Un petit extrait de site :
"L' exploitation du gisement de plomb argentifère de Carnoules est bien attestée dans le 4e quart du 17e siècle et s' arrête pour cette période en 1738. Elle reprendra (mine de Carnoules) en 1833. La tradition orale garde le souvenir de conflits au sujet de l' eau du canal de dérivation de l' Amous entre les métallurgistes et les seigneurs occupant le château d' Aigrefeuille"
Puis un autre :
extrait de ce site :
"PROPOSITION DE REHABILITATION DU SITE DE CARNOULES (MINES SOUTERRAINES, CIEL OUVERT, DIGUE A STERILES…) - ST-SEBASTIEN D’AIGREFEUILLE-GARD (FRANCE)
L’objet du ce projet c’est le vieux site minier de Saint-Sébastien-d’Aigrefeuille (Carnoulès) qui se trouve dans une zone boisée à environ 9 km d’Alès. Le projet s’est structuré en 9 chapitres. Après la fermeture d’exploitation sont restés trois dépôts de stériles, plusieurs carrières, plusieurs tas de stériles de carrières et vides souterrains produits par l’exploitation en souterrain. Ces dépôts ont fait l’objet de 4 Arrêtés Préfectoraux en 1956, 1961, 1963 et 1967 à la suite de plusieurs ruptures de digues et de pollutions généralisées dans la vallée. Une grande partie de stériles de ces dépôts a été entraînée pendant les ruptures des digues et maintenant il ne reste qu’un seul dépôt. Il s’agit d’un dépôt de stériles contenant des sulfures (pyrite arséniée et galène) en faible teneur. Le gisement a été exploité en souterrain et ensuite à ciel ouvert. L’exploitation du gisement a eu un important impact sur la zone d’un point de vue géographique, sur la démographie de la population et sur l’environnement et plutôt sur les eaux souterraines et de surface qui ont été polluées par des métaux lourds (Pb,Zn, Fe, etc.) et arsenic. Malgré tous les travaux effectués pour sécuriser la zone, celle-ci est encore fragile aujourd’hui et pose des problèmes. Les sources de pollution que nous avons trouvée et essayée de traiter sont la digue à stérile, les carrières avec leur stériles et la mine souterraine. Nous avons proposé d’améliorer les travaux qui ont été déjà fait ou de le refaire, ou de proposer des solutions pour les zones où n’existent pas encore des travaux de réhabilitation. Le site est dans un tel état qu’il est impossible de le rendre à l’état initial. Nous avons essayé de faire le mieux possible et de diminuer le plus possible la pollution."
le sablais :coucou!: