otto lidenbrock

Une des meilleures vitrines - non scientifique - Une étiquette écrite avec le chatGPT Quelle épigénie !

Thanks !

Oui en effet, vers 1820. Très rare, je n'en possède pas et je ne connais qu'une seule coll. publique qui en possède. Le musée des cristaux de Cham possède un sp. qui ne ressemble pas à la série de 1820.

Un (modeste) succès personnel : il y a quelques années, j'ai expliqué à des collectionneurs passionnés que cette pseudo n'était pas après fluorine mais bien évidemment après un minéral vedette à Pont-du-Château, la mélanophlogite. A l'ombre des collectionneurs US millionnaires, voire milliardaires, il y a une palanquée de collectionneurs passionnés. Ce sont les plus belles pseudo du genre. Un (modeste) succès personnel : il y a quelques années, j'ai expliqué à des collectionneurs passionnés que cette pseudo n'était pas après fluorine, ou après calcite (quand les angles ne sont pas droit), mais bien probablement après un non-usual suspect, unminéral souvent fantôme, la halite. Sidi Rahal , non loin du Tizi-n-Tichka, est une localité minéralogique majeure et oh combien méconnue.

Une autre vitrine ambitieuse et passionnante Nata Bene : si l'on considère que la cristallisation est réglée par les lois de la thermodynamique, le maclage, permettant d'augmenter les axes de symétrie, le maclage devient l'état le plus favorable à la cristallisation… Aïe (cf. plus bas) Une autre vitrine ambitieuse et passionnante Une autre vitrine ambitieuse et passionnante A ce propos on ne peut que conseiller de relire Lacroix, au sujet des épigénies…

Encore une autre vitrine : Dans le même schéma " skeletal crystal" et "deep etching"… priapique…

Hématite sur un calcédoine rougeâtre et des casts de barytine après calcite (?) 80mm Wegscheid

Quartz enfumé montrant des inclusions de Schorl ; Albite perthitisée et Gilbertite [40mm] Carrière Menou, Saint-Salvy-de-la-Balme

Calcite verdâtre avec un micro-semis d'un minéral indéterminé ; traces de fluorine [60mm] Propiac

A la mémoire d'un géant de la collection de minéraux, le poète et critique d'art britannique John Ruskin Epidote en croissance à âme [40mm] Fissures de la fontaine de Caillet, Chamonix Anc. coll. John Ruskin

Ce que je veux dire c'est que là c'est difficile d'imaginer une dissolution : phase 1, croissance du prisme ; phase 2 redémarrage de la croissance qui est gênée par son environnement et le cristal "devient fou", en ne fait plus de grandes faces, les moins couteuses sur le plan thermodynamique. Après il y a une forte relation avec l'argile (kaolinite sans doute) qui enveloppe (en même temps ou après ?) le cristal. En d'autres termes, si il y a seulement une solution saline, tout va bien, dès qu'un autre minéral est dans la sauce il y a interférence. Amede, je possède un héliodore du Limousin, "en place", clairement un "gem nodule" : 1/ il est à Milan en prep', je ne peux pas le publier 2/ Il a un aspect "cassé" du fait de la très faible cicatrisation post dissolution/ et/ou broyage mécanique.

On voit très clairement ici une croissante sur un fût pré-existant . - "L'hypothèse type mont d'Ambazac est elle envisageable (gros béryls a partions gemmes qui résistent mieux à l'altération et qui finissent libres dans l'argile résiduelle de l'altération) ? " En Ambazac, la majorité des béryls gemmes proviennent de l'argile, comme le fameux spécimen Bariand, exposé à la Sorbonne. - J'ai fait nettoyer le spécimen Sébastien Fay trouvé récemment dans les produits de lavage de Pont de Barrost : l'argile est à coeur, mais ne "s'accouple" jamais avec le kaolin. C'est ce que soulignais plus haut , il y a un fort effet répulsif.

Quartz diamant dans une septaria avec bitume et calcite [70mm]

Azurite en cristallisations classiques en périmorphoses sur des cristaux tabulaires d'azurite largement pseudo en malachite. [75mm] Époque mine

Staurotide , groupe de macles en croisette de Bretagne et peut-être de Saint-André [140mm] Baud Anc. coll. Barillet

Quelques pierres en cristal de roche qui pourraient être limousines ? Le fameux reliquaire de Saint-Yrieix, que j'ai déjà montré une fois, mais j'ai re-photographié les pierres en détail. Chef-reliquaire réalisé entre 1220 et 1240 probablement dans un atelier limousin. En 1917, le buste original passa dans les collections du Metropolitan Museum of Arts (donation Pierpont-Morgan) où il est actuellement conservé (section médiévale, inv. n°17 190 35 Z). Le reste de la pièce, orfroi et haut du vêtement, est constitué de plusieurs bandes clouées, ajourées aux emplacements des cabochons. C'est cette partie qui porte le décor de filigranes et de pierre montées à bâtes. Les quatre bandes qui constituent l'orfroi en forme de collier portent un décor de grosses pierres en cabochons ovoïdes cantonnés chacun par quatre pierres vertes, de forme carrée. Le cristal de roche est-il limousin ? L'analyse des inclusions le dirait ou l'infirmerait. Calcédoine ? cristal de roche le meilleur des cabochons en cristal de roche ; la "pierre" jaune = verre ? cristal de roche ; les "pierres" noires = verre ? pseudo émeraude = verre ? cristal de roche Vue du Vertex Les "pierres" jaunes montrent des curieuses inclusions = verre ?

Quartz non macromosaïque, chlorite en inclusions 'prase' (sans qu'elle n'attaque les faces) ; zones de sidérite limonitisée, dissoutes [240mm] La chlorite fait évidemment très Mont-Blanc, d'un peu attrayant vert wehrmacht, sans doute pauvre en Mg. Glacier de L'Estellette, val Véni, Mont-Blanc italien

Fluorine fantôme et zonée , Barytine, spécimen sub-flottant [110mm] La Barre, 2023

Zinkenite , cristal prismatique biterminé sur la calcite [85mm] Affleurements des Italiens, Saint Pons

A la mémoire de Michel Maigrot Quartz et Calcite scalénoèdrique [50mm] Le Ribot (Virage n°XI)

Document très intéressant montrant la symbiose gangue/cristal et la difficulté d'une corrosion/dissolution post cristallisation

Les macles Bien connu sur la côte atlantique Or rôti… Formellement ce ne sont pas des intarsias mais des doublettes (triples en l'occurence)

Les vitrines de compétition : Rough and cut Pour mémo le concept a été inventé à Paris il y a bien longtemps par le beau-frère de Dolomieu, Drée.

"Mais j'imagine que, pour que le béryl, héliodore ou pas, apparaisse, il faut une certaine pression / température, probablement importantes. Ton hypothèse signifierait qu'à cette pression/température l'argile existe déjà", oui sans aucun doute. le béryl et l'argile croissent de manière concomitante. Comme souvent la chlorite et le quartz.

L'annonce pour le NMM symposium. C'est tentant, mais un peu près de Munich. Il tend à remplacer celui de Rochester, cliniquement mort.