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Bourse minéraux et fossiles de Sainte Marie aux Mines (Alsace) - 25>29 juin 2025

elparigot

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Tout ce qui a été posté par elparigot

  1. 1) concernant le tournevis "à bec d'oiseau", j'avais trouvé le mien chez Auchan (un cadeau de ma femme). Je l'ai laissé avec une massette au fond d'une cristallière de l'Oisans (j'espère qu'il y est toujours ) 2) concernant le poids du pied de biche, à Munich, un exposant en vendait faits en titane (c'est parti comme des petits pains)
  2. pas certain que l'acide soit une bonne idée pour nettoyer des hémimorphites (je suis même plutôt convaincu du contraire)
  3. + 1 pour Lozère
  4. Tout cela est bien trop "calé" pour moi. Par contre je ne comprend pas la remarque concernant les contextes de type magma : dans ce cas là on se trouve dans un milieu fermé avec essentiellement des cristaux qui seront "inclus" dans la roche et constitué des ions immédiatement disponibles dans l'environnement immédiat ?
  5. Il me semble que dans vos réflexions, il manque un paramètre important qui est le "débit". Il ne faut pas voir le milieu dans lequel les cristaux ont "poussé" comme un milieu fermé mais plutôt comme un milieu "ouvert" dans lequel les fluides circulent. Ces fluides contiennent des éléments plus ou moins concentrés et plus ou moins stables en fonctions des conditions P/T mais au final la vitesse de croissance dépendra en très grande partie du débit avec lequel les fluides minéralisateurs vont circuler (débits malheureusement impossibles à déterminer car dépendant trop de conditions locales). Je crois qu'un bon exemple pour illustrer cela est la vitesses de croissance des stalactites dans une grotte. Au final, l'apport en Ca++ se fait par l'eau qui circule. La vitesse de croissance de la concrétion sera au final pour la plus grande part proportionnel au débit (la goutte d'eau que l'on observe à la pointe de la concrétion) en eau dont bénéficie la concrétion. Pour une même grotte, ces débits (donc ces vitesses de croissance) sont très différents d'un point à un autre de la même grotte.
  6. Merci frangin. Venant de toi, ça fait plaisir. (je pense que c'est peut-être lié au fait que vous avez une solide expérience de gestion de musée)
  7. Tout le monde s’accorde, à juste titre, pour reconnaître que la collection de Mr G. E. est tout à fait exceptionnelle et que les spécimens qui la composent appartiennent à notre patrimoine. J’adhère toutefois beaucoup moins à la notion de « patrimoine national » (avec par ailleurs toutes les connotations que cela peut laisser imaginer) mentionnés par beaucoup d’entre vous. S’agissant d’échantillons minéralogiques (faisant donc pour une large part abstraction de tout élément « culturel » propre à un pays donné), ces échantillons exceptionnels me semblent davantage relever de notre patrimoine mondial. Si j’apprécie beaucoup et possède certains spécimens de gisements situés à l’étranger, je ne suis pas opposé (bien au contraire) à ce que des collectionneurs ou musées étrangers apprécient, possèdent et exposent des spécimens provenant de gisements situés en France. Ceci étant posé, il me semble qu’une vraie question concerne la protection dans la durée de ces éléments de notre patrimoine mondial. De ce point de vue, je crois que le fait de les mettre dans le circuit des grandes collections privées (avec leur cycle de ventes/ reventes) est plus à même de garantir leur bonne conservation dans la durée que leur « transfert » dans un « grand musée français », qui parfois, faute de moyens « prend l’eau », et pourrait se révéler moins à même de les conserver dans des conditions satisfaisantes ou (pire ?)dans une « nouvelle structure » dont la pérennité est loin d’être garantie (qui n’a jamais entendu parler de musées plus ou moins «locaux » ayant tout simplement « disparus » (avec leurs collections). C’est peut-être triste à reconnaître, mais pour ce qui relève de la conservation des échantillons, je pense que ces échantillons seront souvent mieux préservés chez des collectionneurs privés qui auront dépensés 1000 ou 10.000 dollars pour se les procurer (et dont la problèmatique est de conserver quelques centaines d’échantillons) que dans un « grand musée national » aux moyens financiers plus limités et aux collections parfois « gigantesques »(avec ce que cela implique sur les conditions de conservation). L’autre question importante concerne l’accès du public à ce patrimoine, là encore, il faut être réaliste. De mon point de vue, vous avez plus de chances (même si elles restent très faibles) de revoir ces échantillons s’ils sont intégrés à de grandes collections privées (articles LRM, Mineralogical Record, Lapis, catalogues, expositions de prestige à SMAM, TUCSON,…) que si elles rejoignent les réserves de nos musées qui n’auront très probablement pas les moyens de les exposer : pensez vous réellement que si un des trois musées parisiens avait acheté la collection, des travaux d’agrandissement du musée et de création de nouvelles vitrines « collection G. E.) auraient eu lieu ? la réponse me paraît malheureusement évidente. Au final, je crois que le plus important est que ces échantillons soient identifiés comme faisant partie de notre patrimoine mondial (et à ce titre le rôle de Mr G. E. aura été déterminant !) et qu’ils trouvent un lieu d’accueil garantissant leur conservation.
  8. sympas les "diamants d'Alençon" sur gangue !!!
  9. absolument sublime !
  10. Ce n'est pas le même principe que pour les "galènes tricotées" des Malines ?
  11. Mes remarques pour faire avancer le jeu : J'ai trouvé chez c.......a des tubes pas trop chers. avantages : lumière de type "lumière du jour", assez compacts donc facile à cacher, ne dégagent que très peu de chaleur (on peut laisser la lumière très longtemps sans risques pour les cristaux, les tubes de rechange se trouvent assez facilement. inconvénients : il faut attendre un peu avant d'avoir la pleine luminosité, la "lumière du jour" peut paraître "blafarde" aux yeux de certains . Autre suggestion : au final, j'ai trouvé qu'il valait mieux avoir des étagères en bois avec un rampe d'éclairage pour chaque (facile à fixer du coup) que des spots sensés éclairer une étagère au travers d'une autre étagère vitrée pleine de cailloux. Au final : en quoi est-ce intéressant de poser ses échantillons sur une vitre (qui se raye et peut se casser...) plutôt que sur un fond en bois ou autre ?
  12. quelques photos d'une galène fondue de Roumanie. Les boules de sidérite (que je vois "verdâtres" mais il est vrai que je suis un peu daltonien) me paraissent bien correspondre à l'échantillon de Lionel
  13. Pour moi cela ressemble plutôt à du roumain : - à Trepca, la galène fondue est le plus souvent recouvert d'autres mnx (blende) et est bien souvent peu apparente - les "petits machins verdâtres" en bas ne me paraissent pas correspondre à la paragénèse de Trepca alors que cela colle bien avec du roumain - voir photo que j'avais publié dans le "post à galène" en tout cas une pièce bien sympa
  14. toutes mes excuses aux personnes que j'ai pu froisser. c'est vrai que je suis bien content de voir des photos de super-reportages et de specimens intéressant et qu'il ne faut pas décourager les (trop rares) bonnes volontés.
  15. renversant ! excusez-moi mais je n'ai pas pu résister ...
  16. Pour ma part, j'ai trouvé que l'acide phosphorique rendait ternes les faces brillantes de fluo (de Berbes). Donc prudence (essai préalable, ne pas les laisser plus longtemps que nécessaire,...) !!! A ta place, j'essaierai plutôt le dithionite (en solution tampon). Par contre, j'imagine mal que cela puisse les rendre "pierreuses" si elles ne le sont pas déjà
  17. un grand merci-bravo pour ce super reportage ! on s'y croirait !
  18. Tout à fait d'accord avec Lionel. Il s'agit très vraisemblablement d'un monocristal "zoné" (avec seulement deux couleurs) clivé selon le plan de clivage de l'octaèdre. Cela se voit très couramment sur les fluos de Berbes qui sont particulièrement bien zonées (alternances de violet sombre et d'incolore).
  19. la présence de fluorite me fait plutôt penser aux gisements mexicains...
  20. à ta place, j'essaierai plutôt l'hexamétaphosphate (? je donne le nom de mémoire) vendu par D. Gol....
  21. à mon avis tu ne pourra pas enlever la couche d'oxydation qui est trop profonde. Le mieux est de la laisser en l'état. belle trouvaille en tout cas
  22. Bravo ! Tu n'as pas chômé ces derniers jours !!!
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