Nanil Posté(e) 7 septembre 2022 Auteur Signaler Partager Posté(e) 7 septembre 2022 il y a une heure, jean francois06 a dit : il y avait bien un bouquin : Les foraminifères, mais hélas je ne me souviens plus ni le titre exact, ni l'éditeur. " Les foraminifères : Systématique et utilisation en stratigraphie et en paléobiogéographie Livre jubilaire en hommage à Yolande Le Calvez" Je ne suis pas sur de penser à celui là. ? il y a 10 minutes, le sablais a dit : Pas trouvé autrement qu'en pdf libre C’est déjà pas mal, il ne me reste plus qu’à retrouver le temps pour le relire plus en détail... ^^ Seulement, avec un téléphone c’est moins évident à lire que sur papier relié et d’origine (... d’accord, on ne va pas non plus demander la lune au soleil ...). Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Nanil Posté(e) 7 septembre 2022 Auteur Signaler Partager Posté(e) 7 septembre 2022 Ce que j’aimerais vraiment commencer à percevoir, ce sont les gyrogonites ancrées dans la roches depuis des millions d’années, probablement dans ces galets, proches de ces tiges de charophytes parfois déstructurées chimiquement, déjà vues ici-même, sous différentes sections : J’aime beaucoup cette gangue bariolée qui les a protégées.., du moins des intempéries et du temps. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Nanil Posté(e) 7 septembre 2022 Auteur Signaler Partager Posté(e) 7 septembre 2022 =>https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S163106830200043X Alcide d’Orbigny se prit d’un tel engouement pour ce groupe, qu’il se fit apporter des sédiments du monde entier par les officiers et les médecins de marine qu’il croisait dans le port de la Rochelle (Fig. 2), afin d’y rechercher de nouvelles espèces. Quelques-uns de ces petits coquillages microscopiques étaient déjà connus et classés parmi les Céphalopodes, en raison de leur forme enroulée. Mais il constata qu’ils étaient différents des autres céphalopodes, non seulement par la taille, mais aussi par leur structure interne : les loges successives n’étaient pas reliées par un siphon, mais étaient séparées par une cloison percée d’un orifice (foramen en latin) ; il baptisa ce groupe du nom de « Foraminifères » et en fit un ordre nouveau. Il ne sut en fait que beaucoup plus tard, grâce aux travaux de Dujardin 〚7〛, qu’il s’agissait d’animaux unicellulaires. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Lispach Posté(e) 8 septembre 2022 Signaler Partager Posté(e) 8 septembre 2022 Bonjour,merci du partage,c'est très intéressant comme sujet. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Nanil Posté(e) 8 septembre 2022 Auteur Signaler Partager Posté(e) 8 septembre 2022 (modifié) Il y a 13 heures, le sablais a dit : Tu as ca déjà : http://paleopolis.rediris.es/cg/BOOKS/CG2011_B02/CG2011_B02.pdf Le 06/09/2022 à 17:26, Nanil a dit : Corne d’abondance ( Cornucopia ) 🤠 : Bon d’accord, c’est l’Involutinina de la douzième page. Il ne nous reste plus qu’à déterminer l’époque et le lieu d’origine de cette roche erratique...^^ Il y a 5 heures, Lispach a dit : Bonjour,merci du partage,c'est très intéressant comme sujet. Bonjour, c’est avec grand plaisir. Modifié 8 septembre 2022 par Nanil Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Nanil Posté(e) 8 septembre 2022 Auteur Signaler Partager Posté(e) 8 septembre 2022 (modifié) Ils auraient tout de même pu l’appeler Cornucopia, non mais sans blague... => https://www.researchgate.net/publication/258998839_Taxonomy_and_Phylogeny_of_the_Trocholinidae_Involutinina Modifié 8 septembre 2022 par Nanil Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Nanil Posté(e) 8 septembre 2022 Auteur Signaler Partager Posté(e) 8 septembre 2022 << Des Involutinina enroulées de manière trochospiralée exceptionnellement bien conservés ont été trouvés dans des roches carbonatées du Trias supérieur (montagnes Wallowa, Oregon, États-Unis) et du Jurassique précoce (Alpes calcaires du nord, Autriche). Leur conservation remarquable, liée à l'imprégnation de l'épreuve avant la recristallisation, a permis d'observer des caractères habituellement effacés par les processus diagénétiques et métamorphiques. Cet article propose une révision de la morphologie, de la structure, de la position systématique, de la phylogénie et de l'aire stratigraphique de la famille des Trocholinidae Kristan-Tollmann. De nouveaux critères permettant de distinguer les genres de trocholinidés, même en cas de recristallisation intense, sont présentés. Une clé d'identification et un nouvel arbre monophylétique sont proposés pour toute la famille. Les principaux résultats de ce travail sont que 1) Neotrocholina Reichel est définitivement exclue de l'Involutinina ; 2) les genres Andersenolina Neagu, Hottingerella Piller et Septatrocholina BouDagher-Fadel et Banner sont placés en synonymie avec Coscinoconus Leupold ; 3) le genre Ornatoconus di Bari est considéré comme synonyme de Trocholina Schlumberger ; 4) la distinction entre les genres Auloconus Piller et Lamelliconus Piller est abandonnée ; 5) cinq nouveaux genres (Coronaserra n. gen., Frentzenella n. gen., Kristantollmanna n. gen., Papillaconus n. gen. et Wallowaconus n. gen.) et trois nouvelles espèces (Frentzenella frentzeni n. gen., n . sp., Frentzenella perforata n. gen., n. sp., et Wallowaconus oregonensis n. gen., n. sp.) sont introduits ; 6) l'espèce ‘‘Trocholina intermedia’’ Henson est réinstituée ; 7) ‘‘Trocholina gigantea’’ Pelissie´ et Peyberne`s, et ‘‘Semiinvoluta verrucosa’’ Tollmann et Kristan-Tollmann sont renommés Coscinoconus limognensis nom. nov. et Papillaconus kristani nom. nov., respectivement ; et 😎 de nouvelles combinaisons pour plusieurs espèces de Trocholinidae sont fournies. La reconnaissance de deux sous-familles (Lamelliconinae et Trocholininae) et de douze genres au sein des Trocholinidae souligne la grande diversité de la famille. La diversification rapide et la distribution étendue qui caractérisent le groupe suggèrent que le potentiel d'Involutinina enroulé de manière trochospirale dans les études stratigraphiques et paléoenvironnementales est largement sous-évalué. >> => https://archive-ouverte.unige.ch/unige:31018 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Nanil Posté(e) 8 septembre 2022 Auteur Signaler Partager Posté(e) 8 septembre 2022 Voici apparemment le document source concernant le dernier post : => https://citeseerx.ist.psu.edu/viewdoc/download?doi=10.1.1.956.3305&rep=rep1&type=pdf Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Nanil Posté(e) 8 septembre 2022 Auteur Signaler Partager Posté(e) 8 septembre 2022 (modifié) Bientôt l’acquisition d’un microscope binoculaire Nachet avec un grossissement maximum de mille sept cent cinquante fois... et dès que possible le 108 mp qui ira avec. La fine lame (éclat de silex) d’une probable orbitoline vert émeraude attend son tour avec impatience, sans parler des pollens et autres trucs qui sont vraiment quelque chose... ^^ On va bien s’amuser. Modifié 9 septembre 2022 par Nanil Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Nanil Posté(e) 8 septembre 2022 Auteur Signaler Partager Posté(e) 8 septembre 2022 Après le manuel de micropaléontologie, le court traité en foraminiféralogie... => http://paleopolis.rediris.es/cg/BOOKS/CG2010_B02/fr-index.html Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Nanil Posté(e) 24 septembre 2022 Auteur Signaler Partager Posté(e) 24 septembre 2022 Attention là ça devient hyper technique. Once upon a time.., en bref ce matin j’ai ramassé un caillou sur le sable mouillé. A ce niveau là, on ne peut plus se fier qu’au volume et qu’à la forme des microcristaux constituant une partie de la roche, ceux-là même ayant remplacé la matière organique plus ou moins fragmentée, le tout lié par une matrice silicifiée d’origine calcaire. La photo ne sera certes pas toute aussi bonne que la musique de Fip pour l’instant, l’appareil photo dorsale de ce fichu téléphone ne fonctionnant plus.., mais le cœur y est. En très bref, la photo qui suit pourrait bien être l’empreinte d’une dent de requin... Déjà que la plupart de ce que je ramasse ne sont que des roches erratiques sorties de montagnes disparues aux affleurements tout autant disparus que leur époque associée..; alors si en plus on rajoute le fait qu’il n’y ait plus aucune chance de reconnaître quoi que ce soit de trace ou de structure biologique, ceci étant devenu microcristalin, et bien on est pas sorti de l’auberge... ^^ Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
le sablais Posté(e) 24 septembre 2022 Signaler Partager Posté(e) 24 septembre 2022 j'y crois pas trop. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Nanil Posté(e) 24 septembre 2022 Auteur Signaler Partager Posté(e) 24 septembre 2022 C’est un ami dont le père a travaillé au BRGM ou dans les mines, ou autre, qui m’a dit ça ce matin. Bientôt je la scierais en deux dans l’épaisseur pour y voir plus clairement sa forme et sa dimension la plus représentative. Moi non plus je n’y croyais pas trop, mais il existe tellement de choses curieuses dans tous ces domaines... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
le sablais Posté(e) 24 septembre 2022 Signaler Partager Posté(e) 24 septembre 2022 pour l'existence de choses curieuses, je suis d'accord avec toi ............. et c'est tant mieux pour notre curiosité Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Nanil Posté(e) 25 septembre 2022 Auteur Signaler Partager Posté(e) 25 septembre 2022 << Un point sur...: Lumière sur les débuts de la vie Loïc Bertrand, Lara Maldanis La période géologique antérieure à 541 millions d'années est appelée le Précambrien. Les roches précambriennes abritent les plus anciens microorganismes fossiles de la Terre, qui peuvent remonter à plus de 3,4 milliards d'années. Une bactérie est environ 10 à 100 fois plus petite qu'une cellule humaine. Ces formes microscopiques observées dans des roches ont été « cuites » à des températures supérieures à 100°C, substituées par des minéraux et sous pression pendant des milliards d'années. Un obstacle majeur à leur étude est donc la difficulté à prouver leur biogénicité, c'est-à-dire leur origine biologique. >> => https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-03096746/document Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Nanil Posté(e) 25 septembre 2022 Auteur Signaler Partager Posté(e) 25 septembre 2022 Coquille d’huître d’une époque lointaine, très ferrugineuse (la coquille ^^) : : Ces dernières sont toutes les roches que je dois scier en deux et en priorité. Vivement que les scientifiques s’intéressent à ces trouvailles !!! Dans tous les cas, avec ou sans guerre, le budget de tout ce qui est public a toujours été très limité, et en plus d’après ce que je crois comprendre, ce n’est pas dans leurs directives que de s’intéresser à des affleurements méconnus... voire inconnus. Peut-être qu’une fois certaines de ces roches erratiques ayant été déterminées dans leurs origines spatiales et temporelles, peut-être qu’à ce moment-là... qui sait, ne sait-on pas toujours ! ^^ Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Nanil Posté(e) 25 septembre 2022 Auteur Signaler Partager Posté(e) 25 septembre 2022 Certaines roches sont incommensurablement suprafriables. Le seul fait de les regarder ou de les prendre en photo avec un flash peut les fragmenter par choc thermique ou photonique, tel un vent solaire... ^^ Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Nanil Posté(e) 29 septembre 2022 Auteur Signaler Partager Posté(e) 29 septembre 2022 Ampleur des dégâts après triage d’automne : Le ridicule n’étant pas assassin, je continue donc mon petit bonhomme de chemin... ... et ce n’est que le début, sachant que tout ceci ne connaîtra pas la misère de la tristesse d’un monde banal. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Nanil Posté(e) 29 septembre 2022 Auteur Signaler Partager Posté(e) 29 septembre 2022 Inventaire du moment : * plus de vingt échantillons à discocyclines * au moins un vieux morceau de tuile * de nombreux grainstones * beaucoup de modèles difficilement définissables * une quinzaine d’échantillons comportant articles d’encrine, leurs pinnules et autres * six ou sept éléments à charophytes et probables gyrogonites, dont un gros galet * deux échantillons contenant orbitolines et millioles * deux autres orbitolines et turitelles * un autre avec orbitolines, nummulites et turitelles * un autre encore d’orbitolines et articles d’encrines * de nombreux échantillons à millioles * plus d’une dizaine de silex à turitelles * de nombreux calcaire et, ou silex à alvéolines, à nummulites, ou encore les deux réunies... Elle est pas belle, la vie ? Les modèles suivants, très particuliers, seront présentés ou représentés en détail et en haute altit. résolution..; dès que possible : Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Nanil Posté(e) 30 septembre 2022 Auteur Signaler Partager Posté(e) 30 septembre 2022 Ensuite, après triages des caisses et tiroirs poussiéreux, notifiés respectivement en gros caractère, Important et très important, nous aurons aussi, d’exception ^^ : Dès à présent, je pense déjà avoir aperçu depuis toutes ces collectes et grâce à la loupe binoculaire, empreintes de gyrogonites et peut-être bien aussi un échantillon contenant de probables fusulines... => https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Fusulinacea Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Nanil Posté(e) 30 septembre 2022 Auteur Signaler Partager Posté(e) 30 septembre 2022 Entre nous, cela m'arrangerai beaucoup que la probable fusuline en question dont je vous parle, soit tout simplement une Profusulinella aff. Simplex, datant ainsi du Bolsovien... ^^ ... avec encore à lire et relire : =>http://infoterre.brgm.fr/rapports/RP-68881-FR.pdf page 41 : << Cette succession type est rarement représentée dans son ensemble sur la carte (p. ex. région de Lescun ; Perret, 1993). Des variations locales et régionales des faciès et des épaisseurs sont nombreuses, surtout dans les parties inférieures et moyennes de la Formation de Haut-Béarn (p. ex. Delvolvé et al. 1996 ; Ternet et al., 2004). La base de la série est souvent en lacune dans la Haute chaîne primaire, où les lydiennes et jaspes sont remplacés par des shales et/ou calcaires. Dans le Pays Basque, les jaspes clairs manquent et sont remplacés par un ensemble schisto-calcaire, qui précède les calcaires bleu-noirs et schistes du Serpukhovien et Bashkirien (calcaires d’Iraty). Le sommet des calcaires bleu-noirs est diachrone et se rajeunit vers l’ouest de la carte. Dans l’ensemble de la carte, le contact entre la Formation de Haut-Béarn et le Culm se rajeunit vers l’ouest (Delvolvé et al., 1993 ; 1996). Les calcaires d’Iraty du Pays Basque représentent la plus jeune formation carbonatée du Paléozoïque dans les Pyrénées (Perret, 1993 ; Delvolvé et al., 1996). L’âge du sommet du Culm est au moins Moscovien (Bolsovien), anciennement appelé Westphalien C, avec des foraminifères et algues remaniés comme Profusulinella aff. simplex, Cyclogyra variabilis et Anthracoporella spectabilis, trouvés en Pays Basque, sur le versant espagnol du massif des Cinco Villas (Delvolvé et al., 1987). >> Pour espérer se rapprocher de cette détermination, je dois alors d’une part retrouver la roche en question, et d’autre part scruter à nouveau la surface du galet à travers la loupe, en vue d’y trouver Cyclogyra variabilis et Anthracoporella spectabilis. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Nanil Posté(e) 30 septembre 2022 Auteur Signaler Partager Posté(e) 30 septembre 2022 ... simplement rechercher des trucs qui ressemble à ceci : http://paleopolis.rediris.es/petralga/05spe.html Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Nanil Posté(e) 5 octobre 2022 Auteur Signaler Partager Posté(e) 5 octobre 2022 Les nouveaux engrenages quantiques... Chacun et chacune de nos choix et de nos pensées fabriquent tout le restant de notre avenir individuel, mais et aussi, l’avenir du monde entier, consciemment ou inconsciemment. En bref, comment commencer à procéder pour la détermination temporelle et spatiale de roches erratiques, discrètement camouflées sous fourme de galets..; issues de montagnes disparues pour la plupart dont l’affleurement n’est, blizzardement, plus trouvable... ^^ D’ici peu, un objectif à 108 mp du S21 Ultra, à travers l’oculaire de la loupe; ça va décoiffer. Et pour le microscope en suivant dans quelques temps, ça ne devrait pas non plus être trop triste, sans être pessimiste.., pour ne pas plomber le moral d’être déçu d’un probable échec. ^^ Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Nanil Posté(e) 5 octobre 2022 Auteur Signaler Partager Posté(e) 5 octobre 2022 Tout est quasiment prêt : - découpe à la lame diamantée à bain d’huile - une vingtaine de led projecteurs - multiples oculaires et doubles objectifs - [...] En l’occurrence de tels événements, quelques questions sans réponse aucune restent en suspens, qui pour l’instant, ne sont que celles-ci ..: - dans quel sens découper les roches - comment les trier, par gangue, biostratopétrogéologie, logiquement parlant j’aimerais dire. ... under construction ... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
le sablais Posté(e) 5 octobre 2022 Signaler Partager Posté(e) 5 octobre 2022 affaire à suivre donc ! Courage. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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