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Bourse minéraux Sainte Marie aux Mines 2025, avec fossiles et gemmes.
Bourse minéraux et fossiles de Sainte Marie aux Mines (Alsace) - 25>29 juin 2025

Dieu

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Tout ce qui a été posté par Dieu

  1. J'aurais dû être plus précis. Ce ne sont pas les annélides, les bryozoaires ou les traces de crustacés dont je ne connais pas le nom spécifique, mais les traces présentes sur le dernier rostre présenté. J'ai de la documentation sur des traces semblables du crétacé supérieur, mais elles diffèrent tout de même beaucoup, nous sommes ici dans le crétacé inférieur. Je n'ai pas fait de recherches encore. Concernant les traces de morsures, j'en ai d'innombrables.
  2. Duvalia dilatata, spécimen juvénile, 1,5cm.
  3. Cirripèdes, annélides et bryozoaires sur rostre de bélemnite. Une trace de morsure. Ici, un cocktail beaucoup plus atypique. Je ne connais pas encore le nom précis de ces organismes attribués à cette époque, si quelqu'un a des connaissances spécifiques, elles sont les bienvenues.
  4. Duvalia emerici pour la lettre A. Pour la lettre B également, c'est un fragment d'un individu de plus jeune âge. C'est plus délicat de définir avec certitude pour la lettre C, un fragment cylindrique peut correspondre à différentes espèces. Pour la lettre D, partie supérieure de rostres du genre Castellanibelus probable. Pour la lettre E, Duvalia binervia. Sur la deuxième photo présentée sur le sujet, il me semble apercevoir tout en haut à gauche au dessus des ammonites, la partie supérieure d'un rostre de l'espèce Pseudobelus bipartitus et il y a peut être des fragments d'autres espèces.
  5. Concernant les bélemnites, les espèces présentes ici sont: Duvalia emerici, Duvalia binervia, Castellanibelus et Pseudobelus bipartitus.
  6. Oui Fred, il y en a un peu partout en France et j'ai remarqué qu'elles sont particulièrement magnifiques par leur morphologie et leur couleur dans le secteur où je vis. Elles ont tendance à apprécier tout le confort et la sécurité de l'intérieur d'une habitation en pleine campagne. Chaque année, j'en ai plusieurs qui viennent s'installer chez moi vers la fin du printemps, début de l'été. Elles sont totalement inoffensives et ne produisent pas de toiles, ce sont des chasseuses. La femelle se laisse facilement approcher, elle est toute mignonne. Le mâle est beaucoup plus vif et réactif, il se laisse moins approcher de près. Il ne bouge pas et prend la fuite très rapidement. Ils se distinguent très facilement. La femelle: Le mâle: Les organes de cette espèce sont translucides, il est possible d'observer en plein soleil le coeur qui bat.
  7. Micrommate émeraude. C'est ma chérie.
  8. Dieu

    Grosse coquine à identifier.

    Jean-François, toutes les personnes qui ont de l'expérience des terrains infra-crétacés du sud-est de la France savent que la présence de glauconie peut être un indicateur stratigraphique dans certaines localités.
  9. Dieu

    Grosse coquine à identifier.

    Je ne l'ai pas précisé en présentation, mais l'origine barrémienne du nautile est la moins probable. Il est très peu probable que ce spécimen soit arrivé dans cet état de conservation à l'endroit où je l'ai trouvé. L'origine la plus probable est celle du valanginien terminal/hauterivien basal où la concentration de glauconie dans le calcaire est plus importante. Le lieu de trouvaille est dans le bas de la pente directe provenant de ces couches, dans le ravin. En tout cas, merci pour ton point de vue, je ne ferme aucune porte, aucune éventualité d'origine.
  10. Dieu

    Grosse coquine à identifier.

    Et éternel. Sur le site du MNHN, il y a un spécimen figuré qui correspond en apparence mais pas du tout pour la taille et qui concerne l'époque hauterivienne. Il s'agit de Nautilus pseudoelegans. Ce spécimen figuré pourrait donc être une forme juvénile. Mais pour cette même appellation, plusieurs espèces très différentes en apparence et par la taille sont présentées, il y en a 4 figurées et qui ne proviennent pas du bassin Vocontien. Le bordel habituel dans les archives du MNHN sans la moindre révision.
  11. Dieu

    Grosse coquine à identifier.

    Oui Jean-François merci, je vois bien. Mais est-ce que tu as vu la moindre information permettant d'identifier ce nautile dans tous ces liens? Non seulement je connais déjà la plupart des éléments que tu me transmets, mais si en plus ça ne fait rien avancer. Si tu cherches à identifier quelque chose et que je te mets 30 liens, soit 8h30 de lecture que tu connais déjà pour arriver nulle part. L'intention est bonne mais sans aucun résultat, c'est pour ça que je dis que tu es mignon.
  12. Dieu

    Grosse coquine à identifier.

    Jean-François tu es mignon, je connais déjà bien ces sites mis en lien pour en avoir corrigé quelques pages . J'ai consulté le plus complet en matière d'ammonites par étage géologique avant de publier les photos du nautile. J'ai également consulté de nombreuses pages sur les nautiles référencés sur le site du MNHN. Il n'y a rien qui correspond.
  13. Dieu

    Grosse coquine à identifier.

    Le genre Cymatoceras ne semble pas correspondre à l'exception de Cymatoceras elegans sur la base de la photo de présentation wikipédia. Sauf que la plupart des spécimens de cette espèce qui sont présentés sur internet, ne correspondent pas à la photo de présentation wikipédia. De plus, le genre Cymatoceras est signalé au jurassique supérieur et au crétacé supérieur à l'exception de la Caucase où il est signalé dans l'hauterivien. Les spécimens nautiles qui correspondent en apparence ne sont pas référencés à la même période. Le seul spécimen que j'ai trouvé en photo qui se rapproche par la taille, l'apparence et qui correspond à la même époque est nommé: nautile indéterminé.
  14. Dieu

    Grosse coquine à identifier.

    Le titre humoristique est volontaire Jean-François, alors comme ça tu passes ton tour? Ca alors...
  15. Dieu

    Grosse coquine à identifier.

    Là, je pense qu'il s'agit plutôt d'un squatteur de la famille des annélides.
  16. Trouvée cet après midi dans un ravin alimenté par la sédimentation du valanginien, de l'hauterivien et du barrémien, ce qui ressemble franchement à un nautile de grande taille, 17 cm environ de longueur.
  17. Il y a presque toujours des incrustations calcaires avec ce type de cristallisation, les tests risquent de ne pas être concluants, sauf effectués avec rigueur sous contrôle d'huissier. Beekite, calcédoine à 99,999% sûr.
  18. Non Jean-François, là tu inverses la charge de la preuve, c'est toi qui affirme qu'il ne s'agit pas de beekite. Donc quelles sont les preuves qui te permettent d'être affirmatif ? Je te signale que tu es le premier à demander des explications aux autres lorsque des propos te semblent erronés. Alors pourquoi voudrais tu tout à coup échapper à tes propres principes ? Les fossiles que j'ai présenté sont gros, pas du tout micro et correspondent à la cristallisation qui me semble en adéquation avec la cristallisation présentée ici. Serais-tu dans l'impossibilité de prouver ton affirmation Jean-François ? Tu sèches?
  19. Ce qui serait bien Jean-François, c'est que tu commences par expliquer ça:
  20. La forme cristalline n'est pas forcément liée à la forme du fossile mais le plus souvent dans le cas de ces cercles concentriques, à la diagénèse. La forme cristalline est identique quelque soit le fossile concerné.
  21. Cette cristallisation me fait d'avantage penser à de la calcédoine d'origine fossile.
  22. Une Gryph quelque peu picorée par des crustacés.
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