Voilà que me semble une remarque très pertinente (en gras) : du coup, en zone alpine (Oisans par ex), voyez-vous des circonstances spéciales qui générer un fluide "un peu chaud (ça c'est facile) et réducteur"? Si on repart des hypothèses de Daniel Gol (source de B viendrait des cipolins) sur les Aiguilles d'Argentière (Glandon), y aurait-il une source alcaline, qui avec la chaleur de l'orogénèse alpine pourrait géochimiquement avoir dissout le B des cipolins pour le concentrer dans certaines zone d'amphibolite ? Il est à noter qu'en Oisans, ces zones sont presque toujours des zones avec miroirs de faille important (ou à proximité immédiate) : je ne sais pas si cela a relation de cause à effet
Pour la remarque sur difficulté à remobiliser la tourmaline, OK et oui. Mais n'oublions pas l'impact du métamorphisme alpin : il me semble être de nature à pouvoir remobiliser ces tourmalines. Nota : côté Alpes françaises et exception faite du Mt Blanc (plusieurs spots connus mais visiblement en remobilisation des anciennes peg hercyniennes), les tourmalines sont quasi-inexistantes en minéralogie (peut-être en lame mince dans les roches). Ceci pourrait en théorie plaider pour leu remobilisation hypothétique. Mais je dis peut-être des grosses con***ries
Greg la veine