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Bourse minéraux Sainte Marie aux Mines 2024, avec fossiles et gemmes.
Bourse minéraux et fossiles de Sainte Marie aux Mines (Alsace) - 26>30 juin 2024

Tourberyl

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Tout ce qui a été posté par Tourberyl

  1. Bonsoir, quelques photos de la bourse de nice. tout d'abord quelques minéraux corses exposés par l'association organisatrice Suite à venir avec quelques photos de stands ...
  2. Merci à Barytine 83 pour ce beau reportage photo. Frédéric :coucou!:
  3. Ensuite, comme je vois qu'il y a des spécialistes de la calcite, je vous soumet une question "origine ?" J'ai cette calcite en collection, achetée dans les années 80, mais origine inconnue ... avez vous une idée d'où elle pourrait provenir, compte tenu de son aspect particulier (les ailettes étant trés trés fines). La pièce mesure 19 x 10 cm. Je ne pense pas qu'elle puisse venir de chine, car ce pays n'était pas "minéralogiquement ouvert" dans les années 80. Par contre j'ai trouvé sur ce post, une pièce de Patrima, qui me ferait pencher vers le Mexique ? Merci de vos avis Frédéric
  4. Bonjour, Je viens de parcourir tout ce post, Bravo à tous, trés jolies pièces dans l'ensemble. Une origine moins connue, et qui n'est pas présente je pense : Calcite de Grèce - Lavrion - 8 cm Frédéric
  5. Bonsoir, Je suis d'accord, la tanzanite perd son trichoisme avec le chauffage, même si elle peut garder des nuances mauves dans le bleu. Il faut que le trichroisme soit franc suivant les trois axes, sachant que la couleur la plus rare est le rouge. Trichroisme d'un même cristal de 2,2 cm : A + Frédéric
  6. Un quartz sucre, ou gwindel fermé, d'une dimension de 2,5 x 2,2 cm Localité : Alpes suisses - val Giuv - Graubunden A + Frédéric
  7. La localité précise : Val Giuv, Graubunden, Suisse Je la met avec toutes les infos sur le topic minéraux alpins A + Frédéric
  8. Bonjour, Ma dernière, remportée sur un site d'enchères bien connu ... Quartz Sucre de 2,5 x 2,2 cm des Alpes Suisses A + Frédéric
  9. Bonjour et bien venu sur le forum, Pour ma part j'utilise le logiciel COLLECTIX, trés convivial, permet de gérer des fiches complètes (dont on peut déterminer les champs) et incluant jusqu'à 4 photos. En tapant Collectix sur google, vous devriez trouver rapidement le site qui le vend (aux alentours de 50 € de mémoire), et une démo. A + Frédéric
  10. Bonjour, Bravo à tous, vos pièces sont trés belles : émeraudes ... super beryl rouge, les pezzotaites .... Frédéric
  11. Suite et fin TOURMALINE variété Schorl, avec une terminaison rare, de la région de Gilgit - dim 4 cm A+
  12. Suite Plus classique, TOURMALINE sur Albite de la région de Stak Nala - dim 5,3 cm EPIDOTE verte et Actinolite de la région de Ashi Di - dim 3,5 cm
  13. suite Une TOURMALINE verte présentant une surcroissance en Etoile (ou dissolution ?) de la région de Dassu - dim 3,2 cm Une TOURMALINE variété indicolite de Shenghus - dim 3,5 cm Une TOURMALINE bi terminée Polychrome - dim 2,2 cm
  14. suite AIGUE MARINE de la région de Dosso, présentant un faciès terminal trés multi facettes - cristal 2,8 cm ANATASE, Baluchistan, Khaaran mine, flottant de 1,9 cm
  15. Bonjour, Pour relancer ce sujet magnifique, l'une belle galerie du forum. Des pièces superbes, classiques, parfois moins et quelques fois surprenantes : félicitations à tous pour vos spécimens. De mon côté, je commence par du classique, et je proposerai ensuite quelques espèces ou associations non encore illustrées dans le sujet. AIGUE MARINE sur mica, classique de la région de Nagar - dim 11 x 12 cm , le cristal 6 cm
  16. Bonsoir, Bravo à vous tous pour vos dernières trouvailles. De mon côté, ma dernière aquisition, pour compléter ma collection des différents types de beryl, un cristal de pezzottaite de Madagascar (1,5 cm) : A + Frédéric
  17. Histoire de 33 années de Collection … Pour ma part, la petite histoire retiendra une améthyste offerte par une grand mère à l’âge de 8 ans … j’en ai aujourd’hui 41 et cela fait 33 années que je vis avec le « virus des cailloux » ! ! Au départ, mon intérêt n’était pas très précis et tout m’attirait : les minéraux bien sûr mais aussi les fossiles ou les météorites. Toutefois très rapidement j’ai fait le choix de me consacrer uniquement aux minéraux, question de place, et d’argent de poche que je préférais « spécialiser » plutôt que de « disperser ». Ma passion était définie. La dernière règle que je me suis fixée : n’accepter dans ma collection que des pièces brutes et tant pis pour les tranches d’agates, lithophyses ou autres minéraux polis. En ce qui concerne le type de collection, le départ correspondait à une collection systématique générale : le but était de recueillir le maximum d’échantillons de variétés différentes. Mes yeux d’enfant brillaient pour tout ce qui n’était pas connu … y compris pour un bloc de granite ou de quartz laiteux ramassés au bord d’un chemin. Ensuite, c’est à dire depuis une quinzaine d’années j’ai pris l’orientation d’une collection classique d’espèces esthétiques rencontrées en bourses. En terme de taille des échantillons, au tout début ma collection était basée sur des miniatures mais elle s’est ensuite orientée vers des « cabinets pieces ». Aujourd’hui ma politique n’est d’investir que dans de belles pièces même si côté finance cela n’est possible qu’une à 2 fois par an. Ma collection comporte aujourd’hui environ 250 pièces (des échantillons de mes débuts à mes dernières acquisitions). Le cœur de ma collection en terme de qualité est composé de 50 pièces de bon niveau avec un « top 15 ». Voilà en ce qui concerne mon parcours et la description rapide de ma collection. A partir de là, je vous expose plusieurs de mes réflexions : -1- les collections privées Le plaisir d’un collectionneur n’est pas à mes yeux le seul plaisir de posséder, mais principalement la recherche permanente de nouvelles connaissances, et de vivre au quotidien sa passion (et c’est à ce niveau que la collection va permettre d’admirer tous les jours des pierres exposées dans l’environnement du collectionneur). Pour ma part, les bourses, les livres et internet sont les seules sources d’apprentissage. Les premières représentent quelques occasions dans l’année, car même si la liste des manifestations annuellement organisées est longue, les facteurs de distances, de coûts et de disponibilité limitent les occasions de fréquentation des bourses. Quant aux livres, les étagères de la bibliothèque en sont pleines, et ils sont parcourus et relus toute l’année. Au final, il en ressort une grande frustration, et un besoin de relations avec d’autres passionnés, contacts très difficiles en dehors des bourses (voir les clubs). A ce niveau, Internet joue un rôle intéressant mais très impersonnel. Pourtant la rencontre entre passionnés et le partage de connaissances autour d’une discussion suite à un article ou mieux autour d’un échantillon pour l’étudier reste des expériences privilégiées. Et à ce niveau les collections privées sont une mine d’or. Je suis personnellement frustré de ne pouvoir montrer ma collection plus souvent et surtout de ne pas avoir la possibilité d’en voir d’autres. Le partage des idées (présentation des échantillons, étiquetage, inventaire, éclairage, photographie, connaissances approfondies sur un domaine,...) est la meilleure source de progrès. En parallèle, une collection est un merveilleux outil de découverte pour les néophytes, et un atout considérable pour sensibiliser et faire naître de nouvelles vocations (alors que vous soulignez le « vieillissement » de la population des collectionneurs). Le premier public touché sera l’entourage proche et les enfants ou petits enfants sont des cibles privilégiées : Prenons le temps de partager notre passion !. Si lors des bourses je n’avais pas rencontré des passionnés qui ont pris le temps de discuter avec un gamin de dix ans, je n’en serais certainement pas là, et même peut être pas du tout collectionneur de minéraux. -2- les clubs Pour répondre au besoin de contacts dont je parle, vous allez me dire : « allez donc dans un club ! »… sur le principe je suis d’accord. Dans la pratique, j’ai l’impression que de nombreux clubs sont là pour organiser avant tout une expo annuelle. Ensuite, les activités se résument souvent à une sortie mensuelle ou trimestrielle pour aller gratter la terre ou faire une étude géologique … Au final, pour un collectionneur intéressé par les minéraux chinois, les tourmalines ou le thème des silicates, par exemple, le cadre des clubs n’est pas adapté pour favoriser les rencontres ou les groupes d’études et de discussion. Pourtant chaque membre du club possède une collection, une spécialité ou spécificité, qu’il pourrait mettre en commun. -3- les bourses Nous nous plaignons de la dérive de la qualité des bourses de minéraux. Le problème n’est pas leur nombre (qui est je pense plutôt un avantage), ni leur fréquentation … mais surtout qu’elles ne font plus rêver (mises à part les grandes). Le principe d’une Bourse doit rester l’Exposition Vente. Et l’ordre des mots est important. Aller dans une bourse c’est d’abord chercher à voir de belles choses, à rencontrer des passionnés, et partager des connaissances : c’est le rôle de l’EXPOSITION à laquelle l’on va au même titre qu’à une exposition de peinture ou dans un musée. La Vente vient après et très rarement systématiquement : cela doit être un coup de cœur (c’est d’ailleurs le seul moyen de toujours admirer sa collection avec plaisir). Et la pièce chèrement acquise sera toujours liée au souvenir de la discussion avec l’exposant qui vous la vendue. Les Bourses ne proposent plus aujourd’hui suffisamment de rêve … pourquoi les grandes manifestations comme Lyon, Munich ou Tucson proposent-elles des expositions de prestiges ? … Le Smuck : il a toujours existé dans les bourses, et c’est une concession qu’il faut accepter pour que les organisateurs rentrent dans leurs frais, car sans organisateurs … pas de bourses. Mais les clients de ces stands ne sont pas les collectionneurs (qui ne les regardent que de loin sans s’arrêter). Par contre une meilleure organisation de l’espace en « sectorisant » les diverses activités pourrait clarifier et améliorer le plaisir des bourses. Dans une foire commerciale, vous ne mélangez pas les stands de cuisines au milieu de ceux du bricolage ou du vin, même si tous ont trait de prés ou de loin à la maison. De cette manière les clients des uns n’encombrent pas les stands des autres, et l’efficacité est optimale pour le vendeur, et le plaisir maximum pour le chaland. Dans une bourse cela pourrait être la même chose, sachant que le client venu pour acheter une statuette en malachite passera voir le coin des pierres taillées et celui des minéraux bruts, pour le plaisir des yeux … nous retrouverons le rôle de l’Exposition ! -4- les prix Le débat sur les prix doit être relativisé. Tout d’abord n’oublions pas de réactualiser les montants en francs constants (sur 30 ans il y a un impact), et ensuite même s’il est frustrant de voir une certaine envolée des prix sur les belles pièces, cette évolution correspond souvent aussi à une nette amélioration de la qualité. En effet, les prix s’envolent principalement à la source : les mineurs afghans, brésiliens, mexicains, russes ou chinois connaissent (par rapport aux années 70-80) la valeur de leur marchandise et surtout l’existence du marché des minéraux de collection. Ils vendent donc plus cher au départ les pièces, mais en contre partie, les négociants vont (ou devraient !) exiger une qualité irréprochable des échantillons. C’est un point sur lequel on discutait moins il y a encore 10 ans : les prix d’approvisionnement bas assuraient la marge lors des ventes sur les bourses. L’amateur acceptait une pièce avec des défauts mais face à un prix raisonnable. Aujourd’hui nous devons exiger une qualité au top quand les prix flambent. Mais nous parlons ici des pièces exceptionnelles, dont le premier plaisir pour l’amateur est de les admirer et non de les acheter à tout prix (sans jeu de mots !), et nous revenons alors sur ce que doit être une bourse pour le véritable amateur, un lieu de découverte. Le plus important, c’est qu’il soit toujours possible d’acquérir pour un jeune, ou une personne débutante dans la collection de minéraux, des échantillons agréables et à des prix raisonnables. Sur ce point je pense que les bourses n’ont pas changé. Et personnellement je trouve toujours du plaisir à flâner dans une petite bourse à la recherche d’échantillons sympathiques. L’un des derniers, à titre d’exemple, sur une petite bourse, un cristal flottant bi terminé de tourmaline elbaïte (extrémités vertes, centre rosé) du Pakistan, certes de petite taille (2,7 cm), mais acheté pour 10 €. Il me procure toujours autant de plaisir à chaque fois que je le regarde … --------------------------------------- La passion des minéraux se démocratise quoi que l’on dise. Dans les années 70 nous étions des « oiseaux rares » aujourd’hui beaucoup moins je pense. De plus le retour en force des idées d’écologie et de protection de la nature vont amener (ou ramener) la société à regarder son environnement tant végétal … que minéral, pour y rechercher une source de plaisir et de bien être. Dans cette perspective il est important de structurer notre passion, pour éviter que le développement s’accompagne d’une perte de l’amateurisme (au sens noble du terme), et que chacun en fonction de ses moyens, de ses centres d’intérêts et de son type de collection trouve toujours une satisfaction.… affaire à suivre ! A + Frédéric
  18. Bonjour à tous, Ma dernière trouvaille, acquise sur le net : Un quartz fumé sur amazonite, USA Colorado, 4 cm, petit mais petit prix (26 € port compris). A + Frédéric
  19. Un autre lien sympa http://www.crystalclassics.co.uk/news-story.php?id=47
  20. Un lien d'un site bien fait ... http://www.webmineralshop.com/tucson09/tucson2009_index.htm A +
  21. Pour terminer, une fluorite USA illinois, cave in rock - 3,8 x 3,8 cm A + Frédéric
  22. Suite ... toujours du Burc, un peu grise mais avec de beaux fantomes multicolores - 4 x 5 cm
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