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Dieu

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Tout ce qui a été posté par Dieu

  1. Aragonite, pas calcite. Vous en avez mis du temps à réagir, j'ai rigolé toute la nuit.
  2. Non Fred, tu peux faire confiance aux personnes d'expérience qui ont de l'expertise. A gauche du phragmocone, tu peux observer une succession de couches qui forment une bande d'agate au milieu de la calcédoine. L'intérieur des bélemnites que j'ai présenté est cristallisé de cette façon, avec cette succession de couches circulaires qui forment le rostre. Ce n'est pas le cas partout, les rostres peuvent être entièrement constitués de calcédoine ou de mélanges. Agate: Calcédoine :
  3. Quelle débutante cette gryph! Sur cette photo, une bande siliceuse cristallisée en agate au milieu de la calcédoine.
  4. Agate.
  5. La question que je me pose: quel a été le temps nécessaire pour la formation de ce gypse?
  6. Bélemnite agatisée.
  7. Cristallisation de gypse sur fossile pyritisé.
  8. Bélemnite sicyoïde, spécimen juvénile, 1,9 cm.
  9. La forme n'est pas la même de toute évidence. Ce prédateur spécifique est inexistant à l'étage où le rostre que je présente est prélevé. A chaque époque ses prédateurs, à chaque prédateur ses propres dents et pour chaques dents ses propres traces occasionnées. En général lors d'une morsure, il y a une trace de ripage. C'est précisément parceque j'ai d'innombrables traces de morsures avec un ripage d'un côté et une accroche de l'autre, que je peux savoir au premier coup d'œil si j'ai à faire à une morsure ou pas, depuis le temps que je rencontre ces traces.
  10. Pour résumer, j'ai présenté des traces d'annélides, de bryozoaires, de cirripèdes et une morsure, ces ichnofossiles visibles à l'œil nu sont les plus fréquents dans le crétacé inférieur. J'ai ensuite présenté des traces d'organismes moins fréquents, dont je ne connais pas le nom pour cet étage géologique. L'appel à l'éventuelle connaissance d'autrui ne concerne que les traces sur ce troisième rostre, je pensais que c'était explicite dans ma première publication. La question de la silicification ne se pose même pas, ces rostres sont bien évidemment silicifiés.
  11. Comme pour les enfants, j'ai mis des flèches. Ça va là? Ou j'en rajoute ?
  12. J'aurais dû être plus précis. Ce ne sont pas les annélides, les bryozoaires ou les traces de crustacés dont je ne connais pas le nom spécifique, mais les traces présentes sur le dernier rostre présenté. J'ai de la documentation sur des traces semblables du crétacé supérieur, mais elles diffèrent tout de même beaucoup, nous sommes ici dans le crétacé inférieur. Je n'ai pas fait de recherches encore. Concernant les traces de morsures, j'en ai d'innombrables.
  13. Duvalia dilatata, spécimen juvénile, 1,5cm.
  14. Cirripèdes, annélides et bryozoaires sur rostre de bélemnite. Une trace de morsure. Ici, un cocktail beaucoup plus atypique. Je ne connais pas encore le nom précis de ces organismes attribués à cette époque, si quelqu'un a des connaissances spécifiques, elles sont les bienvenues.
  15. Duvalia emerici pour la lettre A. Pour la lettre B également, c'est un fragment d'un individu de plus jeune âge. C'est plus délicat de définir avec certitude pour la lettre C, un fragment cylindrique peut correspondre à différentes espèces. Pour la lettre D, partie supérieure de rostres du genre Castellanibelus probable. Pour la lettre E, Duvalia binervia. Sur la deuxième photo présentée sur le sujet, il me semble apercevoir tout en haut à gauche au dessus des ammonites, la partie supérieure d'un rostre de l'espèce Pseudobelus bipartitus et il y a peut être des fragments d'autres espèces.
  16. Concernant les bélemnites, les espèces présentes ici sont: Duvalia emerici, Duvalia binervia, Castellanibelus et Pseudobelus bipartitus.
  17. Oui Fred, il y en a un peu partout en France et j'ai remarqué qu'elles sont particulièrement magnifiques par leur morphologie et leur couleur dans le secteur où je vis. Elles ont tendance à apprécier tout le confort et la sécurité de l'intérieur d'une habitation en pleine campagne. Chaque année, j'en ai plusieurs qui viennent s'installer chez moi vers la fin du printemps, début de l'été. Elles sont totalement inoffensives et ne produisent pas de toiles, ce sont des chasseuses. La femelle se laisse facilement approcher, elle est toute mignonne. Le mâle est beaucoup plus vif et réactif, il se laisse moins approcher de près. Il ne bouge pas et prend la fuite très rapidement. Ils se distinguent très facilement. La femelle: Le mâle: Les organes de cette espèce sont translucides, il est possible d'observer en plein soleil le coeur qui bat.
  18. Micrommate émeraude. C'est ma chérie.
  19. Dieu

    Grosse coquine à identifier.

    Jean-François, toutes les personnes qui ont de l'expérience des terrains infra-crétacés du sud-est de la France savent que la présence de glauconie peut être un indicateur stratigraphique dans certaines localités.
  20. Dieu

    Grosse coquine à identifier.

    Je ne l'ai pas précisé en présentation, mais l'origine barrémienne du nautile est la moins probable. Il est très peu probable que ce spécimen soit arrivé dans cet état de conservation à l'endroit où je l'ai trouvé. L'origine la plus probable est celle du valanginien terminal/hauterivien basal où la concentration de glauconie dans le calcaire est plus importante. Le lieu de trouvaille est dans le bas de la pente directe provenant de ces couches, dans le ravin. En tout cas, merci pour ton point de vue, je ne ferme aucune porte, aucune éventualité d'origine.
  21. Dieu

    Grosse coquine à identifier.

    Et éternel. Sur le site du MNHN, il y a un spécimen figuré qui correspond en apparence mais pas du tout pour la taille et qui concerne l'époque hauterivienne. Il s'agit de Nautilus pseudoelegans. Ce spécimen figuré pourrait donc être une forme juvénile. Mais pour cette même appellation, plusieurs espèces très différentes en apparence et par la taille sont présentées, il y en a 4 figurées et qui ne proviennent pas du bassin Vocontien. Le bordel habituel dans les archives du MNHN sans la moindre révision.
  22. Dieu

    Grosse coquine à identifier.

    Oui Jean-François merci, je vois bien. Mais est-ce que tu as vu la moindre information permettant d'identifier ce nautile dans tous ces liens? Non seulement je connais déjà la plupart des éléments que tu me transmets, mais si en plus ça ne fait rien avancer. Si tu cherches à identifier quelque chose et que je te mets 30 liens, soit 8h30 de lecture que tu connais déjà pour arriver nulle part. L'intention est bonne mais sans aucun résultat, c'est pour ça que je dis que tu es mignon.
  23. Dieu

    Grosse coquine à identifier.

    Jean-François tu es mignon, je connais déjà bien ces sites mis en lien pour en avoir corrigé quelques pages . J'ai consulté le plus complet en matière d'ammonites par étage géologique avant de publier les photos du nautile. J'ai également consulté de nombreuses pages sur les nautiles référencés sur le site du MNHN. Il n'y a rien qui correspond.
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