C'est la foire d'empoigne sur les réactions du blog de Barthélémy lol .... je ne suis pas le seul à avoir été attiré par l'article ! En fait il s'agissait d'une version édulcorée d'un article beaucoup plus catastrophiste encore repris par l'auteur...
Ce que je retiens de tout ça c'est que c'est dingue ce que l'homme peut flipper que le ciel lui tombe sur la tête ... bon il est vrai que malheureusement quelques fois ils nous tombent réellement sur la tête. Et que nous vivons dans un monde bien complexe ... au fait l'électricité ça fait pas si longtemps que ça existe ... enfin pour les humains lol
Je suis d'accord avec toi même si je préfère quand même garder un oeil critique sur les dispositions que soit disant nous prenons .. car bien souvent elles s'avèrent trop faible pour à chaque fois des questions de coûts, la catastrophe de Fukushima en est une fois de plus la preuve.
Dans le canard de la semaine dernière il avait aussi ça, et ça m'a fait bien marrer :
"EDF se fait remonter les bretelles :
A la centrale de Penly tout va bien c'est EDF qui le dit [...] L'électricien s'est bien gardé de dire quoi que ce soit d'un autre incident survenu le 18 février, à quelques km de Penly, à la centrale nucléaire de Paluel. Ce jour-là, un capteur de pression du réacteur N3 montre des signes de faiblesse. Sans cette pièce, impossible de dire si le réacteur est en surchauffe ou non. Plutôt que de mettre le réacteur à l'arrêt, comme les règles de sécurité l'exigent, EDF bricole une "bretelle électrique" (sic) pour contourner le capteur défaillant. Faut dire qu'un réacteur arrêté coûte à l'exploitant 1M d'€ par jour.
L'autorité de sûreté nucléaire n'a appris l'incident que 48h plus tard ! Sitôt mise au parfum, elle a diligenté une inspection type punitive. Dans son rapport daté du 12 mars 2012, le gendarme du nucléaire s'inquiète du bricolage, parle de "fils débranchés" et de "fils dénudés sans protection". On est pas loin du court-jus !
Parce qu'EDF à laissé tourner son réacteur sans respecter les règles de sûreté, l'ASN a non seulement classé cet incident au niveau 1 mais également décidé de signaler l'infraction dans un procès-verbal transmis au procureur de Rouen. Deux mois après la bretelle est toujours là, le réacteur tourne toujours, l'insécurité aussi. [...]"