Oui bien sût Cedrick, plus descriptif que génétique ! Quand on a un spécimen représentatif en main, ce qui est souvent difficile, ça parle evidemment plus qu'un texte. Et puis "ce qui est" des collectionneurs et souvent différent de "ce qui est" pour les géologues métallogénistes.
Les auteurs évoquent souvent l'anhydrite du fait de son extrème facilité à se volatiliser ce qui n'est pas forcément le cas de la barytine, plutôt insoluble. Il faudrait un petit reste dans un coin ce qui semble avoir été le cas à Virtuous Lady.
A Pontgibaud, la phase paragénétique finale, volcanique, plutôt oubliée des métallogénistes - qui n'ont pas lu Fournet -, a férocement lavé les filons.