otto lidenbrock

Les volumes de fluo roses mongoliennes chinoises sont bien supérieurs à ceux de Cham' mais les couleurs sont faiblardes.

Roddingite italienne, sans doute vallée d'Aoste Colombie Pederneira Roddingite italienne, sans doute vallée d'Aoste Hilton Hilton Les apatites violettes du Karakorum sont rares Chrome tourmaline sur gangue Des nouvelles cassitérites de Namibie Une superbe Vésuvianite provenant des roddingites italiennes, sans doute vallée d'Aoste. NFS

Wolfram, en lames 'crues' dans le quartz gras, "dans son jus" [100mm] Spécimen sans doute extrait vers 1860. Anc. coll. Acad. Philadelphie

Molybdénite, en petites masses globulaires. [55mm] Montbelleux

Cassitérite en cristaux un peu ternes (altération hydrothermale ?) dans le quartz [80mm] Montredon-Labessonié, époque mine

Scheelite (massive, jaune, difficile à différencier de la topaze sans lampe de wood), Wolfram, Pyrite. [45mm] Montbelleux, époque mine anc. coll. Vcevolod Tjetchizky

Wolfram en lames 'crues' dans le quartz, après dégagement provenant d'un bloc des anciennes haldes, échantillonné par un collectionneur local célèbre. [120mm] Le wolfram est associé à de la pyrite et en deux endroits avec de la fluorine violette. Je n'ai pas pu retrouver de citation de ce minéral dans la littérature. Certaines peintures jaunes pourraient être de la russellite. Il n'y a évidemment pas de doute sur la provenance (inclus Montbelleux)

Spécimens typiques de la mine d'or de Morro Velho, comme déjà indiqué par un grand connaisseur.

Décédé des suites d'une longue série de soucis cardiaques, son sourire illuminait la minéralogie de collection turinoise. Associate Professor Department of Mechanical and Aerospace Engineering (DIMEAS) à l'école Polytechnique de Turin il nous impressionnait par son parcours. Il avait rejoint son père dans la collection des minéraux du Piémont, ceux des roddingites, dans le quartz, surtout Alpin et dans les gemmes des pegmatites. Sincères condoléances à son père Tiziano et sa maman Irène, d'un vieil ami…

Brochantite de Milpillas, les plus belles connues Deux très belles azurites, les photos ne valent rien… Les azurites de Milpillas ont tué le marché pour longtemps. Une nouveauté dans un vieux thème

Les fluorines classiques avec leur ex-frenkel Nouveau, pas jojo et cher Un vieux classique Des nouvelles pyros chinoises évoquant la Pennsylvanie Des nouvelles barytines mexicaines, de Milpilas ! (hors de prix, on se croirait au Maroc)

Quelques rapides photos … La Fluorine qui n'avait jamais été à la mode, l'est maintenant à grande échelle

Je ne sais pas quels sont les habitus des rutiles de Baret ?

Barytine bleue, corrodée en surface, implantée dans le quartz dauphiné et rouillé. [180mm] Puits noyé, ca1990 Cristallier : Laurent Gautron

Pyromorphite, masse de cristaux prismatiques bruns. [35mm] (Pranal) Noter l'étiquette un peu olé-olé…

Très juste, il pourrait aussi s'agir de 'boules' d'un carbonate. NB: la chlorite en 'boules' est commune d'en autres parties des Alpes. NB : les altérations de la chlorite, c'est tout un poème… Le grand spécimen du Muséum de fluorine rougeâtre de Chamonix, offert par Total, a sans doute été dégagé naturellement de sa pellicule de chlorite quasiment sans attaquer la fluorine...

John Ruskin [London, 08/02/1819 – Coniston, Cumbria, 20/01/1900] Fameux homme de lettre anglais, théoricien et poète de la montagne, critique d’art, dessinateur, photographe , collectionneur de minéraux. Il collectionne les minéraux dès l’enfance, et, déjà à 16 ans, il rêve de fluorine rose ; toute sa vie, il rassemble plusieurs collections de minéraux. La plus importante est aujourd’hui conservée au Guild of St George Museum (Ruskin Gallery) à Sheffield (GB). Il donne aussi des collections à de nombreuses écoles , au Musée de Kirkcudbright (Ecossse) et au Coniston Institute (Cumbria). Les restes de sa collection personnelle, qui était de 3000 spécimens - mais une partie a été vendue aux enchères, est aujourd’hui exposée à Brantwood. Pour Ruskin, la minéralogie est un pont entre la Nature et la Nature divine, ainsi par exemple, le quartz peut-être pur ou impur, symbole de l’âme humaine. Dans sa philosophie, ses collections, et les musées d’histoire naturelle, doivent plus servir à l’enseignement de la beauté qu’à celui de la science, à l’égal des musées d’art. Il n’omet pas de rappeler que les plus beaux textes, ou même les œuvres de son « cher Turner » ne lui ont jamais procuré la même qualité de plaisir que sa première boite de minéraux. Il dédie une part non négligeable de son activité à la minéralogie, qui contribue à l’inspirer et à l’apaiser, tout particulièrement à travers des incessantes lectures sur la minéralogie et la cristallographie ; à travers l’art de collectionner, avec la contemplation et ordonnancement de sa collection ; à travers l’étiquetage de ses propres spécimens acquis sur le terrain ou par achat, aussi bien que ceux du BM(NH) ; à travers le graphisme de la silice et des agates, dont il est amoureux… La possession des spécimens n’est pas primordial pour lui. Il n'y a pas de doute que ce génie soit un des plus "grands hommes" collectionneur de minéraux. La nouvelle expo locale de cailloux construite autour des restes de la collection de Ruskin C'est là que Ruskin passe les dernières années de sa vie, perturbées par la maladie. Cette très rare image (Aquarelle de Emily Warrren's) montre un cabinet de collectionneur de minéraux vers 1880… sans minéraux visibles, car ceux-ci ne sont pas considérés comme sérieux, à l'ombre de celui qui a forgé le concept d' Histoire de l'Art et en a été le premier professeur à Oxford. On note dans le bureau de Ruskin et son bow-window, les tiroirs bourrés de spécimens et la bibliothèque avec sans doute les deux Sowerby. Il s'agit sans doute d'une image apocryphe.

Deux documents relatifs au Beix, les feuilles de paye de Pierre Maury et Guy Maury, mineurs au Beix. Celle de Pierre est datée de mai 1942, période troublée, si il en est. 200 heures dans le mois… Celle de Guy est datée d'août 1960. 182 heures dans le mois et des congés payés … Les prélèvements sociaux sont dérisoires.

Un petit cadeau de noël pour amoureux du Cu… Les cuivres sont absolument 'stunning' comme on dit là-bas Un spécimen étonnant que je n'ai jamais vu à Tucson en expo Perdu là au milieu , le minéral vert est bien sur de la malachite Classique parmi les classiques et "ouf" aussi Les gros cristaux sont peu commun à Bisbee (et presque tous conservés à la Smithsonian)

Yes

Bien de chez nous……… C'est évidemment loin d'être la plus "grosse du monde", mais un très bon cailloux quand même. Puet-être 500mm de haut pour l'Alma Rose Une très belle série de stibines japonaises…

Une localité unusuelle Classique parmi les classiques Très commun, mais préparation sympa… ici Un vieux de la vieille Une sexangulite qui envoie du gros… A nouveau un petit classique. Les combos barytine/pyro sont vraiment un des joyaux de la minéralogie hexagonale.

"autant de pièces qu'on en voit sur le marché actuellement ", juste un petit lot provenant de Vcevolod, peut-être dix spécimens en tout dont deux correctement cristallisés. C'est passé chez un de nos plus grands marchands.

A la mémoire d'Alexandre Delerm Une "vieille" "tétra bleue" de la Mine à Giraud [50mm] Découverte Gérard Meneghetti, dit Minet

Un saphir intriguant Un magnifique camée renaissance Encore un autre très bel objet Une exceptionnelle plaque ou vitre en cristal de roche. Peut-être 250mm ! Les éléments plats comme celui-ci étaient considérés comme le sommet du travail lapidaire à Milan. Encore une pierre étonnante…