L'Ourso

Non, c'est pas fréquent. Je ne connais que celle-ci. Au moins de cette taille. Si d'autres en ont ... à poster.

J'adore les babelquartz. Les beaux ne sont pas fréquents. Un de Margnac (l'ancienne carrière du XIXème) Et un du Puy de bos Juste pour documentation, c'est pas bien beau association béryl, apatite et grenat du Pécout Et un autre truc de Vénachat, l'orthose presque translucide

Je ne connais pas trop sa situation. Pas sûr qu'il était prospecteur, ni qu'il travaillait pour la cogéma. Il collectionnait surtout les coquillages et vu sa collec, il avait du passer un bon moment dans le pacifique et dans l'océan indien. Aprés, oui, il trainait des cailloux CEA dans sa collec. Mais pas tant que ça, pas plus qu'un collectionneur étant passé dans le Limousin à l'époque. Des amis qui ont travaillé à la Cogéma, personne de le connait. Bon, il y avait du monde. Mais je veux bien des preuves formelles sur le bonhomme, cela m'intéresse fortement. Pas des "on dit" et des étiquettes telles qu'il aurait pu faire.

Oui, c'est tous des grenats de pegmatites. Il y a eu du trés beau la Corréze, avec spessartite sur béyl. Juvigny est un collectionneur des années 60 à 90. C'est récent. Sa collection a été vendue aux enchères en 2015.

Deux grenats du Mas barbu, vieille découverte Grenats d'une autre carrière de pegmatite et de kaolin, celle de Marcognac prés de St Yrieix, ancienne carrière Alluaud père acquise en 1785 Un autre, ancienne collection Juvigny

Un petit grenat de Corrèze, le puy Murat

OUAHOU ! Le premier, ça c'est du spessartite ! Je peux te dire que c'est du top pour pour les monts d'Ambazac et sans doute France. Belle trouvaille.

Nous n'avons hélas pas d'iconographie de ces boucles d'oreille. Il faudrait retrouver, peut être, les descendants de la comtesse. Bonjour La Pioche. Tes grenats sur quartz sont supers. Comme je sais que tu veux prospecter par la bas des grenats du Mazataud. Ils sont dans un autre contexte, plutôt des aplites comme à Bessines et au Mas Barbu.

Intéressante agrinièrite, Pas courant de mettre la main sur une vraie. Beaucoup de matériel circule avec ce nom qui n'en est pas à l'analyse. C'est souvent de vulgaires gummites oranges. Et belle petite strengite. Vu le nombres d'étiquettes Behier de Chanteloube, il aimait le limousin. Il a raison. Un peu de vert, c'est pas joli, c'est pour les provenances Torbernite de Fanay Torbernite de Margnac Torbernite du puy de l'age Torbernite de Jouac Torbernite de Chabannes

Brigitte ça devient ancien, oui. Je ne sais pas si elle fait encore le pont. L'orthographe de la barost, barrot,etc. a beaucoup varié, mais on n'avait pas encore cette version. Bravo ! le Pécout, souvent identifié à la barost n'est pas si vieux, c'est de la fin du XIXème au début du XXème. Par contre les anciens baptisaient tout la barost, les eaux vertes, Avent, etc. La Bachellerie Et le seul que j'ai trouvé de la grosse poche du puits de Bos où beaucoup se sont farcis

Alors le Morion, on s'arrête en si bon chemin ? Compreignacite de Margnac, commune de Compreignac. Possible billietite (ou autre chose, c'est toujours trés dur à l'oeil) avec uranophane, Margnac

Bonjour. Il y a eu des béryls gemmes taillés dés le début du XIXème, pour preuve celui de l'Ecole des mines figuré dans le HS n° XV du RM et offert par Villain. Ce dernier était actif dans les années 1820. Ou alors la fameuse paire de boucles d'oreille en émeraude du Limousin offerte par Alluaud à la comtesse de Nemours en 1845. Par contre, il est certain que si un minéralogiste ne passait pas par là, les gemmes étaient balancés dans les déblais. Un fait parmi d'autres, j'ai eu comme voisin un ancien mineur du CEA (décédé au milieu des années 90), il avait fait partie de ceux qui ont creusé les tranchées de recherche dans les années 50 où le Morion, et d'autres, ont trouvé les héliodores. Il se souvenait bien des quartz qu'il y avait vu, mais ne savait pas ce qu'était un béryl. Il n'avait même pas remarqué les poches d'héliodores, pourtant c'est joli et cela se met facilement dans la poche. Les poches des années 1900 furent conservées parce que des Besnard du temple, Barret et autres visitaient les carrières régulièrement à ce moment là. Quand on lit la littérature on voit qu'il y a eut deux moments où les érudits locaux ont écrit sur le sujet : la première moitié du XIXème (Alluaud, Alloux, Villain, etc.) et les années 1900-1930 (Besnard du Temple, Didier, etc.). Cela correspond aux entrées en collection. De plus au début du XIXème les moyens de transport étaient lents. Chanteloube c'est une journée de cheval de Limoges. Alluaud n'y allait pas tous les 4 matins. C'est mon ressenti, à en discuter autour d'un verre.

La suite ! La suite !

Allez le Morion, met les beaux.

Un peu de Margnac autre qu'uranifère et pegmatite Barytine Mélantérite, ou autre chose Calcite Calcite sur quartz Calcite et les fameuses calcites du niveau -235 Sans oublier les fluos

Trés belle bismuthinite Otto, cela commence a faire un beau cristal sur gangue. Sur celle de Boubée, les traces jaunes font plus penser à de la ferritungstite ou truc du même genre qu'à de la scorodite, à voir.

Quelques autres uranifères, aprés on change. Torbernite fraiche de Vénachat. Uranophane alpha de Vénachat, hélas je suis nul pour les photos micro Autunite et phosphuranylite un classique de Margnac Margnac

Un grand classique de Vénachat l'autunite sur la pegmatite. Autunite sur quartz, Vénachat Sphérule de pechblende, Margnac. Auréole de divers produits orange et jaunes autour d'une pehblende de Margnac Petit tour en Corrèze. Uranocircite du Jaladis Et en Creuse. Autunite d'Hyverneresse

C'est dans un garage aéré et je maintiens un débit de dose de 1,2 uSv/h à 1 m et dans le bruit de fond à 3 m. En Limousin on a un bruit de fond élevé, 3 ou 4 mSv annuel c'est normal sur le leucogranite des monts d'Ambazac. Donc, régulièrement j'en lache ; si il y en a qui rentrent. Mais c'est dur à faire rentrer ces bestiaux. Une rareté : agriniérite de Margnac, site type et pour le moment le seul. Photo macro, mais c'est bien cristallisé en tablettes orange.

Belle carminite. Ils ne sont pas si mal que ça tes béryls du Pécout Lapioche. Un peu d'uranifères, je ne les sort pas souvent. Grand classique dans tous les sens du terme : autunite de Margnac Et quelques chose de plus rare mais historique : une pechblende de la tranchée du prés Cantiant. Première Pechblende française, ex coll. Sarcia. Pechblende du filon de la sapinière, mine Henriette, toujours ex coll. Sarcia

Bonjour. Par tradition, on dit que c'est du kaolin, car analysé un fois par Damour au XiXème. Bon, faut voir. Si le Morion, s'y met, ma pièce va être de la rigolade. Jussieu en a aussi un top sur gangue. Un béryl de Saint Hilaire les Courbes en Corrèze, recollé.

Oui, longtemps gardé avec juste un pas beau qui dépassait et j'ai dégagé le reste il y a deux ans. Certains on bien mieux Une pharmacosidétite de MasVieux, les mines d'or ont fourni quelques beaux arséniates La Vilatte fournit de belles muscovites testacées ci-dessous, déjà figurée dans le RM avec une erreur sur le découvreur Mais les plus mignonnes c'étaient celles qu'on trouvait (25 ans) dans l'orthose au fond de la descenderie de Chabannes avant que le site soit interdit Pour les grenats, non, c'est vieux et c'est pas moi qui les ai trouvés.

Un petit béryl des mont d'Ambazac, ex coll. Sarcia Et pour Lapioche, des grenats du Mazataud Un petit béryl des mont d'Ambazac, ex coll. Sarcia Et pour Lapioche, des grenats du Mazataud et un peu de Vénachat,

Beau béryl de la Barost. Le MNHM a aussi une belle série exactement identique, dommage qu'il ne les montre pas. Pour faire pendant, d'autres petits béryls, mais de Longechaud. Ca c'est en partant vers Peyrat le Chateau, c'est plus du tout dans les monts d'Ambazac. Donc un avec un espèce de canal de croissance.

Géoforum c'est fait pour ça Lapioche. Comme cela tu vois bien l'auréole que ça fait, c'est typique. Après, au Muséum, ils ont des écailles fraiches qui frisent le centimètre et caca d'oie, non altérées. Un arthurite de la Vilatte Haute (analyse Meisser, 2010 dans le RM N°96)