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Bourse minéraux Sainte Marie aux Mines 2024, avec fossiles et gemmes.
Bourse minéraux et fossiles de Sainte Marie aux Mines (Alsace) - 26>30 juin 2024

claire

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  1. Gorgançon, selon moi, n'a jamais été à côté de Mons, en Belgique, ni encore moins la faille d'Omey. L'erreur de position n'est nullement de mon fait, sauf début d'Alzheimer. La photo présente également une liqufaction importante des sables. L'hypothèse néotectonique me paraît la plus plausible, surtout lorsque l'on peut voir la coupe dans son intégralité (sur près de cinquante m). Les panneaux électriques (électrodes tous les deux m) présentent, par ailleurs la prolongation des failles dans la craie. Et quand bien même nous aurions une coulée de solifluxion, cette dernière ne peut être induite par un effondrement karstique ( nappe à un m sous la base de la coupe). Le moteur de cette hypothètique solifluxion pourrait également être cosismique. Maintenant, il faut chercher des élèments complémentaires pour lever l'indétermination (ou ce qu'il en reste), tel de la sismique reflexion haute résolution et, dès avant, des datations des terrains affectés et postérieurs, par OSL. Avis aux généreux amateurs.....
  2. Selon la carte géologique, on a du Fy, soit une terrasse wurmienne ou antèrieure. La nappe aquifère est à un m sous la base de la coupe (3m de haut). La faille d'Omey, visualisée par micropaléontologie, est à mons de cinquante m de la photo (selon la carte géologique Fére Champenoise, au 1/5O000). La déformation observée est elle: - un glissement sur pente de terrrasse alluviale; - un effondrement karstique; - une déformation périglaciaire; - l'expression en surface d'une faille acive au quaternaire. J'attend vos réponses.
  3. Bonjour, pourquoi pas une bréchification post séisme, si l'époque des dépôts était favorable à ce type de manifestation. Les séimistes peuvent être frort loin de l'accident causal. C'est une hypothèse et non une certitude.
  4. Simple. Il suffit de trouver le livre: la Savoie industrielle, de Gabriel de Mortillet, vers les années 1865. Mais l'ouvrage n'est pas forcemment sur les rayons des bibliothèques municipales...
  5. Vous cherchez nudité et faille. Un psychanalyste trouverait cela amusant. La faille de Vittel se suit bien dans la morphologie, au même titre que celle de Saint Martin, limite paleogéographique de dépôt du tertiaire, à l'ouest.
  6. Les niveaux repéres sont en cours d'étude mais que faire si on a surtout du décrochement? L'eau claire sort de la source et bientôt la vérité jaillira hors du puits...
  7. C'est bien ce que je disais, en reprenant le livre de Rodet: le karst dans la craie. Le karst dans la craie ne se développe que sous couverture argileuse ou sabloneuse, comme cela est le cas à Sézanne (limite Cuesta tertiaire), Resson (travertin quaternaire, région de Provin (programme craie 700) en limite de cuesta, pays d'Othe dans l'est aubois, sous couvert argileux, Seine maritime, Eure... La géophysique et le pséléoclub aubois ou marnais ne connaissent de réseaux karstiques que sous recouvrement tertiaire et jamais quand la craie affleure en surface . Il me parait donc très spécieux d'incriminer des effondrements karstiques pour expliquer les déformations quaternaires de Sauvage et environ, ce d'autant que le travertin de Sézanne , liée à une résurgence est à une altitude bien supérieure à celle de Sauvage. Par ailleurs, les mesures de simique reflexion haute réolution effectuée sur les déformations n'ont pas mis en évidence de karst, alors même que cette technique a fait ses preuves dans la détermination de cavité (TGV Est, catiche de la craie en région lilloise, effondrement minier dans la région de Valecencienne...)
  8. Ce karst paléocène est indiqué dans la craie, sans preuve formelle de son existence. S'ajoute à cela que le toit du paléocène, à 10 km au NE se situe à 150m, pour un altitude de 70 m au niveau de mes déformations. Si le karst paléocène a pu effectivement exiter à l'ouest, il est largement décapé sur 80 m d'épaisseur localement, d'où sa disparition locale, d'autant que le recouvrement de la craie, à l'est de la cuesta actuelle d'île de France se montrait pelliculaire et de fait non favorable ay developpement du karst localement (cf Rodet, la craie et son karst).
  9. Oui, à condition d'avoir un vide à combler. D'où viendrait ce vide alors, dès lors que la nappe trop proche interdit tout karst > 0,05 m de section.
  10. Une autre approche du problème consiste à cartographier les déformations àbservées, principlalement cassante, à hierarchiser leur intensité par unité de volume et observer si les déformations les plus importants sont à l'aplomb poche ou non des accidents majeurs. Dans mon cas, c'est ce que l'on constate: les déformations maximales à côté des gros accidents vus par sismique pétrolière. Quant à la subsidence, quelle serait son moteur?
  11. La craie est à - 4m. Il faut une solide tarière. Et il y a du sable, comme le montre la pghoto détaillée
  12. Bonjour, pas de stries et donc pas stéréogramme . Désolé. D'un point de vue sédimentologique, on est sans doute dans un lobe de méandre, où les sables passent latéralement à des lomons puis des tourbes (invisibles sur la photo). Ci joint une coupe synthètique. Globalement, l'orientation est N 110° à N115° comme la faille de Vittel. Un panneau électrique perpendiculaire (électrodes tous les deux m) montre une belle anomalie. LA zone de faille se poursui de part et d'autre du panneau sur au moins 15 m.
  13. Décidemment, le sujet déchaine les passions. La pelle et la pioche n'ont été financés que sur mes fonds propres, sans subsides d'un quelconque organisme officiel. De telles failles n'ont rien à voir avec du périglaciaire, si on analyse Van Vliet et al. Cela se rapproche des déformations cosismiques (Plaziat et al). Dans le détail, on est sur la prolongation en surface de la terminaison de la faille de Vittel et la terrasse alluviale ressemble plus à une tôle ondulée qu'à un billard plan et plat. Des datations permettraient enfin d'avoir une idée de l'âge relatifde la déformation, en occultant ou non le périglaciaire Un poster là dessus, résumant la situation actuelle, sera présenté lors du prochain colloque FLAG, à Luxembourg. Pour les curieux, je pourrai vous fournir le PDF (si j'ai votre adresse mail, bien évidemment. Ci joint une autre photo plus synthètique. La coupe fait 7 m de long et 1,8 m de haut. A suivre
  14. Merci, Je contacterai l'auteur de l'article sur planet-terre, afin d'avoir son avis. Reste que les déformations périglaciaires ne semblent pas évidentes dans la coupe. Où donc est passé le moteur des déformations cassantes?
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