Kayou

Un endroit à découvrir, dans un secteur riche en éléments géologiques. Coup de cœur.

si ta chenille ne mesure pas plus de 1,8 cm . Merci 3F, pas plus de 1,8... mais là c'est parce qu'il faisait froid ! J'ai un peu fouillé sur le net à la suite de ton message, et j'ai trouvé la correspondance précise: Cleorodes lichenaria. http://www.papillon-poitou-charentes.org/Cleorodes-lichenaria-Hufnagel-1767,1531.html

Dans les molasses du Miocène en Languedoc.(Ici, bloc extrait d'un champ)

Oui Next, photo-interprétation pour implanter des forages en zone de socle, avec sondages électriques pour affiner : hydraulique rurale en Afrique sahélienne, et plus rarement création d'une chambre de fissuration dans des forages en zone calcaire au Maghreb. Et gravillonnage. Mais c'était au siècle dernier !!!

OK, A+

Ah, salut Debey... je me disais bien qu'un Sétori devait roder par là et allait intervenir. A+ Je veux bien y aller voir aussi, même s'il caille... il y a moins de touristes ! De Valras on voit le St Loup, et même le St Clair.

Dans les forages d'eau en roches fissurées, calcaires essentiellement, on pratique parfois des tirs à l'explosif pour développer le réseau de fissures... puis on injecte de l'HCl pour aider, et on développe. En secteur minier aussi il y a des tirs en forages, et des foudroyages de galeries abandonnées... juste quelques répercussions sur la topographie en surface !!! Mururoa a aussi connu des tirs en forages ! Si on est en grande profondeur, aucun risque.

A l'évidence. Mais il n'y a que toi qui sache quel est le contexte. C'est un truc connu, ou une découverte fortuite ? Gardiole, ou vers Poussan ? As-tu d'autres photos, pour voir d'autres détails... on dirait qu'il y a des lettres ou symboles, à gauche et à droite de la flèche.

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pas la rose des sable, mais la rose des vents ? Pourquoi ces photos sont elles nommées "Mairie 09 et 010" ? Quelque chose à voir avec un monument ?

Effectivement la photo à pour nom de fichier "calcite4.JPG", c'est comme le port salut !

Même avis : concrétion de calcite, colorée par des oxydes de fer. Ne sois pas déçu, il s'agit de beaux échantillons.

Limite (tectonique compliquée, Chaînon de St Chinian, Napperon de Cazouls) Aalénien/Bajocien des rhynchonelles (taille environ 15 mm) Si vous connaissez, merci pour votre aide à la détermination.

Un peu paralysée par l'air frisquet, une chenille dans une pinède... Si quelqu'un connait, merci !

Salut Les plus belles ou même les moins belles, toutes les roches (et minéraux ou fossiles) ont quelque chose à nous dire. Re la bienvenue sur le forum, et ne pas hésiter à participer, il y a plein de monde curieux de tout ce qui concerne notre Terre ici. Cordialement

Salut pour une identification d'après photo, il faudrait une photo nette et pertinente pour pouvoir se faire une idée. Possibles aiguilles d'aragonite, calcite, ou ....? Les renseignements sur le contexte de la trouvaille seraient un luxe nécessaire. Que ça fonde dans HCl ne signifie pas qu'il y a effervescence, mais juste dissolution dans le liquide. A préciser. Cordialement

Pas d'inquiétude, je n'ai pas dit que le Cap était une dorsale, mais que le basalte en était forcement issus Non, pas forcément. Il faudrait voir ce que dorsale veut dire, mais comme ça ne fait pas partie d'une question... Cordialement.

Oulala Pas de dorsale à Agde (pas Aghe) ! Et effectivement +1 avec Alchimiste: zéolites. Pas dépôt antérieur, dépôt c'est forcément postérieur. Une inclusion ça serait autre chose. Pas une petite photo ?

je voulais dire on et une maison non fumeur pas d'animeaux se qu'on échange c'est que du naturel merci cdt C'est l'essentiel.

J'aime bien le forum... où l'on peut échanger des idées, de l'info,etc... http://planet-terre.ens-lyon.fr/planetterre/objets/img_sem/XML/db/planetterre/metadata/LOM-Img176-2006-11-06.xml Extrait: [CaSO4, 2H2O] (gypse) <--> CaSO4 (anhydrite) + 2 H2O Le gypse est un sulfate de calcium hydraté (CaSO4, 2H2O) ; c’est la forme la plus fréquente des évaporites sulfatées. Ce gypse peut se déshydrater et se transformer en anhydrite (CaSO4) s'il est porté à une température supérieure à 100°C. Il s’agit donc d’une réaction métamorphique. C’est d’ailleurs une réaction très utilisée dans l’industrie, puisqu’elle est à la base de la fabrication du plâtre (dans le cas du plâtre, la déshydratation n'est que partielle). Cette transformation s’accompagne d’une augmentation de masse volumique (2,3 g.cm-3 pour le gypse, 2,5 à 2,8 g.cm-3 pour l’anhydrite), et donc d’une diminution de volume. A l’inverse, à basse température, l’anhydrite peut réagir avec l’eau et donner du gypse, réaction qui s’accompagne d’une diminution de la masse volumique et d’une augmentation de volume. C’est cette réaction qui se produit quand on gâche du plâtre (même si la réhydratation du plâtre est beaucoup plus rapide du fait de sa déshydratation partielle). Dans les Alpes, les masses de gypse ont été portées à une température relativement élevée pendant l'orogenèse, et le gypse des zones internes a été transformé en anhydrite. On devrait donc plutôt parler de la nappe des anhydrites que de la nappe des gypses. Cette anhydrite reste stable tant qu’elle n’est pas remise en présence d’H2O à basse température. Et c’est ce qui arrive actuellement à cause de l’érosion. Cette érosion décape les terrains, met à l’air libre de l’anhydrite initialement enfouie et donc sans contact avec de l’eau. Cette anhydrite, une fois à l’air libre et soumise à l’action des eaux de pluie, s’hydrate et se retransforme en gypse. Cette transformation se fait en surface, et gagne progressivement la profondeur. Il s’agit là d’une réaction métamorphique due à une baisse de la température et à un apport d’H2O. On parle souvent de rétro-métamorphisme quand il s’agit de réaction à température (et/ou pression) décroissante. L’augmentation de volume lors de l’hydratation est d’environ 15%, ce qui fait une variation de longueur d’environ 2,5% dans chaque direction x, y et z, soit 6,25% d’augmentation de surface. Cette réaction métamorphique entraîne une dilatation (de 6,25%) de la surface des couches superficielles, sans variation de la surface des roches situées en profondeur. La superficie hydratée se décolle donc de sa base anhydre en formant des bombements souvent fracturés à leur sommet.

C'était pour sous-rire, car l'orthographe et moi... et on a le choix pour la teinte ! Pas facile de rendre en photo leur teinte naturelle à certains minéraux translucides ou transparents, d'autant plus que celle-ci varie parfois sensiblement selon l'incidence de la lumière naturelle.

Ou alors il l'a eue en échange de ses Mure ...

Lune ou l'autre

Salut Silencieux, et la bienvenue. C'est une partie d'un nodule "cône in cône" des schistes de l'Ordovicien (Ashgill) de la Montagne Noire, Hérault. Nodule, espèce de "galette", à structure particulière: cône in cône... dans le plan équatorial on trouve parfois un gros trilobite. Il y en a de beaux exemplaires exposés au musée de Lodève.

Vous avez dit torchères : images, Hassi Messaoud, DZ.