Augustin

Après, reste à savoir, qui de la poule ou de l'oeuf est arrivé le premier ...

Cet article fait suite à un reportage très intéressant vu ce weekend, sur le pétrole en Mauritanie (exploitations offshore principalement), notamment dans une des zones les plus poissonneuses de la côte Africaine et qui fait vivre économiquement une grosse partie du pays. Par peur des "dommages colatéraux" (marée noire, pollution) qui peuvent être engendrés par des exploitations réalisées sans moyens dignes de ce nom (bateau double coque, systême de forage en bon état, sociétés compétentes) et qui pourraient mettre en péril une partie non négligeable du gagne pain d'un pays. L'état semble avoir compris pour partie l'intérêt de préserver ces zones. Surtout lorsque l'on sait que ce n'est pas le pays tout entier qui s'enrichit dans ce genre de situations. A l'heure de faire des choix, celui ci semble préserver l'intérêt de la population au détriment d'un enrichissement qui ne profiterait pas à tout le monde. L'effet inverse, le Niger par exemple (pour y avoir travaillé), la répartition des richesses liées aux exploitations du sous-sol ne se fait pas de manière bi-latérale, le gouvernement s'en colle plein les poches, la corruption croit et la colère des habitants aussi. Après, lorsque l'on sait que les sociétés françaises pour lesquelles certains d'entre nous travaillent ou ont travaillés sont les principaux acteurs de ce genre d'agissement ... ça fait réfléchir. Excusez moi d'être légèrement brouillon dans mes propos, beaucoup de choses à dire, parfois dans le désordre.

Merci Théo mais c'est simplement sur les anciennes collections et sur leur gestion après le décès des personnes qui les ont constituées que porte ma question. Ca ne m'empêchera pas de dormir ce soir, mais pour culture personnel, je trouvais cela intéressant. Je suis le sujet que tu as mis en lien avec intérêt, même si je n'y participe pas forcément.

Et puis, si possible, penser un peu à ceux qui ne sont pas abonnés au RM (bonne revue, la question n'est pas là) et qui ne peuvent donc pas avoir accès à ces articles (ça a été mon cas jusqu'à présent, d'autres doivent être dans la même situation, pour différentes raisons). Rien de plus frustrant que de lire : tu peux voir ça dans le numéro X. Si ce n'est toi, peut être que l'autre Alain (ou un autre) saura me répondre, même brièvement. Je ne m'attends pas non plus à une dissertation sur le sujet. Juste que plusieurs fois j'ai posé des questions et c'est souvent la même réponse qui arrive, c'est pénible au bout d'un moment. Sans animosité Alain, sincèrement. Merci d'avance.

Dommage, je viens juste de m'inscrire, je n'aurais donc que les numéros de 2009 ... Du coup, ça ne fait pas avancer mon schmilblick ! Deux ou trois lignes, même rapide ?

Trouvé sur le net ... Le pétrole rend pauvre. Les diamants, le gaz et le cuivre aussi. Les pays pauvres dotés de ressources naturelles abondantes sont en général restés des pays sous-développés. S'ils ont ce statut, ce n'est pas en dépit de leurs richesses naturelles, mais bien à cause de celles-ci. Comment se fait-il que les ressources naturelles d'un pays puissent perpétuer la pauvreté de la majorité de ses habitants? Il existe un phénomène qu'on a baptisé la «malédiction des ressources naturelles». Certains pays réussissent à conjurer cette malédiction. La Norvège ou les Etats-Unis, par exemple, sont des pays développés qui possèdent du pétrole. Mais non seulement ce sont des exceptions qui confirment la règle, ils nous montrent qu'il existe des antidotes efficaces: la démocratie qui prévaut dans ces pays et leurs institutions limitent la concentration du pouvoir. Pour éviter cette malédiction, il est également nécessaire de maintenir la stabilité économique, de contrôler la dépense publique, d'économiser pour faire face aux années de vaches maigres, d'empêcher la concentration des revenus en diversifiant l'économie et d'éviter que la monnaie du pays n'ait trop de valeur comparée aux autres devises. Les pays exportateurs de ressources naturelles qui n'adoptent pas ces mesures appauvrissent et maltraitent la majeure partie de leurs citoyens. Seuls des privilégiés minoritaires échappent à ces effets pernicieux, et c'est regrettable. En fait, la «malédiction des ressources» s'apparente un peu à une addiction. Ses victimes ne ressentent pas l'envie de se soigner. Dans les sociétés concernées, les puissants n'ont pas grand intérêt à lutter contre les effets pervers d'une trop grande dépendance aux ressources naturelles. Ils ne sont pas touchés par ces effets, au contraire, ils en bénéficient. Un fond de vérité ?

Quel a été le sort des anciennes collections dont sont tirées la plupart de vos pièces "anciennes" ? Si je ne me trompe pas, certaines ont plus de 100 ans, comment ont-elles été gérées par les successeurs de ceux qui les avaient constituées ? Les gens de l'époque avaient-ils conscience de prendre soin de ce patrimoine ? Certaines collections ont-elles fini aux oubliettes ? Autant de questions qui montre le manque de littérature de ma part à ce niveau. Merci d'avance.

Oh, la boulette ... bon une dernière ligne droite jusqu'à ce soir du coup ... Lionel, ton vote est pris en compte (tu peux revenir). Je sais pas, j'étais pris dans mon élan ... Au moins, on voit où on en est !

Le verdict, sans appel : GRAT63 : 19 points Amazighland : 15 points Spathfluo / JexSavoie / Kayou : 9 points Allez Grat, remets le couvert ...

Une petite heure et je clos les votes. :coucou!:

Félicitations Papy, juste récompense !

Dendrites de manganèse, peut être.

Un fake similé tu veux dire, Michel ?

Fake aux chaires

Changement de peau ...

Lichens.

Ca fait trois avis dans le même sens, je vais modifier pour stilbite.

J'étais parti sur calcite ... un test à l'acide peut lever le doute ?

MESSAGE EDITE Stilbite (1cm), Mada. Mâcle or not ?

Suite et fin ...

Prospection d'hier : calcite (2 générations, blanche et miel) et chalcopyrite, Ambohidratrimo, Madagascar. Histoire de casser le caillou, et aussi histoire de ramener quelque chose, ne pas rentrer "brocouille". Passé la journée d'aujourd'hui sur un filon de quartz, longueur au moins un km, puissance entre 50 et 100m, pendage subvertical, aucune trace d'ouverture ni de cristallisation. d'autant plus dommage que certaines zones montraient des colorations violacées claires ... mais rien, rien de rien ! Pas massif au sens strict, mais bien fracturé avec traces de circulation importante. Remaniement partiel par endroit, pas trouvé le contact avec la roche encaissante.

Tout essayé, rien ne veut marcher correctement ! J'en appelle aux bonnes volontés qui sauraient trouver un biais qui me permettrait de visualiser ce reportage ... Merci d'avance !