Il y a un "petit" problème: ça fait beaucoup de monde à emmener sur le terrain, et les situations ne s'y prêtent pas toujours lors d'une discussion en ville par exemple. Certes on économise sa salive et rien ne vaut la démonstration in situ. J'ai déjà retourné plusieurs fois des avis préconçus et mal informés. Personnellement j'encadre des groupes sur le terrain et effectivement ça passe bien. Ce sont des gentils inocents qui se sont facilement laissés convaincre en n'entendant qu'un seul son de cloche.
Mais ce n'est pas de ceux là dont je parle. Il existe vraiment des sectaires qui veulent la disparition des bourses, et des collections privées. Le plus marrant , si l'on peut dire, c'est que c'est parmi eux que l'on en trouve tout prêts à faire main basse sur des collections privées, et si possible, gratos, après la mort du collectionneur privé.
Je maintiens "étroitesse d'esprit" pour ceux ou celles qui refusent le contact et les échanges d'idées fussent-elles très différentes voire incompatibles. Il faut au moins pouvoir être capable d'accepter de parler et s'écouter c'est la moindre des choses chez des gens intelligents, mais s'ils refusent, et c'est le cas ... il faudra bien passer outre et torpiller leurs idées anachroniques et ubuesques.
"Leurs argument sont à prendre en compte" lesquels ? Pour les entendre , encore faudrait-il qu'ils daignent nous adresser la parole! Encore faudrait-il ne pas essuyer systématiquement des refus de causer à chaque fois que l'on tente une ouverture. C'est ce blocage de leur part exclusive qui mine le débat et, somme toute ,ne reflète ni courage ni fiabilité de l'argumentation. En les titillant de la sorte j'espère bien qu'ils se décideront à réagir et à avoir l'obligeance de discuter, qui sait ... Car sachez bien qu'ils nous lisent avec grande attention, sur ce forum.
A force d'être gentil, ouvert, et de ne pas contrer on leur laisse le terrain libre devant les autorités dites compétantes qui n'entendent qu'un son de cloche, le leur. Et quand nous souhaitons nous faire entendre, on ne nous reconnaît pas, c'est pourquoi il est urgent de se faire reconnaître des autorités par tous les moyens. Mais pas avec trois pelés et deux tondus: il faut du monde actif! On y travaille discrètement mais surement. Mais de grace un peu plus de solidarité et d'union en nombre!