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Bourse minéraux Sainte Marie aux Mines 2024, avec fossiles et gemmes.
Bourse minéraux et fossiles de Sainte Marie aux Mines (Alsace) - 26>30 juin 2024

Coup de gueule !


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Invité valanni
Je me fais avoir à chaque fois, c'est pas faute d'être attentif...

Donc, si je reprend, j'achète un "E", je ne peux guère aller plus loin.

Et là, et là? hein?

John-Bob tu es là ? je t'ai reconnu...

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Pas mieux je relance en case 18 et je revient en 508, ou 407 je ne me rappel plus! (tout ce que je me rappel c'est qu'il y a un B dans le haut)

et, c'est bien connu dans la marine : les B dans l'eau, ça fait des pulles !

En tout état de cause, c'est bien beau de nous rebattre le chou avec la soit-disant invention des frères Fauderche, c'est faire fi du doubledécajulitmètre de précision, version amméliorée 14/45, de Mc Dubebert ! Messieurs, je ne vous salue pas ! :sourire:

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Invité SPATHFLUO
En tout état de cause, c'est bien beau de nous rebattre le chou avec la soit-disant invention des frères Fauderche, c'est faire fi du doubledécajulitmètre de précision, version amméliorée 14/45, de Mc Dubebert ! Messieurs, je ne vous salue pas ! :lunettes soleil:

Je m'inscris en faux : le doubledécajulitmètre n'a pas été inventé par Mc Dubebert comme l'ont fait croire les journaux de l'époque ! En fait, il se raconte, dans les milieux autorisés, que Mc Dubebert filait le parfait amour avec sa concierge. Cette personne était une robuste normande qui laissait le pauvre homme quelque peu épuisé après leurs ébats à répétition. (Ce qui n'a d'ailleurs rien à voir avec le sujet qui nous occupe, car le doubledécajulitmètre aurait été inventé par les japonais au Xme siècle). Il était utilisé alors, dans sa version primitive, pour ébarber les baguettes de mikado lors de leur fabrication. Il était temps de lever le voile sur cette erreur de l'histoire.

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... Il était temps de lever le voile sur cette erreur de l'histoire...

Moi je crois surtout que tu cherches à remettre sur la table une affaire qui a fait l'objet d'un nombre incroyable de discussions dans Geo. Je croyais cette affaire classée, mais il semble qu'elle t'ait laissé un goût amer dans la bouche. C'est ce goût pour la polémique qui fait que sur Geo plus personne ne participe aux échanges sur le doubledécajulitmètre (à propos, doubledécajulitmètre prend un tiret ; on écrit : double-décajulitmètre ; encore une preuve que tu ne maîtrises pas le sujet), ou alors ils finissent toujours en pugilat.

Big

Triple-décajulitmètre

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Invité SPATHFLUO

Ah, pardon, pardon ! Le mot s’écrit bien en un seul tenant, et les puristes reconnaissent cette exception de la langue française.

On doit cette particularité à François Villon, qui, pour la première fois, parla de l’appareil qui est au centre de notre discussion dans la célèbre farce de Maître Pathelin :

"Par saint Jean, voire.

à la foire, gentil' marchande..."

vous déplaît-il si je marchande

un doubledécajulitmètre,

ou quelque autre suffrage

qui soit bon pour notre ménage ?".

Par la suite, l’usage courant a retenu cette orthographe, un peu choquante, certes, qui est l’apanage de certains mots français : dicotylédone, arbustif, crème de gruyère, panari.

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:grand sourire: C'est pas faux ! ( encore que certains aspects du probléme méritaient qu'on s'y penche un peu mieux)

E pericoloso sporgersi : " Et où c'est trop profond, laisse un peu mesurer les autres !" " Au nid soit qui mal y penche " nous dit Miguel Cervantès…

C'est cette pensée profonde que je vous invite à méditer céant ! Oh, céant mal séant… (et réciproquement)

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Bon eh bien ! J’ai longtemps hésité parce que c’est délicat. J’aime beaucoup Géoforum et son excellent niveau.

Alors je ne sais pas comment dire…

Mais là vraiment ca dérape et je dois vous dire franchement que ca tombe bas, très bas. Mais que font les modos ? Ils cuvent le jaune ou quoi ?

Ce qui a été écrit ici au sujet du doubledécajulitmètre est lamentablement faux, fantaisiste et mal documenté.

Soucieux de rétablir la vérité historique, hic et nunc et hips, j’affirme, sans aucune vraie modestie ni fausse fierté, que voici la véritable histoire du doubledécajulitmètre.

Il fut inventé au Vème siècle dans l’abbaye de Serluidon sur Doubledoze située dans l’Hertogenwald occidental, ce qui n’a aucune importance en soi, par le Père Nod, moine originaire du sud de la France. Un homme petit par la taille mais grand par la soif. Comme il était trapu on l’avait surnommé « trappiste », déformation du mot due au fait que les moines de l’abbaye parlaient le germano-wallon ancien du sud-est d’Aix-la-Chapelle.

Ah donc ce brave moine, toujours déshydraté, et on connaît bien les risques encourus en cas de déshydratation, avait, parcequ'il le valait bien, inventé une cervoise d’un concept nouveau rapidement imitée, jamais égalée, dans bien des abbayes où elles reçurent le nom de « bières trappistes » en hommage à l’inventeur.

En ce temps la conservation des cervoises traditionnelles posait de sérieux problèmes, ces breuvages vieillissant mal (pour autant qu’ils en aient eut le temps). Chercheur, développeur et consommateur délicat et averti le Père Nod (après un stage chez les Bénédictines, dont la chronique est jalousement conservée depuis dans les archives les plus secrètes et coquines du Vatican, mais cela nous éloigne du sujet) développa le décajulitmètre.

Décajulimètre : qu’est-ce à dire ? « Julit » du germano-wallon ancien (du sud-est d’Aix-la-Chapelle faut-il le rappeler aux Géoforumeurs avertis qui, en valant dès lors deux, saisiront toutes l’importance du contexte) signifiant « jus », « breuvage » (le linguiste attentif qui sommeille en tout Géoforumeur y retrouve d’ailleurs la racine de « juice » et de « Jutland », le pays des jus de fruits). « Déca » du latin « decem » exprimant la mesure mais aussi la puissance et l’ampleur (d’où : « des forces décuplées ») mais aussi et surtout la durée (décennies, crue décennale, cuite décennale,…). « Mètre » du grec « metron » = mesure ; rien à dire restons mesurés.

Le décajulitmètre est donc l’appareil qui servait à mesurer à la fois le degré d’alcool d’une cervoise trappiste et de prévoir sa durée de conservation.

Le secret de cette invention inestimable fut jalousement conservé au plus profond des abbayes, le brevet se transmettant oralement et exclusivement de père en fils entre les moines abbés. C’est durant les troubles de la guerre de 100 ans que le secret fut perdu. Ou sembla être perdu.

C’est au Japon qu’il réapparu comme le signale un Géoforumeur pas trop mal, quoique partiellement, informé.

Mais comment cet appareil miraculeux parvint-il au Japon ? Marco-Polo, qui avait une bonne descente, ne voyageait jamais sans. C’est en tentant d’ouvrir un four à cristaux dans la passe de Kun Lun qu’il perdit le précieux appareil qui tombé de sa poche glissa au plus profond d’un ravin. Perdu à jamais ? Non un moine tibétain (coincidence ?), paillard et défroqué, l’emmena au Japon où, ne sachant qu’en faire, il le vendit pour un bol de riz. Des spécialistes du Saké trouvèrent le mode de fonctionnement et l’adaptèrent au saké. Le saké ayant une importance stratégique, en raison de son rôle essentiel pour la motivation des kamikaze, les services secrets japonais répandirent le bruit que cet appareil servait à la finition des baguettes de mikado. Panneau grossier dans lequel est tombé notre ami Spathfluo ! Par contre il a raison : pas de tiret !

Mais alors me direz-vous (et surtout vous !) le doubledécajulitmètre de Mc Dubebert ? C’est d’une triste banalité ; lors d’une visite bien arrosée de cave de saké cet infâme individu a dérobé l’exemplaire unique de cet appareil remarquable. Ne parvenant pas à en saisir l’usage il chercha cependant à se faire mousser, comme une trappiste, en rajoutant le « double » pour se donner de l’importance. Triste banalité ? Quoique ! Quelques mois plus tard c’était la Mer de Corail et puis Midway, comme quoi…Sans le savoir Mc Dudebert avait fait tourner le vent ! Divin non ?

A noter que l’abbaye de Serluidon sur Doubledoze a disparu depuis belle lurette mais qu’elle a donné, in illo tempore, naissance à une Université, qui porte son nom et fonctionne toujours dans le bassin de Lutèce, avec beaucoup de liberté. La vidange d’amphores étant une de ses activités favorites.

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On saisit, d'ailleurs, toute l'opportunité de l'emploi du doubledécajulitmètre de précision version améliorée 14/45, lorsque l'on sait que le bouchon des amphores ne sert qu'une fois (comme l'amphore elle-même, sauf si certaines de ses parties sont recyclées pour d'autres usages plus ou moins glorieux - voyez ce que l'on en disait chez la "Bonne Dame de Nohant ").

Le bouchon, comme son nom l'indique assez clairement, ne sert qu'à boucher ! Pour vider une amphore et en écluser le contenu, il était d'usage d'en rompre le cul ; usage qui se perpétue, avec un renouveau certain depuis que - tiens, encore un moine soiffard ! - Dom Pérignon acheva de mettre au point une boisson gazeuse fermentée - tiens, encore une ! - initiée en Grande-Bretagne - (commentaire censuré) ! - c'est tellement plus simple et surtout plus rapide !

" Ô tempora ! Ô mores ! " certes, mais " Tempora mutentur et in vino veritas ! ". Véritas qui, d'ailleurs, vérifie régulièrement l'étalonnage de l'unique doubledécajulitmètre de précision version améliorée 14/45 encore en usage, comme le précise mon très éminent confrère Jph, dans les laboratoires et les salles de travaux pratiques et appliqués de l'Université Serluidon sur Doubledoze de Lutèce.

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Invité valanni
Bon eh bien ! J’ai longtemps hésité parce que c’est délicat. J’aime beaucoup Géoforum et son excellent niveau.

Alors je ne sais pas comment dire…

Mais là vraiment ca dérape et je dois vous dire franchement que ca tombe bas, très bas. Mais que font les modos ? Ils cuvent le jaune ou quoi ?

Ce qui a été écrit ici au sujet du doubledécajulitmètre est lamentablement faux, fantaisiste et mal documenté.

Soucieux de rétablir la vérité historique, hic et nunc et hips, j’affirme, sans aucune vraie modestie ni fausse fierté, que voici la véritable histoire du doubledécajulitmètre.

Il fut inventé au Vème siècle dans l’abbaye de Serluidon sur Doubledoze située dans l’Hertogenwald occidental, ce qui n’a aucune importance en soi, par le Père Nod, moine originaire du sud de la France. Un homme petit par la taille mais grand par la soif. Comme il était trapu on l’avait surnommé « trappiste », déformation du mot due au fait que les moines de l’abbaye parlaient le germano-wallon ancien du sud-est d’Aix-la-Chapelle.

Ah donc ce brave moine, toujours déshydraté, et on connaît bien les risques encourus en cas de déshydratation, avait, parcequ'il le valait bien, inventé une cervoise d’un concept nouveau rapidement imitée, jamais égalée, dans bien des abbayes où elles reçurent le nom de « bières trappistes » en hommage à l’inventeur.

En ce temps la conservation des cervoises traditionnelles posait de sérieux problèmes, ces breuvages vieillissant mal (pour autant qu’ils en aient eut le temps). Chercheur, développeur et consommateur délicat et averti le Père Nod (après un stage chez les Bénédictines, dont la chronique est jalousement conservée depuis dans les archives les plus secrètes et coquines du Vatican, mais cela nous éloigne du sujet) développa le décajulitmètre.

Décajulimètre : qu’est-ce à dire ? « Julit » du germano-wallon ancien (du sud-est d’Aix-la-Chapelle faut-il le rappeler aux Géoforumeurs avertis qui, en valant dès lors deux, saisiront toutes l’importance du contexte) signifiant « jus », « breuvage » (le linguiste attentif qui sommeille en tout Géoforumeur y retrouve d’ailleurs la racine de « juice » et de « Jutland », le pays des jus de fruits). « Déca » du latin « decem » exprimant la mesure mais aussi la puissance et l’ampleur (d’où : « des forces décuplées ») mais aussi et surtout la durée (décennies, crue décennale, cuite décennale,…). « Mètre » du grec « metron » = mesure ; rien à dire restons mesurés.

Le décajulitmètre est donc l’appareil qui servait à mesurer à la fois le degré d’alcool d’une cervoise trappiste et de prévoir sa durée de conservation.

Le secret de cette invention inestimable fut jalousement conservé au plus profond des abbayes, le brevet se transmettant oralement et exclusivement de père en fils entre les moines abbés. C’est durant les troubles de la guerre de 100 ans que le secret fut perdu. Ou sembla être perdu.

C’est au Japon qu’il réapparu comme le signale un Géoforumeur pas trop mal, quoique partiellement, informé.

Mais comment cet appareil miraculeux parvint-il au Japon ? Marco-Polo, qui avait une bonne descente, ne voyageait jamais sans. C’est en tentant d’ouvrir un four à cristaux dans la passe de Kun Lun qu’il perdit le précieux appareil qui tombé de sa poche glissa au plus profond d’un ravin. Perdu à jamais ? Non un moine tibétain (coincidence ?), paillard et défroqué, l’emmena au Japon où, ne sachant qu’en faire, il le vendit pour un bol de riz. Des spécialistes du Saké trouvèrent le mode de fonctionnement et l’adaptèrent au saké. Le saké ayant une importance stratégique, en raison de son rôle essentiel pour la motivation des kamikaze, les services secrets japonais répandirent le bruit que cet appareil servait à la finition des baguettes de mikado. Panneau grossier dans lequel est tombé notre ami Spathfluo ! Par contre il a raison : pas de tiret !

Mais alors me direz-vous (et surtout vous !) le doubledécajulitmètre de Mc Dubebert ? C’est d’une triste banalité ; lors d’une visite bien arrosée de cave de saké cet infâme individu a dérobé l’exemplaire unique de cet appareil remarquable. Ne parvenant pas à en saisir l’usage il chercha cependant à se faire mousser, comme une trappiste, en rajoutant le « double » pour se donner de l’importance. Triste banalité ? Quoique ! Quelques mois plus tard c’était la Mer de Corail et puis Midway, comme quoi…Sans le savoir Mc Dudebert avait fait tourner le vent ! Divin non ?

A noter que l’abbaye de Serluidon sur Doubledoze a disparu depuis belle lurette mais qu’elle a donné, in illo tempore, naissance à une Université, qui porte son nom et fonctionne toujours dans le bassin de Lutèce, avec beaucoup de liberté. La vidange d’amphores étant une de ses activités favorites.

Donc on pourrait penser. avec toutes ces précisions , que les kamikaze trempaient leurs mikado dans le saké avant de s'envoyer en l'air :coucou!:

le doubledécajulitmètre est donc l'ancêtre de l'éthylotest... :sourire:

waooo

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" les kamikaze trempaient leurs mikado dans le saké avant de s'envoyer en l'air

le doubledécajulitmètre est donc l'ancêtre de l'éthylotest... " Je n'irais pas jusqu'à affirmer cela, mais je pense que l'on peut dire " le doubledécajulitmètre serait donc l'ancêtre de l'éthylotest... ". Mais on lui connaît, comme son nom l'indique, bien d'autres applications ! (dont certaines restent à découvrir…)

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" les kamikaze trempaient leurs mikado dans le saké avant de s'envoyer en l'air

le doubledécajulitmètre est donc l'ancêtre de l'éthylotest... " Je n'irais pas jusqu'à affirmer cela, mais je pense que l'on peut dire " le doubledécajulitmètre serait donc l'ancêtre de l'éthylotest... ". Mais on lui connaît, comme son nom l'indique, bien d'autres applications ! (dont certaines restent à découvrir…)

Et moi qui croyait depuis le debut que c'etait du café pas trop fort ....? :coucou!:

Serge

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Invité valanni

oui mais bon là on commence à chipoter :duel: , quelqu'un aurait une photo de l'objet en question ? juste pour remettre les points sur les i, et ne pas se laisser tromper sur la marchandise, avant que nos amis du soleil levant ne le récupère et ne le produise en grand nombre :desole:

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Invité SPATHFLUO

Ah, jph, jph, tu es tombé dans le panneau ! Et comme bon nombre de plébéiens, tu as pris pour argent comptant les affirmations délirantes publiées en 1895 dans L'assiette au beurre. Tu n'as rien à te reprocher, cette divagation de fausses nouvelles avait été mise en place par le gouvernement de l'époque pour créer une diversion, et enrayer la montée croissante de l'usage du doubledécajulitmètre à des fins guerrières. Il était prouvé que, dans son usage premier, la finition des baguettes de mikado, l'appareil ne présentait pas de danger. Mais un jeune anarchiste, Jules Daez (l'arrière-grand'père du Daez qui sévit aujourd'hui sur les ondes) eut l'idée, par l'adjonction de deux zigatrons latéraux, et l'alésage de la plume de paon centrale, de le transformer en une arme redoutable. L'ennui majeur était le temps passé à peindre à la main les anneaux de couleur sur les baguettes de mikado utilisées par les belligérants. L'usage du doubledécajulitmètre à des fins guerrières fut donc progressivement abandonné, mais sa production ne s'arrêta pas là : en effet, nombre de chercheurs trouvèrent de nouvelles utilisations à cet appareil, un peu à l'image du trombone, qui, à l'origine instrument de musique, sert aujourd'hui à trombonner le bois.

On peut voir encore à Saint-Claude, dans le Jura, les restes de la fabrique de doubledécajulitmètres, qui, de 1900 à la fin des années 60, produisit la bagatelle de quelques millions de cet appareil, car son usage comme jeu de société connaissait à cet époque un succès sans précédent. On compte en France quelques clubs qui pratiquent encore ce divertissement. (Voir article de presse).

Un autre emploi du doubledécajulitmètre : régulateur de chauffe dans l'industrie nucléaire. L'usage en a été interdit à la suite de quelques problèmes, dus à la difficulté de boucher correctement les orifices de l'appareil, ce qui provoquait des fuites d'huile, rendant dangereuse la marche des employés sur les barres de matière fissile.

Par la suite, divers usages furent trouvés pour cet appareil, dont la composition, à 85% en bois de racine de fraisier, a permis une conservation dans d'excellentes conditions. Entre autres : bac à fleur ; tire-bouchon (usage restreint, du fait de l'empattement de l'appareil) ; support de partition pour clarinettiste ; vase de nuit ; calculette. Des amoureux de cet appareil ont formé une fédération, et s'occupent aujourd'hui de garder sa mémoire. Des expositions ont lieu, des bourses d'échanges également.

Voici la vraie histoire du doubledécajulitmètre. Sources : Littré ; Guignol ; L'indépendant de La Pioule-sur-Cèze ; Spirou ; Ancien testament.

post-5300-1285660198_thumb.jpg

PS : Il est à noter que l'allusion faite au doubledécajulitmètre dans un numéro de l'Aviso de Janvier 1609 ne concerne pas l'appareil, mais évoque le nom du caniche de Marie de Médicis.

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A Papyfred qui a écrit: "Mais on lui connaît, comme son nom l'indique, bien d'autres applications ! (dont certaines restent à découvrir…) " j'attire ton attention sur le passage suivant de mes révélations au sujet du doubledécajulitmètre: "Chercheur, développeur et consommateur délicat et averti le Père Nod (après un stage chez les Bénédictines, dont la chronique est jalousement conservée depuis dans les archives les plus secrètes et coquines du Vatican, mais cela nous éloigne du sujet) développa le décajulitmètre." Tout est dit le Père Nod était aussi un brillant contrepèteur!

Bonne journée,

jph

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