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Bourse minéraux Sainte Marie aux Mines 2024, avec fossiles et gemmes.
Bourse minéraux et fossiles de Sainte Marie aux Mines (Alsace) - 26>30 juin 2024

benevolus

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Tout ce qui a été posté par benevolus

  1. j'ai loupé, je n'avais pas mon appareil avec moi il faut parfois faire des sacrifices: réveil 5h45, départ 6h15, début marche 6h40, arrivée au bord du lac 7h20, retour Valloire 9h
  2. un peu plus au sud il y a une zone en haute résolution et, on dirait des exploitations à ciel ouvert. par endroit on distingue des sortes de terrils ! C'est tout ce qui me vient à l'idée
  3. je ne sais pas si cela a déjà été signalé sur le forum mais c'est spectaculaire http://sorisomail.com/email/42722/ja-viram-desmoronar-uma-montanha.html
  4. c'est par ce collu que passe le sentier qui vient des lacs Jovets par le col d'Enclave vers le refuge Robert Blanc
  5. celui de lomdumtblanc c'est un "grand corbeau" alors que celui de Augustin c'est le "chocard à bec jaune"
  6. tu as de la chance, nous on ne l'a pas encore vu ce soit disant été. Demain prévisions: neige à 1800m
  7. le coût de l'opération actuelle est estimé à 2 millions d'euros
  8. "La vache qui pleure" tassili N'Ajjer, environs de Djanet, Algérie, Décembre 2003
  9. "Ces travaux ont été décidés sur la base d'une étude du glacier de Tête-Rousse par des glaciologues du CNRS révélant l'existence d'"une poche d'eau située à 75 mètres de profondeur qui ne possède pas de purge naturelle comme la plupart des glaciers", "Le réchauffement climatique qui a diminué l'épaisseur du manteau neigeux situé sur le glacier" pourrait expliquer le phénomène, selon le glaciologue. "Moins protégé du froid l'hiver, le fond de la cavité se refroidit et ne permet pas à l'eau accumulée de s'évacuer naturellement", avance-t-il." petite réflexion personnelle: On sait que le glacier n'a pas d'évacuation naturelle alors pourquoi encore mettre celà sur le dos du réchauffement climatique. D'autant plus que tout glaciologue compétent et instruit sait très bien que le froid dans nos régions ne descend que très rarement en dessous de 1,50m dans le sol. Je ne vois pas comment le gel pourrait descendre au fond de la cavité qui est estimée à une profondeur de 75m. Je pense qu'il y a beaucoup de c......ries racontées et que la poche de 1892 n'était pas le résultat du réchauffement climatique. Ce n'est pas la première poche d'eau sur un glacier et ce ne sera pas la dernière. A lire sur ce site: http://www-lgge.ujf-grenoble.fr/~annel/Doc...isquesHome.html Rupture de poches intra-glaciaires Le troisième type de risque naturel d'origine glaciaire est la rupture d'une poche d'eau située à l'intérieur des glacier. Elles constituent probablement le danger le plus important, car elles sont indécelables de l'extérieur. Elles peuvent être soit intra-glaciaires, c'est-à-dire situées dans l'épaisseur même du glacier, soit sous-glaciaires, c'est-à-dire en contact à la fois avec le glacier et le lit. Les ruptures de ces poches causent des catastrophes souvent meurtrières du fait de leur soudaineté, de leur imprévisibilité, et de l'importance des laves torrentielles qu'elles sont en mesure d'engendrer. On ne connaît pas avec précision les conditions qui conduisent à la formation d'une poche d'eau, et ce bien qu'il soit indéniable que les conditions morphologiques du site où elle prendra naissance jouent un rôle très important ; en effet, c'est quasiment toujours autour d'un ressaut morphologique, là où le glacier a tendance à se décoller de son lit, que les poches sous-glaciaires apparaissent. En ce qui concerne les poches totalement intra-glaciaires, aujourd'hui, en 1998, nous n'avons que trop peu d'éléments pour pouvoir en déterminer l'origine avec précision. L'apparition d'une poche d'eau dans un glacier sous-tend le fait que la partie du glacier où elle se développe est tempérée, c'est-à-dire que la glace est à son point de fusion. La limite entre les glace froide et les glace tempérée se situe, dans les Alpes, aux environs de 4000 m d'altitude (plus ou moins quelques centaines de mètres selon l'exposition, et aussi l'épaisseur du glacier : un glacier très épais peut être froid en surface et tempéré à sa base). Une fois le vide créé (à l'intérieur ou sous le glacier), il y a accumulation d'eau provenant de la fonte des neiges au printemps, de la fusion estivale de la glace ou bien des précipitations qui s'infiltrent dans le glacier ; cela conduit à un agrandissement de la poche. Lorsque la pression à l'intérieur de la poche est trop importante pour que la glace résiste, il y a expulsion d'un bouchon de glace, et vidange brutale de la poche d'eau. La partie du glacier qui recouvrait la poche d'eau en amont se trouve alors déstabilisée, du fait du vide créé en dessous et il y a souvent effondrement de la voûte. La débâcle (écoulement d'eau mélangée à de la glace) ainsi produite, peut conduire à la formation d'une lave torrentielle ou d'une coulée de boue, s'il y a suffisamment de matériaux mobilisables sur les zones de passage du flot (moraines, terrains meules...). Les volumes d'eau accumulés dans le glacier sont variables mais restent inférieurs à ceux accumulés dans les lacs glaciaires. Le volume des poches d'eau dépasse rarement le million de mètres cubes, mais il existe un exemple tout à fait stupéfiant : c'est celui du Vatnajökull, glacier situé en Islande, sur le volcan Grimsvötn ; en 1996, une éruption volcanique a provoqué la fonte d'une grande partie de la base du glacier ; une poche d'eau de plusieurs milliards de mètres cubes s'est formée et vidangée dans l'océan Atlantique. L'estimation de ces volumes est assez difficile et ne peut pas toujours être effectuée. Dans les Alpes, on recense plusieurs événements de ce type (glacier de Trient, 1911, 1930, 1942, 1960, glacier de Tête-Rousse, 1892) ; mais la connaissance des causes et du développement de ce phénomène est à l'heure actuelle très restreinte. De ce fait, il semble délicat d'envisager des moyens de prévention ou de surveillance adaptés.
  10. tout simplement une partie du haut Atlas qui a été prise en photo alors qu'il y avait encore de la neige
  11. au cas ou il n'y aurait pas assez de neige ! Petite couche supplémentaire aujourd'hui 15 août (limite vers 2500m)
  12. le jury est composé de personnes dont les connaissances minéralogiques ne sont plus à démontrer. Ils jugent les pièces selon plusieurs critères (cristallisation, couleur, originalité, rareté, etc...) ce n'est pas celui qui a la plus grosse qui est le meilleur !
  13. voici quelques photos des vitrines. les photos ne sont pas top (pas assez de lumière et comme un débutant, le pied est resté à la maison !) les deux vitrines de gauche: minéraux du massif les deux centrales: concours sur les pyromorphites les deux de droite: les minéraux du Valais (Suisse) certains reconnaitront leurs pièces et auront peut-être des photos de meilleure qualité ! deuxième vitrine des minéraux du massif
  14. le jour se lève, la lune va se coucher et l'Aiguille du Midi a eu un coup de peinture blanche. photo prise ce matin avant le départ pour l'Alpe.
  15. Le glacier de Tête-Rousse (1892) La catastrophe du glacier de Tête-Rousse (Massif du Mont Blanc, France) s'est produite dans la nuit du 11 au 12 juillet 1892. La rupture d'une poche d'eau sous-glaciaire, située à 3150 m d'altitude environ, a entraîné la libération d'une importante masse d'eau, estimée à 200000 m3. A ces 200000 m3 d'eau se sont ajouté les 90000 m3 de glace qui constituaient le bouchon qui a été expulsé. Toute cette masse en mouvement a ensuite emprunté l'étroit couloir du Bossonney, en l'érodant intensément (800000 m3 ont été mobilisés dans cette vallée). Le mélange d'eau, de glace et des matériaux érodés a donné naissance à une lave torrentielle énorme. Après de nombreux phénomènes d'embâcles et débâcles, cette masse de boue a rapidement (sa vitesse a été estimée à 14 m/s) atteint l'établissement thermal de Saint-Gervais et ses environs, où elle a tout dévasté, faisant 175 victimes. En poursuivant son chemin, elle s'est étalée dans la plaine en aval jusqu'à l'altitude de 600m, en laissant sur place quelques 600000 m3 de matériaux. D'après les témoins, la rupture de la poche d'eau a provoqué une détonation, ainsi qu'un violent effet de souffle. La poche qui s'est rompue était constituée de 2 cavités communiquantes, et Vallot (1892) a estimé à 3 ou 4 mois, le temps nécessaire pour accumuler cette quantité d'eau. Il semble, d'après les croquis exécutés par Vallot, que l'origine de la poche soit consécutive à un effet de barrage de l'écoulement sous-glaciaire par la glace, au niveau d'un seuil rocheux dans le profil longitudinal. Suite à l'érosion mécanique de la glace par les eaux, cette disposition en seuil a favorisé la constitution d'une énorme cavité sous-glaciaire, qui a progressivement débordé du seuil rocheux vers l'aval. Lorsque la pression exercée par l'eau sur la glace a été suffisante, la partie de glace jouant le rôle de bouchon a été arrachée et pulvérisée ; le départ de l'eau accumulée dans la cavité sous-glaciaire a alors provoqué l'effondrement de la voûte amont qui la surmontait. graphique : A. Buisson, 1998, d'après Vallot, 1892 Pour éviter une deuxième catastrophe de ce type, il fut décidé de construire un tunnel de drainage qui permettrait à l'eau de s'évacuer. Un premier tunnel fut foré entre 1899 et 1900. Ce tunnel avait pour objectif d'évacuer l'eau accumulée au niveau de la cavité supérieure du glacier, derrière le seuil rocheux. Mais après son creusement, ce tunnel était à une altitude trop élevée pour pouvoir vider toutes les eaux de la poche. Il fut donc décidé de construire une nouvelle galerie d'évacuation plus à l'ouest et dont l'orifice se situerait à 3115 mètres d'altitude. Le tunnel devait relier la base du glacier de Tête Rousse au versant ouest qui descend vers le glacier de Bionnassay, car le versant nord est obstrué par un glacier (glacier de la Griaz). En 1904, le tunnel fut achevé et permit l'évacuation des 22000 m3 d'eau qui s'étaient accumulés depuis 1892 dans la nouvelle crevasse. Depuis, la sortie du tunnel est régulièrement nettoyé tous les deux ans par l'O.N.F. (Office National des Forêts). Il n'y a plus jamais eu d'accident. document pris sur le site : http://www-lgge.ujf-grenoble.fr/~annel/Doc...xMarquants.html. Pour ce qui est du tunnel je ne sais pas ce qu'il en estaujourdhui.
  16. je pense que ce sujet aurait plus sa place ici. petite remarque après lecture de certains articles : Une fois les travaux de sécurisation achevés, des pompes vont être immergées afin de vidanger les 25.000 m3 d'eau situés dans l'unique cavité localisée avec précision. Les 40.000 m3 restant n'ont pu être précisément repérés. Je n'arrive pas à comprendre comment on peut estimer un volume de 40 000m3 si on ne peut pas les localiser?.Serait-on en plein scénario catastrophe ?
  17. voilà à quoi cela ressemble après nettoyage pièce A: pièce b: de face profil droit profil gauche
  18. voilà donc Papyfred tel que vous le verez devant ou derrière le stand
  19. benevolus

    Trace suspecte.

    j'ai déjà vu des rigoles comme celle-ci dans certains chemins étroits. Les charrettes avec les roues à bandage métallique passant toujours au même endroit finissaient par creuser une rigole
  20. depuis ce matin ils étaient beaux (les nuages) mais, ce soir il a pété (l'orage)
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