en conservation on va considérer la stabilité chimique et structurelle, en chimie savoir si le pH est stable ou pas, si acide > dé-acidification ou charge passive, en structure on va avoir ici une contrainte de modification d'environnement, l'objet doit posséder un taux d'humidité propre, celui ci est modifié. Exemple du Vasa, on l'imprègne de résine pour substituer l'eau. La question chimique difficile est: le traitement va-t-il modifié l'objet? En terme de pierre la chimie peut définir l'objet, exemple les pyrite/marcasite.
Donc, mesurer le pH, mesurer le pH des solutions de lavage. Voir si c'est stable > problème n°2 la structure
Si mouvement par dé-hydratation il faut trouver une solution, l'alcool en est une, la résine en est une autre. Dans l'idéal il faut mesurer les deux états opposés pour connaitre les éventuels mouvement naturels, sinon on risque d'isoler trop ou pas assez...
Mettre en balance gain et risque, si on perd un peu en esthétique par une résine trop présente mais qui conserve bien, ok. L'idéal serait aucune modif mais si c'est un objet instable et condamné...
Enfin si on peut faire d'une pierre deux coups, une imprégnation qui restitue l'humidité, genre un PEG ou autre rétenteur
L'idée du bocal d'alcool c'est aussi celui des micro-environnement, on fait aujourd'hui des vitrines en atmosphère contrôlée... là c'est l'aspect final: coût, intérêt historico-scientifique, rareté etc, qui justifie l'effort que l'on fera.