Théophraste

Pas facile de participer lorsque ces colloques sont organisés en semaine, dans des coins pas faciles d'accès... Et dommage que personne n'est vraiment été prévenu... Ni les associations...

Mais il n'y a qu'en France où la collecte de minéraux est interdite dans les parc naturels...

Fin des travaux . On ne devrait plus avoir de soucis de plantage... Si soucis, contactez moi... Amicalement, Théo'

Une localité minéralogique française remarquable : Chessy-les-Mines dans le Rhône Les mines de Chessy, à 25 km au Nord-Ouest de Lyon, sont connues depuis le XVème siècle. Un édit de 1413 de Charles VI évoque la mine. En 1809, le maître mineur saxon Wöller découvre un important filon de carbonate de cuivre, en l'occurrence d'azurite, dès lors appelé "mine bleue", de la couleur de ce minéral. De très nombreux et magnifiques spécimens d'azurite, de malachite, de smithsonite et de cuprite, le plus souvent pseudomorphosée en malachite, sont découverts. Ce gisement, célèbre dans le monde entier, resta pendant un siècle le meilleur pour ces espèces. Depuis d'autres gisements ont produit des spécimens plus spectaculaires, mais les spécimens de Chessy restent un grand "classique" de la minéralogie. La mine s'appauvrit dès la fin des années 1830. Vers la fin du XIXème siècle, le gisement est exploité pour la pyrite, qui sert alors à fabriquer de l'acide sulfurique, tout s'arrête en 1877. Il y a alors longtemps que les beaux spécimens ne sortent plus de la mine. Un des terrils de la mine a été acheté dans les années 1980 par une association de minéralogie. Des fouilles y sont possibles après autorisation. Vitrines disposées de part et d’autre des entrées de la salle d’exposition du théâtre. La minéralogie de la France de la Philadelphia Academy of Natural Sciences Cette institution de la cote Est des USA a été fondée en 1812. Elle a dès lors développé la première collection de roches et minéraux de ce pays, à une époque où l’étude des spécimens était importante pour le développement industriel de la nation. Dès les années 1950’, la collection est à l’abandon. L’Académie constate dans les années 2000’ que la collection minéralogique n’est plus utile à la recherche scientifique, orientée maintenant vers les Sciences biologiques et écologiques. Elle prend la décision de se séparer d’une très importante partie de celle-ci, et d’affecter l’argent obtenu notamment à sa bibliothèque ou à des collections supportant des programmes de recherche. La collection minéralogique fut proposée à diverses institutions ou musées américains, sans succès. En 2006, un groupe de trois négociants rachète alors en bloc la partie de collection disponible, soit près de 19 000 spécimens. Les spécimens sont dispersés en lots constitués à partir de leur origine géographique (par état US, pays,…). Une sélection de spécimens français issus de cette collection sera présentée au public par le collectionneur ayant acheté la « suite » française ! La plupart de ces spécimens seront visibles pour la première fois depuis parfois près de 200 ans ! Un voyage « archéo-minéralogique » à ne pas manquer… Vitrines d’exposition sur la scène du Théâtre. Découvrez le monde fascinant des TOURMALINES ! Pour la première fois en France la collection TURAMALI sera présentée à SAINTE-MARIE aux MINES lors d’EURO MINERAL & EURO GEM du 26 au 29 juin 2008 dans les locaux de VAL EXPO Cette exposition propose de souligner l’exceptionnelle diversité que représentent les Tourmalines dans le règne minéral. Dieter Decker, l’initiateur de la collection, apporte un soutien aux populations des pays desquels proviennent la plupart des tourmalines exposées, principalement Madagascar et la Namibie. Réservez ce moment pour vous laisser séduire par cette inestimable collection, présentée dans un écrin spécialement conçu autour de 30 vitrines rétro-éclairées. MYSTERIEUSE TOURMALINE… La pierre fine présentant la plus grande variété de couleurs. L’appellation tourmaline vient du cinghalais « turamali » qui est l’équivalent de « quelque chose de coloré provenant de la terre ». Les tourmalines sont de véritables œuvres d’art de la nature, la reine du monde minéral. On les nomme aussi les pierres précieuses de l’arc-en-ciel. Cette richesse de couleurs est unique dans la palette de teintes des pierres précieuses et du règne minéral tout entier. En particulier, les petits cristaux de tourmaline laissent passer la lumière et révèlent leur palette de couleurs. Par contre, sur les grands cristaux de Madagascar, on ne perçoit presque jamais les couleurs de l’extérieur car les zones en superficie sont très foncées et ne laissent pas pénétrer la lumière. Afin de rendre visible toute la beauté de ces tourmalines, il faut les scier en plaques et les polir. Ainsi seulement se révèle l’extraordinaire diversité de coloration avec ces différentes zones teintées, ces rubans de couleurs, les formes triangulaires et en étoile à trois branches. La coloration des tourmalines de Madagascar est absolument unique dans tout le règne minéral et contribue de la sorte, à côté d’autres phénomènes remarquables, à la singularité de la tourmaline. Elle existe dans toutes les couleurs et nuances de couleurs. Les couleurs de la tourmaline sont liées aux phénomènes chimiques et physiques compliqués des cristaux. Elle développe lors de sa formation une grande souplesse intérieure et se caractérise en outre par une structure cristalline inhabituelle. De par la flexibilité de sa maille cristalline, elle est capable d’intégrer jusqu’à 60 des 100 éléments connus. La richesse en couleurs de la tourmaline dépend des contenus en atomes de métal chargés positivement, les dits «cations», comme par exemple le fer de valence 2 et 3, le manganèse, le vanadium, le chrome, le titane, le cuivre, le lithium et le cobalt. Ce sont des éléments qui génèrent, seuls ou combinés les uns aux autres, la diversité de couleurs. L’observateur remarque par ailleurs des phénomènes métamorphiques surprenants et pratiquement inexplicables quant aux formes et couleurs à l’intérieur d’un cristal. Celles-ci s’interpénètrent entre elles de façon aussi compliquée que belle. Des bandes de couleur extrêmement fines et des zones colorées qui traversent le cristal selon un certain angle oblique forment des triangles multicolores. Dans une représentation en trois dimensions, ces bandes de couleurs triangulaires forment une pyramide au sein du cristal. Lors de superposition de ces zones de couleurs on peut alors parler de toits de pyramides qui s’empilent, voire s’emboîtent les uns dans les autres. Lorsque l’on scie dans un cristal contenant un tel empilement pyramidal, une plaque de 3 à 6 mm exactement en travers de son axe principal, alors apparaissent des triangles équilatéraux et souvent des colonnes à trois branches. Sur certaines séries de coupes transversales de Madagascar, on peut observer un autre phénomène, uniquement visible sur la tourmaline. L’incroyable diversité de couleurs évoque des couleurs florales. D’autres formations sur la tourmaline, comme ses surfaces arrondies et filandreuses extérieures, rappellent maintes tiges végétales. De même, la tourmaline de type « agrégat », composée d’un nombre infini de petits cristaux individuels soudés, est comparable à la famille végétale des ombellifères constituées, elles aussi, de nombreuses petites fleurs individuelles. Certaines séries de coupes transversales présentent une particularité tout à fait exceptionnelle : une suite des zones de couleurs qui ressemble à la constitution d’un végétal et laisse apparaître des racines, tiges, fleurs et graines, et même des fruits. Ceci est tout simplement unique dans le monde minéral.

Up !

Le paléontologue Christian de Muizon, directeur du département «histoire de la Terre» du Muséum national d’histoire naturelle (MNHN) est un spécialiste des cétacés, quelles compétences en matière de dinosaure ? Selon moi, aucune... Peut être de la jalousie... Quand on voit l'état de la galerie de paléontologie du museum à Paris dont il est le responsable... On comprend qu'il vaille mieux parler d'autre chose... Par exemple, un mécène anonyme, le destine le tricératops à un musée américain, dont le nom ne devrait pas être connu avant deux mois, et pouquoi le museum à Paris n'est pas capable de se trouver des sponsors comme cela ? En minéralogie, il y en a, un spécimen minéralogique de plusieurs centaines de milliers d'euros devrait être offert à la galerie de minéralogie... Pour mémoire, les dinosaures du museum à Paris sont en plâtre... Théo'.

Pour rappel .

Bonjour, il n'y a pas de problème avec les MP, soit la personne ne s'est pas connectée, soit elle s'est connectée et elle n'a pas vu qu'elle avait un message, soit elle a eu le message et ne souhaite pas répondre... Si la messagerie d'un membre est pleine, un message en informe l'expéditeur. Amicalement, Théo'.

Aujourd'hui, construction d'une piscine... Lundi, c'est piscine !!!

Ah oui, si possibilité, merci de me contacter pour les modalités, merci d'avance . Théo'.

Un livre sur Puy les Vignes ??? Késako ??? J'aime Puy les Vignes moi ! Amicalement, Théo'.

Lacroix évoque pas mal de choses, notamment la mine Pilou, et quelques autres mines autour, où est-ce, à quoi cela resemble, qu'est que c'est devenu ??? Théo'.

Si ! !

Coucou, toujours avec l'idée de mutualiser nos connaissances pour construire une base d'information top, pour partager tout ça, je remets un coup de projecteur sur l'atlas minéraux de GéoWiki là : Les minéraux. Merci à ceux qui ont déjà participé au développement des pages, tel que Shattukite (plein de top photos, magnifique !), Papyfred, amph, rémi, etc. Pour moi, je vois ça comme ça, par miénral, 10 à 30 photos, lorsqu'on ouvre un livre, on a quleques photos, voir 1 ou 2, pas faciel de se faire uen idée de l'espèce... Là, on peut y aller, montrer tout les aspects d'une espèce miénral, les particularité de tel ou tel gisement, etc. Ensuite, une synthèse des caractéristique de l'espèce, pour cela, il y a uen fiche type, avec ce qui semble l'essentiel, pour les pro à la recherche d'informations pointues, là, il y a des ouvrages spécialisés, suis pas à priori là comme ça pour mettre des choses que personnes ou presque va utiliser. Particper à GéoWiki, après une petite prise en main, c'est facile ! Pour mettre des images, on les charge d'abord sur le site, en utilisant la fonction dans le menu à gauche "Charger une image", on fait attention comme demander de mettre à l'image un "bon" nom, style wulfénite10, wulfénite11, etc. Ensuite, pour mettre son image dans une page, ben, on clique sur le bouton "Publier", on va là où on veut mettre son image, et on tape le nom de son image, par exemple wulfénite11 avec le type de fichier, soit wulfénite 11.jpg, on ajoute devant image: le tout en double crochet, soit en tout [[image:wulfénite11.jpg]]. Cela affiche l'image ! Voilà, rien de compliqué, on charge les images sur le site, puis on les met dans les pages en mettant le nom de fichier entre double crochet. Pour mettre du texte, on clique sur le bouton "Publier" et hop, c'est parti ! Pour remplir les "fiches" pour chaque minéral, pareil, clic sur bouton "Publier", et on tape les info dans la fiche, c'est assez intuitif :-). Une base de données minéralogique en Français, alors, c'est possible ??? , Théo.

Ouais, on est au niveau 7, on peut construire plain de truc sympa : un bar, comme dis, mais aussi, un cinéma, une piscine, une patinnoire !!! Cliquez dur moussaillons !

Oulà là... Faut que je réponde moins vite moi... Bref, au fait, ce spécimen ressemble beaucoup beaucoup à une sidérite marocaine, sorties sur 2006/2007/2008... Notamment le quartz, pas si alpin que cela, plus trapu que le Allevard, sidérite plus "jaune" que "verte", hum... En relisant le sujet, tu as dit geonaute -petite "trouvaille" récente (février 2008)- > donc sidérite et quartz du Maroc. Voilà, fin de l'enquête ! , Théo'.

L'azurite à La Gardette, et la malachite, c'est à la suite de l'altération de "sulfures", notamment de la chalchopyrite, c'est donc associé à la chalcopyrite, en "enduit" plus ou moins "cristallisé", plus ou moins bleu, plus ou moins "brillant". Théo'.

Un point, en France les objets archéologiques appartiennent bien au proprio du terrain. Même lors de fouilles faittes par l'Etat ou sur commande de l'Etat, il y a restitution des objets, ou totu du moins d'une partie. Voir article : Note sur le droit et à la réglementation en matière d'archéologie, de fouilles archéologiques, et d'objets archéologiques. Je ne suis pas trop l'archéo, mais j'ai comme l'impression que les archéo "officiels" "oublient" d'informer les proprio de leurs droits, et par la même de leur rendre la partie des objets auquel ils ont droit. Les fouilles sont interdites, c'est à dire la manifestation d'une volonté de trouver qq chose en réalisant des travaux. Les découvertes fortuites, je me ballade et pan, je tombe sur un "truc" que je peux ramasser à mains nus, là pas de soucis, c'est tout à fait légal. Voilà, rapidement .

Coucou, on voit ça dès que nous avons un peu de temps . Cependant, si'il y a des sujet en doublons, ne pas tout fusionner par ex "Quartz Chaméane" & "quartz Morion ? ou irradié ?", c'est deux sujets/questions différentes, deux sujet c'est bien . Voilà, vite fait, en passant .

Non, très bien, et pas de bêtises, normal, tourné par les Allemands, pas par les français... Pas mal de passages sur le rôle très positifs des amateurs qui collectaient lorsque la carrière était en activité (et que les "institutionnels" n'étaient pas là, ou si peu). Et aussi dans leur action pour protéger le site lorsque une fois la carrière fermée, elle devait se transformer en décharge.

Ah, du coup, pourquoi pas Allevard... C'est vraiment pas commun, puisque comme dit, les spécimens avec sidérite "fraîche" comme ici sont sortie entre la fin du 18ème (rare) et la fin du 19ème, gîte innaccéssible pour la sidérite fraîche après 1920/25. Mais il y a dans le "circuit" d'anciennes pièces... Faudrait voir l'objet en "vrai", mais vu les circonstances de la "récupération", pourquoi pas du Allevard.

Non, pas Allevard, rien ne sort plus de par là bas... Plus vers l'entrée de l'Oisans. Infos en MP.

J'ouvre le sujet, y'a des timides ici :coucou!: Donc : Les minéraux de Corse.

Les 4ème JOURNÉES NATIONALES DU PATRIMOINE GÉOLOGIQUE sont organisées du 24 septembre 2008 au 27 septembre 2008 à Digne-les-Bains, avec colloque et excursion. C'est par hasard que nous avons appris l'organisation de ces jorunée, comme en 2002 pour celles de Brest... Les associations, experts, amateurs, et autres, ne semblent pas invités... C'est dans ces colloques pourtant que se décide l'avenir de la collecte et collection... Voir le compte-rendu des journées du Patrimoines Géologiques de Brest en 2002... Il y a eu aussi des colloques à Paris (10/2002) et à Lille (11/2002)... Ou encore le compte-rendu de la journée de lancement l'inventaire du Patrimoine Géologique français. Pour ceux qui souhaite y assister, il faut s'incrire rapidement, avant le 2 mai. Contact organisation : Courriel : colloque@resgeol04.org Réserve Naturelle Géologique de Haute Provence 10 montée Bernard Dellacasagrande - BP 156 04005 Digne les Bains Cedex Tél : 04.92.36.70.70 - Fax : 04.92.36.70.71

Il y a maintenant plus d'un an, en avril 2007, était lancé en grande pompe, mais curieusement organisé à la va vite entre la présidentielle et les élections législatives l'inventaire du Patrimoine Géologique français. Après avoir travaillé sur la question dans les années 80 et 90, après avoir présenté aux Journées du Patrimoine Géologique de Brest en 2002 le résultat des expérimentations et la finalisation "théorique" de l'inventaire, en avril 2007 on nous disait, associations, amateurs, vous allez voir ce que vous allez voir et vous allez pouvoir saisir bientôt plein d'informations sur des sites remarquables, remarquables, donc à protéger. Et en avril 2008 ? Et bien rien... Rien de rien... En France-Comté, le driren a pris l'initiative de faire un appel d'offre pour faire l'inventaire du Patrimoine Géologique du département. Bon...