le forézien

Si celà peut aider (tiré d'un article des Techniques de l'ingénieur sur la concentration par gravité) : Sinon, mon avis personnel est que fabriquer une table à secousse n'est pas aisé surtout que suivant ton échantillon, il faut pouvoir jouer sur les paramètres de la table pour effectuer une bonne séparation. Utiliser un jig me parait plus simple. A la limite si tu as une rivière près de chez toi avec un bon débit, tu peux toujours construire un sluice, ce sera surement plus facile. Ou une petite rampe de lavage avec une moquette.

Essai infructueux de quartz à inclusions d'oxydes de fer (FOV 6mm) Certains échantillons sont recouverts d'une pellicule blanche même après plusieurs mois sous la pluie, bac à ultrasons et HMPS, javel et HCL. Si quelqu'un à une idée pour enlever cette pellicule qui part très facilement à l'ongle d'autant plus.

Quartz sur oxydes (FOV 3mm) Carbonates (FOV 5mm) Enfin pas vraiment carbonates. Il y a eu des carbonates, mais maintenant il ne reste que le recouvrement par les oxydes de fer. L'intérieur est vide!

Petite participation : Région roannaise dans la Loire, filon perso riche en quartz, barytine, carbonates, oxydes de fer et de manganèse. Du grand classique pour le Massif Central. Beaucoup d'échantillons prélevés dont de magnifiques fantômes de carbonates en rhomboèdres dans des cristaux de quartz mais qui ne rendent rien avec mon matos photo. Rose de carbonate et quartz (FOV 7mm) Début de quartz Gwindel (FOV 4mm) extrait sans s'en rendre compte en Octobre, jeté dans les déblais, puis récupéré le mois dernier après nettoyage à la pluie

Selon la légende de la carte : Zone de transition entre les migmatites et le granite du forez par intrication.

Merci à tous pour m'avoir aidé sur ce sujet en tout cas

Je sais pas, pour l'instant je n'en ai jamais vu ces petites bêtes toutes penaudes se déplacer dans mes boites micro Disons que je n'ai pas vraiment les compétences pour résoudre le problème de l'origine de ces choses organiques. Je n'ai pas réussit à trouver des photos d'oeufs de tardigrades à la bino sur google, mais il est vrai que la taille et la forme correspond.

Impressionnant. Dans mon cas, je pense que les spores ont été emprisonnées par la coulée de basalte avant de se solidifier, d'où la présence dans des vacuoles qui semblaient closes Bon plus sérieusement, les miennes ne sont pas aussi résistantes que celles de Ramsès parce qu'au bout de 6h dans la javel, il n'y avait plus rien. Dommage, je m'était bien attaché à ces petites sphères, il y avait une paragenèse calcite-spore qui était vraiment pas mal

C'est surtout que dans certains cas, ils se trouvent dans des vacuoles à peine plus grosse que la "sphère". Et étrangement sur la vingtaine de sphères sur cet échantillon, il n'y en a que dans les vacuoles et pas une seule sur la surface de la roche. Dans tout les cas, j'en ai mis un a échantillon avec une sphère à tester dans de la javel, j'aurais la réponse dans la journée.

Peut on parler de stade embryon pour du mycélium? Les poils sont juste des poils à priori, la masse de spore ce n'est pas les poils mais la boule jaune. Enfin moi et mes restes de biologie^^.

Surement pas du pollen de cette taille là, le pollen est de taille micrométrique et ne s'observe pas aussi facilement à la loupe binoculaire.

Je ne pense pas vraiment du point de vue du contexte. J'ai fait quelque recherches, parce que même si c'est organique, je ne saurais dire ce que c'est. J'ai put trouver ça dans le même genre: Origine : http://www.ppdl.purdue.edu/ppdl/weeklypics/11-2-09.html Certes ce n'est pas exactement là même chose, mais sur la structure c'est très proche. Il s'agit de groupes de spores du genre Colletotrichum avec des poils de fixation appelés setae. La question est simple, avant de tester, tout ce qui est organique (pollen, lichen, mousse, champignons,...) part à la javel? Parce que si ce n'est que ça, j'ai une bassine de javel dehors qui est en train de nettoyer des quartz alors un caillou de plus ou de moins dedans

J'y avais pensé au début étant donné que le bloc que l'échantillon que j'ai pris en photo a traîné pas mal de temps dans des caisses avant que je l'observe et alors qu'il était déjà trimé. Mais j'en ai trouvé de nouveau sur cassure fraîche dans des gros blocs où les vacuoles n'étaient pas "reliées à l'atmosphère", façon de parler.

La suite :

Bonjour tout le monde, j'ai une petite question concernant l'identification de ce/ces minéraux. Pour le contexte, il s'agit de minéraux présents dans des vacuoles d'un basalte, ils sont associés à de la calcite et de l'aragonite. Origine : Région de Lodève. La taille de la vacuole est de 2mm de long donc les boules doivent mesurer environ 0,2mm. Les "tiges" sont flexibles. J'ai essayé d'écraser ces boules, elles se déforment, s’aplatissent puis s'écrasent mais ne se cassent pas. Une fois écrasées, c'était assez luisant comme si le minéral était humide. J'avais pensé à une argile. Comme je n'habite pas du tout dans le coin, et que je n'en ai que 3 échantillons, disons que je suis un peu limité pour les tests chimiques. Voilà les photos, les deux premières sont combinées d'où des couleurs un chouilla plus vives :

La croissance des cristaux n'est pas vraiment un problème de surface, mais plutôt de volume, du coup, je ne suis pas sur que cela rentre bien dans le sujet. Il y a quelques années, lorsque j'étais en prépa, le thème était aussi surface, comme quoi, il y a peut de renouvellement, et on voulait travailler sur les évaporites, au final le seul thème que l'on a trouvé et qui collait avec "surface" était "les surfaces de décollement du aux niveaux d'évaporites". Mais c'est un sujet complexe qui est peut être trop long à débuter en Mars. Sinon pour rester sur du sulfate de cuivre, si vous avez de beaux critaux et que 2014 est l'année de la cristallographie, vous pouvez traiter les questions d'habitus cristallin et de la forme des cristaux qui dépendent du développement de certaines faces=surfaces.

Je me suis mal exprimé, et j'ai dit une grosse bêtise par la même occasion. La question que je voulais soulever est, certes le quartz a une cassure conchoïdale, mais sans considéré le fait de déjà trouvé un monocristal de quartz suffisamment gros pour le tailler en pointe, est ce que c'est pas plus difficile à tailler que du silex et est ce que ce n'est pas moins résistant? La flèche est elle assez solide au choc pour s'en servir comme flèche?

A cause des clivages, il est impossible de tailler une flèche dans un cristal de quartz hyalin ou pas. Des silex semi-transparent, c'est tout à fait possible par contre.

Tellement inappropriée comme réponse Pour l'héliodiore et les fluos, ces minéraux sont bien entendu côtés exclusivement au London Metal Exchange.

Qui t'a demandé de céder ton béryl? Si tout le monde réagit de manière agressive, c'est une réaction défensive vis à vis de quelqu'un qui pollue le forum avec tout ces nouveaux sujets inutiles et qui ne prend même pas la peine de suivre les directives que l'on lui prodigue sur le fonctionnement de ce forum.

C'est bien ce que je te reproche de recopier bêtement. Il est mentionné dans ce numéro du RM, l'extraction de "terres rares glucine". La glucine étant le nom désuet de l'oxyde de Béryllium BeO. Il n'a jamais été mention de terres rares, d'où l'emploi de guillemets par l'auteur dans la phrase en question. Comme je disait, il ne risquait pas d'y avoir une exploitation de terres rares au tout début du 20ème et encore moins une extraction en prévision de la récupération de terres rares qui n'avaient à cette époque aucune applications. Je trouve que vu ton attitude sur ce post et tout tes autres sujets, pour un débutant, tu as un sacré toupet. Et je parle pas de débutant sur ce forum (car moi aussi je le suis) mais débutant dans la géologie et la minéralogie.

Alors pour le coup, j'aimerais bien que tu cite tes sources parce que la seule exploitation des pegmatites de Beauchaud date de Ferdinand Gonnard, et à l'époque il n'y avait pas de production de terres rares! Ensuite, tu sauras que dans l'industrie minière, on extrait pas de la roche en "vue de l'extraction de métaux ou éléments". Exploitation = Extraction de minerai (Perte d'argent) + Production Métal (Perte d'argent) + Vente de métal (Gain d'argent) d'où l'impossibilité d'extraire pour extraire sans valoriser le minerai!!! C'est exact. Il faut dire que la barytine étant un minéral hydrothermal des plus communs, il est difficile de trouver un contexte dans lequel elle ne peut pas se former

Pour moi le seul intérêt que je trouve à la barytine massive dans ma vie quotidienne, c'est d'être concassé pour lester des objets. Plus sérieusement, la barytine massive, on en sors des milliers de tonnes chaque jour des mines pour un nombre aussi important d'applications, si ça avait la même valeur que des béryls français de cette taille (pierre précieuse je rappelle), on arrêteraient de l'utiliser comme matière première minérale mais on le vendraient au poids comme pièce minéralogique!!! Et puis ça valeur, va surtout dépendre de sa localité aussi. C'est sur que de la barytine massive extraite de l'Etna (raisonnement par l'absurde) aura une valeur certaine contrairement à de la barytine massive d'une mine de Baryte/Fluorite.

Non mais sérieux, ça ne vaut rien de la barytine amorphe. Surtout que ce que tu présente dans ton autre post, n'est même pas de la matière amorphe, mais de la barytine massive. Ce qui tu point de vue minéralogie, n'a rien à voir, la barytine n'est certes pas individualisée en cristaux macro bien visibles, mais la structure cristalline est totalement ordonnée, ce n'est donc pas de la matière amorphe. Sinon de mon point de vue pour avoir lu tout tes posts, soit tu cherche à te lancer dans la vente de minéraux sans rien y connaitre, soit tu as une vision sacrément malsaine de la collection des minéraux, qui résonne systématiquement en terme de prix. Arrête de te positionner en une personne qui veut connaitre la rareté de ces pièces alors que tu n'est intéressé que par les prix parce que : RARETE et PRIX ne sont pas liés. Tout dépend du terme de rareté, des microminéraux qui ne se trouvent que sur une seule localité ne valent que quelques euros en comparaisons de cristaux macro de minéraux communs comme du quartz ou de la fluo qui peuvent se vendre quelques centaines d'euros. Ensuite, il y a aussi la notion de mode, ou le caractère historique d'une pièce, qui fait beaucoup jouer les prix.

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