le côté "économie locale" des travaux effectués et les petits pourcentages, je maintiens, mais ce n'est pas pour rien que nous considerés aux USA comme une République bananière, à cause de nos pratiques des petits cadeaux, pour le parti, pour la collectivité local, pour la commune, pour tel décideur, pour tel élu et même telle administration ? Amicalement. KOBOLD (qui dit que ce n'est pas parce qu'il écrit quelque chose qu'il a raison).
  21. Tout à fait de l'avis de diego973. Les dangers sont partout et, personnellement, je m'estime plus en sécurité dans un vieux travers banc d'une ancienne mine métallique qu'à un carrefour ou au bord des ravins escarpés du VALENTIN, gave qui descend sur GOURETTE ; va t'on mettre, tout le long des falaises de ce gave des kilomètres de barbelés pour en empêcher l'accès ; et pourtant, la responsabilité des communes n'est elle pas engagée ? Ceci dit, rien n'empêche un passionné de trouver le trou qui va bien pour contourner les barreaux de la DRIRE, et elle le sait ; or, seuls les passionnés vont dans les anciennes mines : cela ne fait que créer du danger, justement, puisque l'on ne peut plus passer par là où des centaines d'hommes ont peiné en poussant les berlines. Mais, apparamment, les chauves souris ont plus d'importance que le patrimoine. Pour illustrer, une photo de l'intérieur d'une galerie, en hiver, et une photo de la même, vue de l'extérieur, après "sécurisation" et dilapidation de l'argent public (mais peut être y a t'il un lobby des petites entreprises chargées du travail ?). Au point de vue légal, je pense qu'un simple panneau interdisant l'accès et mettant en garde, sérieusement exécuté et implanté, devrait suffire à ce que les maires puissent dormir en paix : mais...peut être 10% sur les travaux.....
  22. Basile ! un autre moyen ! te faire livrer un camion de schiste réputé ampéliteux, dans la cour de l'école. Les faire réduire en morceaux par les enfants, transformés en piques-mines. Faire faire des tas et les laisser aux intempéries aux intempéries puis faire griller l'ensemble : c'est comme cela que faisaient les anciens et ce serait tellement plus pédagogique d'assister à la formation, rapide paraît il, de l'alun.
  23. Merci, smoky, mais je n'ai pas eu beaucoup de mal à l'extraire. Suite MARTINIQUE : stilbite ?
  24. Découvert par moi en MARTINIQUE, puisque les DOM TOM sont admis ! Analcime ?
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