otto lidenbrock

Goethite.

Ramassé soi-même et couleur 'nouvelle'. Au top!

Wulfénite lamellaire encroûtée de Quartz calcédonieux [45mm]

Nouvelle présentation, bravo, mais faut s'y faire ! Natrodufrenite en globules centimétriques fibro-radiés dans la Limonite [75mm] Carrière de Pluherlin, Rochefort-en-Terre, Morbihan Un des spécimens (type) avec la section polie de Pillard pour déterminer la nouvelle espèce.

Uranophane jaune en 'peintures' proches de la pechblende dans la dolomite, barytine rouge, calcite enserrée dans deux micro épontes de fluorine antozonite et fluorine violacée. [100mm] (Filon des Combes), Mine de Bauzot

Wulfénite tabulaire. [12mm]

Je pense que tout collectionneur de minéralogie de la France doit être apte à séparer le bon grain de l'ivraie (et non pas l'e-vrai !). C'est dur, est parfois il m'est arrivé d'acheter, de venir à la conclusion que cela ne collait pas et de rendre le spécimen. Je me souviens d'une magnifique smithsonite jaune des"Pyrénées", avec une étiquette Lazard Kahn - Bryn Mawr collège - Richard Hauck à vendre à SMAM ; achetée par un gd coll. US ; revente aux USA de la dite collection via CE puis un marchand ami, moins connu, du Colorado. Il m'appelle, je lui dit mes doutes ! Et il l'avait appairé avec une smith. US de Joplin, moins bonne en couleur, mais avec les même yeux de blende dans la matrice ! Sic transit. Toutes les collections avec un grand nombre de spécimens possèdent des localités douteuses. Pour les US, il y a longtemps que tous les cailloux "à étiquette France" sont éclusés… Je ne parle pas de la systématique où le nombre de faux semble important.

Il est évident qu'il y a des pegmatites partout, mais le spécimen est volumineux correspondant à une crypte de belle taille !

Quartz pyramidé calcédonieux, hématoïde et gris, en box-work creux post-périmorphoses autour de scalénoèdres de calcite primaire dissoute. Le plus grand cristal 40mm, d'un spécimen de 150mm

L'histoire de la collection Damour-Krantz est à trois bandes… et bien plus riche que ce qui a été imprimé ici ou là. En tout cas de merveilleux spécimens restés en dehors du monde pendant 50 ans au moins.

Une compagnie, présente à Munich, vends un système informatique à puce, qui permet de tout trouver par enchantement. C'est peut-être l'avenir mais dans la durée ? A mon sens cela convient mieux à la paléontologie et ses objets scientifiques, qu'à la collection de minéralogie et ses objets de décoration.

Je ne suis qu'un amateur (et j'ai toujours refusé de co-publier pour les espèces nouvelles que j'ai trouvé, par exemple). Le meilleurs système : celui de l'Université Humboldt à Berlin (ex Berlin-est situé au dessus de l'ex CheckPoint Charlie). Les minéraux, res nullus, n'ont pas été partagés lors des accords de Potsdam qui ont scellé le sort des collections berlinoises de 1950 à 1989. Les 150.000 spécimens sont restés "sans toit" pendant 20 ans, avec la pluie, les trous de shrapnels dans les tiroirs, les rats… Les microétiquettes avec le nom et la localité sont collées et vernies. Elles ont survécues de manière autonome, sans catalogue. Les systèmes de numérotation peints sont bien, mais nécessitent l'accès à un catalogue. Le catalogue papier, dupliqué (comme au Muséum) c'est le top, mais cela consomme un temps fou lors d'acquisitions importantes. Les catalogues informatiques ne sont pas performant dans la durée. Les impressions sur papier sont problématiques. Actuellement tout est photographié dans des grandes institutions, tout cela sera inutilisable dans quelques années… Pour un particulier, un numéro, un catalogue, une étiquette, une boîte semble être le mieux. Le numéro peint ou l'étiquette vernie, c'est le mieux. Petit commentaire : quels sont les spécimens vraiment patrimoniaux qui nécessitent un tel investissement/temps ? Pas plus de quelques pour-cents dans les grandes institutions et chez collectionneurs ? Je m'explique une 'stibine chinoise' sera toujours une stibine chinoise, ni plus ni moins ?

Quartz pyramidé, endroit et avers, avec un 'cube' de Fluo bleue [140mm] Le Kaymar, Aveyron

Remarquables Porres…

Le 14 juillet 2004 à Hasliberg, en face de chez Kaspar Fahner. De gauche à droite, Roger May, Dosi Venzin, votre seigneurie, Kaspar Fahner. Ou l'union du bas Valais, de Tavetsch et du canton de Berne !

Barytine tabulaire blanche partiellement incrustée de Fluorine un peu 'maya', avec une teinte rosée et Quartz calcédonieux. [120mm] (spécimen shakespearien, être ou ne pas être ?)

Quartz hématoïde sur Quartz incolore en croûte sur la Fluorine. Rocher du Boeuf, ex Maigrot 1971

Bon si c'est des gorges du Tarn, bin c'est en amont de Sainte-Enimie, où il n'y a plus vraiment de gorge… Brésilien??

Chalcopyrite 'blister copper' et Pyrite 'melnikovite' en pelure d'oignion. [50mm] Carrière Amphibolite, Laguépie, Tarn-et-Garonne D'un très fort chercheur local.

Spectaculaire, avec Ktenasite, sulfate difficile à identifier…

Récemment acquis : Bassetite (brune), Uranocircite, Pechblende [75mm] Quistiav, Morbihan. Ex. Chaminant

Quartz enfumé, presque morion, bipyramidé, détaché. [45mm] Echassières, Allier D'un collectionneur célèbre qui se reconnaîtra !

Disthène en voie de damouritisation. [60mm] La Gagnerie de Brignan, Bouvron, 44 Barillet, 1972

Pyrite dodécaèdrique montrant les striures triglyphes et Dolomite en petits cristaux rhomboédriques. [70mm] Noter les fractures partiellement cimentées par la Dolomite. Mine de Sain-Bel, Rhône Anc. coll. Vola Gera et Traverso.

Fluorine en cubes un peu modifiés incolores-violacés-vert d'eau. Spécimen sub-flottant [140mm]