Salut à tous un petit mot du site Le Sthalberg je pense que pas mal d'entre vous y ont au moins une fois rendu visite à se site minéralogique d'exception pour l'Hématite de fer. Malheureusement de gros travaux ont été fait sur la bas de la parcelle, je voudrais rapeller que le but du site et purement collection et la ce n'est pas le cas car vu la taille du <trou> je ne sais pas combien de KG d' Hématite sont sortis, et à mon avis pas pour aller dans des vitrines. Je pense que les < miné
Les tubercules sont de plus grande taille avec une proéminence nettement plus accentuée. Un tubercule principal peut être entouré de plusieurs tubercules de dimensions plus modestes ; ils se regroupent par zones (bordure céphalique chez Dionide mareki, cranidium chez Selenopeltis)
mais peuvent être isolés, le plus souvent en zone médiane (tubercule médian).
Dionide mareki (bordure céphalique) Bain de Bretagne I et V - llandeilo (champ de 2 cm env.)
Selenopeltis sp. (fragment de cranidium)
Granulations et tubercules
Granulations et tubercules sont des proéminences qui se différencient principalement par leur taille mais également par leur positionnement sur la carapace.
Les granulations sont de petite à très petite taille ; elles couvrent parfois de grandes surfaces, parfois même pratiquement l’intégralité de la carapace comme chez Prionocheilus mendax, ou chez certains Pliomeridæ comme Placoparia.
Prionocheilus mendax (Bain de Bretagne - I et V) x 1,5 env.
Placoparia (Py
Les épines
Il n’est pas question ici des pointes génales qui, pour certains genres, peuvent être très développées (Nobiliasaphus ; Isabelinia ; Dionide ; Onnia)
Voir photos ci-dessous,
Isabelinia glabrata ; noter la pointe génale forte (x 1,5 env.)
Dionide mareki ; Pointe génale, angle génal et joue droite (x 4 env.)
Onnia seunesi ; Pointe génale et fragment de limbe (x 3 env.)
mais plutôt des épines plus ou moins longues et effilées, qui parfois se déploient à la périphérie de la c
Il est fréquent de constater la présence chez de nombreuses espèces de trilobites (ainsi que chez de nombreux arthropodes modernes), de tubercules, granulations, épines, rides diverses, « puits » plus ou moins profonds…etc. Faire la part de ce qui ressort de la pure « ornementation » ou de l’utilité biologique est souvent délicat. Voici, d'après des spécimens de l'Ordovicien armoricain, quelques dispositifs (sans doute injustement qualifiés « d’annexes ») qui devaient jouer un rôle important da
Une grande partie des trilobites que j'ai pu récolter dans le massif armoricain, provient de nodules fossilifères.
Les nodules recueillis à la surface des champs (synclinaux du sud de Rennes) sont souvent très nombreux. Leur dimension varie de 2/3 cm, à 10/12 cm, certains atteignent 15 cm environ. La moyenne se situe aux environs de 6/7 cm. Leur forme est le plus souvent allongée, ovoïde. Les formes discoïdes sont courantes. Les petits nodules montrent une structure sphérique plus accusée. Ce
Voilà un spécimen, sans doûte peu spectaculaire, mais que je crois vraiment digne d'intérêt...
Trois stades ont été définis quant à l’évolution d’une carapace de trilobite :
Un stade larvaire, dit PROTASPIS, pour lequel la segmentation thoracique est inexistante.
Un stade intermédiaire, appelé MERASPIS, montrant de 1 à N -1 segments thoraciques par rapport à un individu adulte.
Un stade adulte, dit HOLASPIS, présentant une segmentation achevée.
L’exemplaire présenté ici, découvert dans un
trilobite "classique" provenant du Maroc :
nom : trilobite spider
provenance : erfoud, Maroc
c'est mon chouchou celui là! et ma derniere grande acquisition et belle affaire! je l'ai payé 15€ au lieu de 80€!!!!hé hé!
Voici quelques photos des coquillages que j'ai trouvé à la carrière.(Je n'ai pas eu à dégager les plus belle pièces,la plupart sont des "pièces du paresseux")