Théophraste

Veinarde ! On aura droit à un compte rendu photo ?

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Je viens de tomber sur une annonce de Le Sablais sur GéoWiki, "Mi Octobre 2010, on en est à plus de 1800 articles et plus de 2000 photos ou documents." Chapeau à toutes l'équipe ! Et grand merci !

Il faut bien compendre les gestionnaires de forum, ce que demande les uns, les autres veulent le contraire. Et bcp réclament, mais peu s'investissent... Exemple, fermer les sujets, pourquoi pas, mais bp de monde a réclamé de regrouper les sujets similaires, au motif que c'est pénible d'avoir x sujets sur le même thème. Et pas besoin de s'agiter sur sa chaise comme un cabris en criant le forum, le forum, le forum*, pourquoi ne pas agir ? Par exemple, pour le thème "Découverte récentes", il suffit de créer un sujet par saison, style "Découverte récentes automne 2010", puis "Découverte récentes hivers 2010/2011", cela limite ds le temps la durée de vie du sujet et donc sa longueur. Il y a plein d'autres idées, vous souhaitez des sujets plus "intelligent", pourquoi ne pas suivre les publications de nouveaux minéraux de l'ima et à chaque nouvelle espèce créer ici un sujet avec un résumé de la publication ? Ou publier des comptes-rendus des publications des nouvelles espèces paléontologiques découvertes en France ? Pourquoi se plaindre quand on peut agir ? C'est pas les possibilités qui manquent, non ? Amicalement à tous , Théo'. * = clin d'oeil à un grand homme.

Attention à la législation dounanière, si elle est comme en Turquie, où il est interdit d'emporter de la terre d'islam (c'est formulé ainsi), un français à fait 3/4 mois de tôle l'année dernière pour un seul oursin acheté sur un marché.

Bonjour, pas de soucis, quand l'info est intéressante, pourquoi se priver ? J'ai tjs rêver d'aller en Tasmanie, surtout pour voir le forêt primaire "froide". Vraiment le bout du Monde !

rasc50, je vous envoi en mp, vous pourrez souscrire à une mois d'annonces (qui financent le forum et géowiki, hébergement et développement) et demander à ce que rien ne soit publié, une forme de mécénat :-). Il faut transformer ses souhaits, bonnes intentions en actions . Merci d'avance. Parler, c'est bien, agir, c'est mieux, comme dis et écrit ici ou là. Pour mistral34, retouche sur GéoWiki, grosse actualisation de Géoforum, intégration d'un nouveau site, développement de deux nouveaux services, qui seront intégrés sur différents sites + actualisation et gestion de l'existant + publication de news, de l'actualité, , etc. Ca occupe . Bien amicalement à tous, Théo'.

Bonjour, je rassure Rémi, contrairement à ce qu'il a écrit, la fréquentation du forum (visites et pages vues), le nombre de sujets et messages postés n'a jamais été aussi important . Pour le reste, le mieux, ici comme ailleurs, est que les bonnes volontés se mettent au boulot, notamment en publiant des sujets à la hauteur de leur aspiration et en les animant . Bien amicalement à tous, je retourne à mes travaux web, de "gros chantiers" en cours, vivement les vacances...

Le géologue Peter Amacher a passé dix ans à chercher des minéraux sur les traces des mineurs construisant le tunnel du Gothard. Ses trésors sont exposés et il peut désormais continuer à chercher… à l'air libre. Portrait. Ce n'est pas qu'il attend l'hiver avec impatience, mais l'arrivée de la neige va de pair avec une nouvelle occupation, pour le géologue uranais Peter Amacher: dans son atelier et musée privé d'Amsteg, dans le canton d'Uri, sous un impressionnant pont de l'actuelle ligne du Gothard, le «cristallier» - chercheur de cristaux - va pouvoir patiner les marbres blancs et les gneiss trouvés sur le chantier du nouveau tunnel. Les cubes et autres volumes aux belles marbrures grisées, étiquetés «Neat Steine» («pierres de la NLFA») sont déjà très appréciés des acheteurs. «Des collectionneurs allemands, italiens, autrichiens et même américains en sont friands, explique Peter Amacher, car le nouveau tunnel est évidemment quelque chose de spécial...» Les erreurs du tunnel routier Peter Amacher, qui réalise aussi des expertises géologiques et, entre autres occupations, organise des excursions minéralogiques dans la région du Gothard, exerce son art depuis quarante ans. «J'ai commencé avec mon oncle, dit le bourlingueur des cavernes et des sommets. J'ai su très tôt qu'on cherche parfois pendant des semaines sans rien trouver. Il faut de la patience…» Lorsque la construction du nouveau tunnel ferroviaire a été décidée, Peter Amacher a immédiatement pensé qu'il ne fallait pas «répéter les erreurs de la construction du tunnel routier», inauguré en 1980. «A l'époque, on a donné aux invités d'honneur tous les minéraux trouvés durant les travaux», rappelle le géologue. Des menaces Dans un texte publié lors de l'ouverture de l'exposition des minéraux du Gothard, en 2006 à Seedorf, Peter Amacher rappelait que son prédécesseur Ludwig Lussmann, chargé par le canton de la surveillance et de la sauvegarde des roches d'intérêt lors de la construction du tunnel routier, n'avait pas eu la tâche facile. «Les mineurs ne comprenaient pas qu'ils n'avaient pas le droit de ramasser les cristaux. Lussmann a reçu des menaces et a vu des fissures intentionnellement abîmées», expliquait Peter Amacher. Pas que des amis Il ne reste donc pas grand-chose des trouvailles de ce chantier. Dans la perspective de la NLFA, le gouvernement uranais a nommé un nouveau «surveillant» des minerais, et surtout décidé de conserver les trésors trouvés. C'est Peter Amacher qui a été chargé du travail. Il s'est entouré de quatre collègues pour arpenter les galeries fraîchement percées. En comptant le temps la construction d'une nouvelle centrale électrique à Amsteg, spécialement pour le chantier, et la construction du puits d'accès, Peter Amacher a travaillé au total quatorze ans, jusqu'à l'année dernière autour du chantier de la NLFA. «Pas tous les jours, mais parfois des heures et des heures de suite.» Comme son prédécesseur, Peter Amacher n'a pas eu que des amis dans le tunnel. Il a dénoncé des ouvriers chapardeurs. Certains ont été condamnés à des amendes pour recel, l'un a été licencié, mais en relation avec d'autres problèmes. Arriver très vite sur les lieux «Mais j'ai aussi trouvé de bons collègues, qui m’ont appelé au milieu de la nuit lorsqu'ils voyaient une fissure intéressante.» Une «fissure alpine», ou un «four alpin» est l'endroit où les cristaux, chlorites, quartz, adulaires, fils d’amiante ou pyrrothites et anhydrites (ces deux derniers ne se trouvant que dans le tunnel, car ils s'altèrent à l'air libre et prennent un aspect rouillé) se sont formés, il y a des millions d'années. Le tunnelier étant suivi par des bataillons de mineurs chargés de sécuriser les lieux, les fissures et autres grottes sont bétonnées très rapidement. Il faut donc être très rapidement sur les lieux. Peter Amacher savait quand il partait, mais jamais exactement quand il revenait. Or, dans un tunnel qui mesurera, une fois fini, 57 kilomètres, les distances sont… longues. «Souvent, pour ne pas revenir en marchant, seul, dans le noir quasi complet, je préférais attendre un train d'ouvriers rentrant du travail. Une fois, j'ai attendu deux heures et demie…» Pas de conservation aux Grisons Peter Amacher est heureux de pouvoir retravailler à l'air libre, mais il secoue la tête en pensant aux occasions perdues. Car si le Tessin a aussi nommé un «surveillant des minéraux» et s'il a pu inventorier toutes les fissures - environ 250 - sur le tronçon uranais et documenter quelque 50 minéraux différents, la partie grisonne est restée sans surveillance des minerais. «C'est perdu à jamais, regrette l'Uranais. Aux Grisons, ce sont les communes qui sont compétentes. J'ai reçu un mandat de Sedrun, mais à partir de Tujetsch, il n'y a plus eu de cristallier. A un moment donné, la commune a voulu sauver les meubles et a envoyé deux cristalliers à la retraite, mais c'était trop tard et ils n'ont rien trouvé.» Un impact favorable Car il faut être là «dès le début, pour connaître les gens et se faire accepter», ajoute le spécialistes des quartz. Dans le canton d'Uri, le versement d'une récompense aux mineurs qui trouvaient des minéraux a également eu un impact favorable, rappelait le canton lors de l'ouverture de la nouvelle exposition. La salle d'exposition du château A Pro, à Seedorf, abrite 250 minéraux trouvés durant les travaux au Gothard. Non loin, jusqu'à Brunnen, de nouvelles îles ont été construites sur les rives du lac des Quatre-Cantons avec des gravats du tunnel. Précieuses ou pas, les pierres du Gothard continuent à vivre. Ariane Gigon.

"L'association des joyeux profs de SVT français s'en occupe activement depuis quelques années. Cette année c'est même clairement devenu le centre des programmes du lycée." c'est une bonne nouvelle .

papyfred, les produits dopant sont interdits par l'I.M.A, attention aux contrôles !

quel travail papyfred !!! waouuuuuuuuuuu !

Vous êtiez à la bourse de Denver cedrick ?

yes olif, pour le rêve, cf ma signature, citation tirée d'Henri d'Ofterdingen, des travaux de surface heureux, un rêve à porté de main :-), pour les filons ds la montagne, faut plutôt avoir la foi en un nouveau Moïse qui ouvrirait la montagne en deux de son bâton (Moïse, si tu nous lis, tu connais mon adresse, j'ai tjs un grand cru en réserve).

Georges Charpak est mort mercredi 29 septembre à Paris à l’âge de 87 ans. Immigré polonais, il a obtenu la nationalité française en 1946 après s’être engagé dans la Résistance pendant la Seconde Guerre mondiale. Il a décroché le prix Nobel de physique en 1992 pour ses travaux sur les détecteurs à particules. Un grand Monsieur, avec Pierre Gilles de Gennes, décédé en 2007, la France a perdu deux grands physiciens.

Coucou 1frangin, pas de quoi, le sablais a resolliciter la chose hier, oki donc :-), ça va toi, je t'ai envoyé yun mp, j'étais inquiet de ne pas avoir de réponse :-).

Le BRGM, en présence de ses partenaires institutionnels, a officiellement inauguré l'Ecole nationale d'applications des géosciences (ENAG), le vendredi 17 septembre 2010. L'ENAG a également accueilli, à cette occasion, sa première promotion « Claude Guillemin », sous la présidence de Jean-François ROCCHI, Président du BRGM et du Conseil d'Enseignement de l'ENAG, et le parrainage de Jacques VARET, en charge de la conception de ce projet par le Ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche. Créée en 2009 par arrêté du Ministère de l'Écologie, de l'Énergie, du Développement durable et de la Mer et du Ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, l'ENAG s'inscrit dans les missions publiques du BRGM en matière de formation supérieure, et de son contrat quadriennal 2009-2012 avec l'État. Le BRGM est également l'établissement public français de référence en matière de sciences de la Terre, pour la gestion des ressources et des risques liés au sol et au sous-sol. Sa création est l'aboutissement d'une mission de prospective confiée en 2008 au BRGM par le Ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, sur la formation et l'emploi dans le domaine des géosciences. En complémentarité de l'offre nationale de formation de l'enseignement supérieur des universités et des grandes écoles, l'ENAG propose à des ingénieurs une nouvelle formation de spécialisation professionnelle de haut niveau, dans la gestion durable des ressources minérales. Elle est également appelée à évelopper dans l'avenir des enseignements de spécialité, dans les domaines complémentaires d'applications des géosciences.D'une durée de 18 mois, la formation permet d'acquérir un Diplôme Universitaire (DU), délivré par l'Université d'Orléans. Son cursus original, qui comprend 1 mois et demi de terrain et 6 mois en entreprise, repose sur trois pôles de compétences techniques et managériales (géologie, géotechnologies et gouvernance). Pour sa première année de fonctionnement, l'ENAG accueille une promotion 2010 de 12 étudiants : 9 étudiants en formation initiale et 3 professionnels en formation continue.Implantée sur le site du campus BRGM d'Orléans, l'ENAG a le soutien de ses partenaires locaux : la ville d'Orléans, le Conseil général du Loiret et le Conseil régional du Centre.Elle bénéficie de la dynamique locale orléanaise entre : l'Enseignement Supérieur et l'Université d'Orléans (l'Observatoire des Sciences de l'Univers en région Centre, l'OSUC, l'école d'ingénieurs Polytech'Orléans), la Recherche et ses établissements scientifiques (CNRS, INRA,...) et les entreprises. « L'ENAG est une initiative innovante. Elle vient renforcer la reconnaissance nationale et internationale du haut niveau d'expertise du BRGM, dans une filière économique d'avenir et porteuse d'emploi, à l'horizon 2020. Elle répond aux besoins de compétences à très forte valeur ajoutée de nos partenaires industriels, dans les métiers des géosciences : aujourd'hui, les ressources minérales, demain, la géothermie, le stockage géologique du CO2, ou encore la préservation des eaux souterraines. » a déclaré Jean-François ROCCHI, Président du BRGM, à l'occasion de l'inauguration de l'École. L'ENAG forme des experts appelés à accompagner les entreprises, les institutions publiques ou les États, en France et à l'international, sur des problématiques en lien avec les enjeux mondiaux de développement durable : responsabilité environnementale et sociale des industriels auprès de leurs parties prenantes, prévention des risques, changement climatique, sécurité des approvisionnements énergétiques en Europe, développement responsable dans les pays en voie de développement.

Espace pour se présenter dans "vie du forum", pour celles et ceux qui le souhaitent, voilà , bon forum à toutes et tous !

Ce type de pratique est une escroquerie intellectuelle et financière, (comme d'autres, litho', homéo'). Lecture vivement recommandées : Devenez Sorciers, devenez Savants ! Faut-il avoir peur du paranormal ? Pour les physiciens Henri Broch, principal auteur de cet ouvrage, et Georges Charpak, prix Nobel, la réponse est claire : astrologues, faux mages et charlatans de tout poil sont les ennemis de la société. Des assertions pseudo-scientifiques des "scientologues" aux énigmes trompeuses proposées en prime time à la télévision, et des fausses coïncidences aux astrologues passant des thèses en Sorbonne, les auteurs "démontent" mainte affaire pittoresque montrant le faible niveau de culture scientifique de nos concitoyens. Ce faisant, et même s'ils affirment ne posséder aucune sacro-sainte vérité, ils affirment haut et fort leur croyance dans les vertus de la méthode scientifique. Or celle-ci, on le sait, est très inefficace pour analyser des phénomènes qui relèvent davantage de la sociologie des croyances que de la logique des sciences exactes. Du coup, on devient certes un peu plus "sorcier" à la lecture de ce livre de recettes, mais pour ce qui est du "savoir" sur les parasciences et des raisons qui nous poussent à trouver une vérité en dehors de la science, il faudra les chercher ailleurs. Victor Gasquet. Henri Broch, Georges Charpak Editeur : Odile Jacob / Collection : Sciences 222 pages - Français • Date de parution : 2002 • ISBN : 2-7381-1093-2 Soyez savants, devenez Prophètes ! Présentation de l'éditeur "Sans la science, on ne peut rien comprendre au monde moderne. Rien n'est plus important que de donner aux jeunes l'éducation dont ils ont besoin, qui fera d'eux des hommes et des femmes libres, capables de comprendre l'Univers qui les entoure. Il le faut, d'urgence, avant que des gourous, des marchands, des adorateurs de légendes ou des illuminés aient le temps de s'emparer d'eux. Qu'ils aient des savants le vrai savoir et des prophètes la lucidité et l'action éclairée." G. C. et R. O. " Ici, l'ambition philosophique relaie hardiment l'illustration de la démarche scientifique. " Le Monde. " Un plaidoyer pour la connaissance. " Le Point. Biographie de des auteurs : Georges Charpak est prix Nobel de physique et physicien au CERN. Il a entre autres publié La Vie à fil tendu avec Dominique Saudinos, Feux follets et champignons nucléaires avec Richard L. Garwin, Devenez sorciers, devenez savants avec Henri Broch et, plus récemment, De Tchernobyl en tchernobyls avec Richard L. Garwin et Venance Journé. Roland Omnès est physicien théoricien, professeur émérite à la faculté des sciences Paris-XI-Orsay. Gourous, sorciers et savants Savez-vous découvrir des sources souterraines ? faire bouger des portes en gonflant et dégonflant votre poitrine ? Prendre des charbons ardents entre vos mains ? Conduire la tête encagoulée ? Donner de violents coups de bâton sans faire mal à votre partenaire ? Etes-vous doués de " pouvoirs " ? Ce livre vous montre comment y parvenir. Ce qui revient à déjouer les charlatans et marchands d'illusion qui cherchent à vous berner pour abuser de votre crédulité. Ainsi fait-on grand bruit autour du saint suaire de Turin ou du sang miraculeux de saint Janvier. Ce livre vous donne une recette, parmi d'autres, pour accomplir vous aussi ces miracles. Soyez miraculeux ! Contre l'autorité sectaire des gourous, il défend la pensée scientifique en vous amusant. Henri Broch Editeur : Odile Jacob / Collection : Sciences 211 pages - Français - Date de parution : août 2006 - ISBN : 2-7381-1739-2

Quelques sites ressources pour une approche scientifique du bizarre ou "paranormal", à consulter sans modération : Laboratoire de Zététique, Université Nice-Sophia Antipolis. Dirigé par le Professeur Henri Broch, Docteur es Sciences, le laboratoire de Zététique est le seul laboratoire universitaire consacré à la recherche scientifique sur les phénomènes paranormaux. Club Zététique du collège Jean Giono - Développer la zététique, l'esprit critique et la culture scientifique des élèves par l'étude du paranormal (surnaturel, télépathie, parapsychologie, radiesthésie, télékinésie, astrologie, ovni). Le cercle zététique - Le Cercle Zététique, l'association des sceptiques français. La Zététique est l'Art du Doute. Les phénomènes paranormaux - La zététique est l'art du doute et de l'investigation scientifique des phénomènes paranormaux. Les pseudo-medecines - Présentation des pseudo-médecines. Quackwatch : guide sur la fraude et le charlatanisme - Guide sur la fraude et le charlatanisme dans le domaine de la santé. Science et paranormal - Comité belge pour l'investigation scientifique des phénomènes réputés paranormaux. Association française pour l'information scientifique (Afis) : se donne pour but de promouvoir la science contre ceux qui nient ses valeurs culturelles, la détournent vers des oeuvres malfaisantes ou encore usent de son nom pour couvrir des entreprises charlatanesques.

Hello, sauf erreur de ma part, Palygorskite et rectorite sont deux minéraux différents, pour La Table, aux dernières publications, c'est de la rectorite, pour Allevard, mystère, faut de recherches et publications. Pour olif : non, pas raisonnable, mais quand on calcule les frais qu'il y aurait, c'est là de la "vrai" exploitation minière, par contre, une exploitation de qq filons de surface, pour les spécimens de collection, oui, cela serait possible, et assez facile/peu couteuse (sans en énergie !), par contre pour les "belles sidérites comme ds le temps", hum... De mémoire, il y avait deux travers bancs fin 19 ème, un de 450 m environ en haut, et un de 1,7 km en bas, ce sont les distancex horizontalex pour atteindre les filons donc... En partie dans les cargneules et le gypse, avec plein d'eau.

L'allevardite est encore pour moi un mystère, faut d'avoir bossé les publications d'époque, tiens un truc à faire cet hivers (au lieux de bosser sur des sites net, par ex). Donc, en gros, il y a une version assez répandu que cela serait en fait une description de rectorite de la Table en Savoie (Allevard est en Isère). Pq pas, sauf qu'à l'époque, 19ème, entre Allevard et La Table, bon, ils étaient en mesure de faire la différence, et puis surtout il y a à Allevard un minéral de même nature que la rectorite de La Table, je n'ose appeler cela rectorite faute d'analyse, disons comme les anciens du "cuir de montagne", j'en ai trouvé... L'Allevardite est donc "un cuir de montagne", appellation discréditée bien sur, à quoi correspond la description ou les descriptions d'origine ? Nous le saurons dans un prochaine épisode d'A la recherche de l'Allevardite perdue"...

Bonjour, pour ajvd, pas très allevard le quartz. Quand aux sidérite, elles ont tjs été rares, même lors de l'exploitation, si in fine il y a bcp de spécimen 19ème et même parfois 18ème dans les musées, aussi bien en France qu'en Europe ou amérique du Nord, peu de spécimens corrects, sans parler de l'état dans lequel ils sont de par les conditions d'extraction ou de collection (on sait que les musées sont des lieux peu propice à la conservation des spécimens minéralogiques). Il est possible pour les spécimens 19ème qu'une seule découverte ait fourni la plupart des bons spécimens. Quand à réouvrir qq chose à la taillat, il faudrait relever un travers bancs dans des terrains variés et parfois très instables, puis des galeries à travers des panneaux exploités gigantesques, cela n'a aucun sens, les spécimens de sidérite ne valent rien ou presque, donc pas d'entreprise commerciale possible, quant à un projet public, il faudrait dépenser des millions d'euro pour -peut être- qq spécimens de sidérite et un peu d'autres espèces, sans commentaires. On ne parle pas ici de grattages de surface, mais dans des terrains variés et parfois "pourris", de travers bancs de plusieurs centaines de mètres voire kilomètres, puis de centaines de mètres, voire kilomètres de galerie. Le tout dans des zones activement parcourues par la flotte. Pour info, qq années après la fin de l'exploitation, ds les années 1920, tout était déjà inaccessible et les experts de l'époque déclaraient inepte une réexploitation, ne serait ce pour les couts de relevage des travers bancs et galeries... Amicalement, Théo'.