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Bourse minéraux et fossiles de Sainte Marie aux Mines (Alsace) - 26>30 juin 2024

possibilité de plaque de souffre


picoco

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salut a tous :sourire:

j'aurais une petite question pour vous qui semblez, si je me trompe pas, doués dans ce domaine.

voila en fait j'écris livre ( chacun ses passions lol), c'est de la science fiction mais j'aime assez dans mes écrit , non pas que les infos soient sures a 100% ( c'est de la sf après tout), mais que chaque fait qui sorte un peu de la norme soit quand même possible.

donc :

est ce possible que sur terre, sous une nappe de pétrole, se trouve une sorte de grosse reserve naturelle de souffre ? Pas une construction humaine, mais une très grosse grappe de soufre qui se serait formé depuis très longtemps, de façon naturelle.

Et est ce possible qu'un jour, pendant l'extraction du pétrole par les humains, ce même souffre se trouve expulsé au dessus de la croute terrestre ?

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C'est loin d'etre de la science fiction... voir le soufre qui a ete extrait pendant des annnes du gisement de gaz de Lacq dans le Bearn.

En revanche c'est pas du soufre solide que l'on trouve en profondeur, mais de l'hydrogene sulfure...

PS: Svp, soufre avec un seul F, c'est quand meme pas un mot bien complique...

Le pire c'est que l'erreur revient tout le temps sur le forum. Arretons de faire souffrir les lecteurs...

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Contexte Historique

En 1949, les géologues avaient détecté une zone pétrolifère dans un petit village des Pyrénées-Atlantique, Lacq. Mais en décembre 1951, sous une couche de pétrole assez superficielle, jaillit du gaz naturel à très haute pression. L'éruption de gaz a été si forte qu'elle a détruit les équipements de sécurité et s'est répandue sur la campagne environnante. Une fois le sinistre maîtrisé, la Société nationale des pétroles d'Aquitaine (SNPA) décida de reprendre les forages et de construire une importante usine.

L'exploitation du gisement commença véritablement en 1955, la SNPA ayant réussi à adapter son équipement aux caractéristiques du gaz de Lacq (forte proportion d'hydrogène sulfuré provoquant la corrosion de l'acier). Avec ses 200 milliards de m3 de réserve, ses trente deux puits et des installations gigantesques, le gisement de Lacq permet de produire de l'essence, du butane, du propane et du soufre. Ce complexe industriel est alors présenté comme un nouveau «Texas» devant fournir à la France ses propres ressources énergétiques et lui éviter une trop grande dépendance en la matière. Mais l'exploitation du gaz de Lacq se révélera assez rapidement décevante et coûteuse, ne constituant donc qu'un «demi-succès» par rapport aux promesses de ses débuts.

merci goggle!!

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