SEUL, L'HOMME LIBRE EST PERFECTIBLE
Sans morale, il n'y a pas d'éthique.
Si au début de sa vie, l'individu doit faire l'apprentissage de la morale (notion du bien et du mal), ce n'est pas une finalité en soit. Une fois la morale intégrée à sa personne, l'humain se doit d'aller chercher en lui-même et par lui-même ce qui, dans cette morale intégrée, ne convient pas à son naturel. Puis, ensuite, incorporer des notions supérieures qui le ferons grandir, comme : ses rapports aux autres, au divin, à l'univers, aux sciences etc. La morale au naturelle n'existe pas, elle est issue de traditions, de religions, de politique, donc apprise. Par contre, l'éthique est une arborescence du naturel donc du divin. Elle n'apparais qui si l'on a planté la petite graine que représente la morale. Faut-il encore qu'une étincelle en déclenche le processus (Chercher ce qu'est cette étincelle me semble une grande idée).
L'éthique est "une finalité sans fin" * ou autrement dit une évolution invisible de l'humain par l'humain tant sa vie est courte.
* Tiens, je trouve que ça colle bien aussi pour définir l'univers.