Théophraste

Mit à la Une !

Article mit à la Une de GéoWiki, et un lien a été mis dans le Portail Volcanologie. Merci pour ce bel article ! Théo'.

Pensez à au nom et à la localité pour vos spéciemns svp, et la taille aussi... Merci... Très beau sujet, merci à tous pour les photos !!! Théo'

bug constructeur connu, quand on supprime des messages, cela arrive parfois... rien de grave. :coucou!:

j'ai lu votre message, et fait le nécessaire

Pour communiquer vos remarques à France 3 : MediateurInfo.France3@exchange.france3.fr Marie-Laure Augry Médiatrice des rédactions de France 3

Minéraux et sites minéralogiques des Alpes-de-Haute-Provence (04). Un département minéralogiquement un peu oublié, entre l'Isère, les Hautes-Alpes et les Alpes-Maritimes... Notamment un très bon site, Saint-Pons... What esle ?

Une concession minère en France est en quelque sorte une expropriation, le propriétaire du sol est "exproprié" par l'Etat, il perd temporairement, jusqu'à l'annulation de la concession, une partie des droits sur son sous-sol. D'ou les obligations du concessionnaire, à défaut de l'Etat créateur de la concession, de sécuriser et de remettre le site en état à l'annulation de la concession, pour que le proprio qui n'a rien demandé, à qui on a imposé la concession ne se retrouve pas avec une propriété dégradé. Attention, une concession est faite pour exploiter le plomb, le fluor, le fer, pas la galène, la fluorite ou la sidérite, une concession est donnée pour une substance, pas un minerai, ce qui veut dire qu'exploiter un site pour les spécimens minéralogiques ne peut faire l'objet d'une concession, seule le propriétaire du sol a des droits sur les minéraux d'un lieu donné. Amicalement, Théo'.

Bonjour, attention à ne pas colporter de bêtises, je dis cela gentiment, mais certaines idées fausses courent encore et toujours, par répétition sans vérification d'idée "comme ça. 1/ Le sous-sol est en France privé, le sous-sol en France appartient au propriétaire du sol, tout ce que contient le sous-sol appartient au propriétaire du sol, c'est un des fondements du droit français, article 552 du Code Civil. 2/ La très grande majorité des spécimens de bons niveaux, notamment ceux que l'on voit dans les bourses sont sortis dans le cadre de chantier, c'est à dire de mini exploitation minière, je ne parle même pas des spécimens sortis de mines ou carrières en exploitation, le mythe "romantique" du gentil collecteur amateur qui cueille les minéraux est typiquement français et à la vie dur... 3/ Lors de ces chantiers, des moyens adéquats sont utilisés, on reconnait un bon artisan à ses bons outils, c'est à dire moyen du btp, ce sont de mini chantiers miniers, et l’utilisation de ces moyens permet plus que jamais l’extraction de spécimens en bon état, le marteau et le burin étant par excellence sauf cas particulier des moyens d’extraction engendrant le plus de dégâts (chantier à la va vite, de peu d’envergure, on attaque directement les cristallisations, etc). Un des grand progrès de ces 15 dernières années est la tronçonneuse thermique à chaîne diamantée, c’est ainsi que les bon spécimens sont sortis de par le monde. 4/ Et de part le monde, les exploitants de sites minéralogiques pour le commerce ont bien compris qu’il faut sortir des objets aussi parfait que possible, car c’est cela qui vaut de l’argent, ils ont compris car ils en vivent, avec leur famille, d’ailleurs bien plus vite que la plupart des collecteurs amateurs, en France notamment, toujours mal outillé et mal formé à la collecte. Il ne faut pas se fier aux stocks bas de gamme vendu parfois dans les bourses en France pour avoir une idée du travail fait à l'étranger lors des chantiers minéralogiques. Voilà, vite fait en allant à l’essentiel, lisez et relisez certains articles sur el sites Géopolis, l’article d’Alain Martaud dans le Règne Minéral de Janvier/ février, le Cristallier Suisse de ce début d’année, où l’on présente une véritable exploitation minière en pleine face d’une haute montagne, 15 ans d’exploitation, 80 tonnes de spécimens sorties, plusieurs centaines de mètres de galerie, compresseur, perforateur, explosif, hélicoptère, et donc de fabuleuses pièces visible dans la vallée, etc. Lisez les revues françaises et étrangères, les livres de références, vous aurez une idée de la réalité de l'exploitation des sites minéralogiques . Bien amicalement, Théo'.

Emission à voir ou revoir là : http://programmes.france3.fr/pieces-a-conviction/51415247-fr.php. Cela serait bien de faire un "lecture" commenté voire crititique de l'émission...

Et c'est parti, délire médiatique à gogo, dire que c'est sensé avoir fait des études un journaliste... Dans le Parisien par exemple : Vite fait : - les journalistes découvrent qu'il y a eu des mines d'uranium en france, de la façon dont ils parlent de la chose, on a l'impression que c'était quelque chose de caché, c'est bien pour donner du tonus au scoop ; - ils parlent de déchet là où il y a simplement des stériles des roches déplacées pour exploiter un gisement et sans intérêts, déchet, ça fait peur, "quoi il y a des déchet nuclaire à coté de chez moiiiii ???" ; - on parle de "stériles radioactifs comme remblais dans des zones fréquentées par le public", hum, c'est à dire concrètement, c'est quoi comme roche et en quoi c'est dangereux, quelle radioctivité ? Beaucoup de roches sont radioactives, comme le granite, on en fait des cuisines et des salles de bain tout de même ; - etc. Je suis très très inquiet dont de la façon dont les journaliste, du service publique en plus, traitent les dossiers, si c'est comme cela pour tout...

Il y a un délire totale autour de tout cela, c'est navrant, pitoyable, et ces pseudo jounaliste, juste bon à faire du sensationnel, pour l'audience, et vendre leur reportage... Dire que c'est sur la Télé publique, avec nos sous de la redevance, dire que ces pseudo jounaliste ont droit à 7.650 euor de déduction d'impôt par an car ils ont le statut de journaliste, etc. Savez-vous qu'un organisme publique il y peu de temps a fait du porte à porte chez d'anciens salariés de mines (et autres ?) vers LAPRUGNE pour récupérer des échantillons de roches et minéraux, "vous avez des objets dangereux, faut nous les donner, on sait que vous en avez, etc". Gorsse pression sur les gens, comme pour les concessions minières à "mettre en sécurité", faire peur quitte à raconter n'improte quoi. Du délire qui coûte très cher, enfin, c'est le contribuable qui paye, alors on compte pas vraiment. Là, aussi, est-ce que certains se créraient du boulot à bon compte ? Si quelqu'un a d'ailleurs plus d'infos sur cette opération, il doit y avoir eu des articles dans la presse locale.

Oui, tout à fait, la commune achète la concession, se fait connaître, et propose un aménagement toursitique en guise de mise en sécurité. Deux PB : * la commune de Farinole est petite, donc peu de moyen pour aménager qq chose ; * la drire a seule -il me semble- le pouvoir de dire si l'aménagement fait vaut remise en sécurité ou pas, en gros, donc cela peut durer un moment, selon la bonne ou moins bonne volonté des personens de la drire qui s'occupe de ce cas. Autre possibilité, puisque le terrain est communal, mettre en route une réserve volontaire...

Si l'héritière se fait connaître, les frais des travaux de mise en sécurité seront à sa charge... Il me semble bien... Normal, la concession lui appartient... Mieux vaut pour elle qu'elle reste inconnue...

Charles Robert Darwin (12 février 1809 — 19 avril 1882) est un naturaliste anglais dont les travaux et les théories sur l'évolution des espèces vivantes ont profondément révolutionné la biologie. Après avoir acquis la célébrité parmi les scientifiques pour son travail sur le terrain et ses recherches en géologie, il a apporté l'hypothèse que toutes les espèces vivantes ont évolué au cours du temps à partir d'un ancêtre commun ou d'un petit nombre d'ancêtres communs, grâce au processus de sélection naturelle. De l'Origine des espèces, livre complet (œuvre du domaine public). Et aussi : Journal of Researches into the Geology and Natural History of the Various Countries by H.M.S. Beagle, Londres, Henry Colburn, 1839, 614 pp. [2e édition : 1845 ; 167 éditions et tirages en langue anglaise jusqu’en 1972] The Structure and Distribution of Coral Reefs. Being the First of the Geology of the Voyage of the Beagle, under the Command of Capt. Fitzroy, during the Years 1832 to 1836, Londres, Smith, Elder and Co., 1842. [2e édition : 1874 ; 3e édition : 1889] Geological Observations on the Volcanic Islands Visited during the Voyage of H.M.S. Beagle, together with some Brief Notices of the Geology of Australia and the Cape of Good Hope, Londres, Smith, Elder and Co., 1844. [2e édition : 1876 ; 3e : 1891] Geological Observations on South America, Londres, Smith, Elder and Co., 1846. Geological Observations on Coral Reefs, Volcanic Islands and on South America, Londres, Smith, Elder and Co., 1851. Reprise des textes de 1842, 1844 et 1846. Rééditions souvent abrégées. A Monograph of the Sub-Class Cirripedia, with Figures of all the Species, vol. I : The Lepadidae, Londres, The Ray Society, 1851. A Monograph of the FossIl Lepadidae, or Pedunculated Cirripedes of Great Britain, vol. II, The Balanidae (or Sessile Cirripedes), Londres, The Ray Society, 1854. « On the Tendency of Species to Form Varieties, and on the Perpetuation of Varieties by Natural Means of Selection » (avec A.R. Wallace), Journal of Proceedings of the Linnean Society of London (Zoology), vol. III, n°9, 1er juillet 1858, pp. 1-62. On the Origin of Species by Means of Natural Selection, or the Preservation of Favoured Races in the Struggle for Life (L'Origine des espèces), Londres, John Murray, (24 novembre) 1859. [2e éd. : 7 janvier 1860 ; 3 éd. : avril 1861 ; 4e éd. : juin 1866 ; 5e éd. : 1869 ; 6e éd. : février 1872] On the Various Contrivances by which British and Foreign Orchids are Fertilised by Insects, and on the Good Effects of Intercrossing, Londres, John Murray, 1862. [2e éd. : 1877] On the Movements and Habits of Climbing Plants, Londres, Longman, 1865. [2e éd. : 1875] « Queries about Expression », 1867. Article publié par R.B. Freeman et P. J. Gautrey, « Charles Darwin’s Queries about Expression », Bulletin of the British Museum of Natural History, vol. 4, 1972, pp. 205-219. The Variation of Animals and Plants under Domestication, Londres, John Murray, 2 volumes, 1868. [2e éd. : 1875] The Descent of Man, and Selection in Relation to Sex, Londres, John Murray, 2 volumes, 1871. [2e éd. : 1874 avec une note additionnelle de Th. Huxley] « Pangenesis », Nature, vol. 3, 27 avril 1871, Proceedings of the Royal Society, vol. 19, pp. 393-410. The Expression of the Emotions in Man and Animals, Londres, John Murray, 1872. [2e éd. : (par Francis Darwin) en 1890. « Origin of Certain Instincts », Nature, vol. 7, 3 avril 1873, pp. 417-418. Insectivorous Plants, Londres, John Murray, 1875. [2e éd. : 1888, revue par Francis Darwin] The Effects of Cross and Self-Fertilisation in the Vegetable Kingdom, Londres, John Murray, 1876. [2e éd. : 1878] "Report of the Royal Commission on the Pratice of Subjecting Live Animals to Experiments for Scientific Purposes", Londres, Her Majesty’s Stationery Office, 1876, pp. 234, 4662-4672. The Different Forms of Flowers on Plants of the Same Species, Londres, John Murray, (9 juillet) 1877. [2e éd. : 1878 ; 3e éd. : 1880, avec une préface de Francis Darwin] « A Biographical Sketch of an Infant », Mind, vol. 2, juillet 1877, pp. 285-294. [Trad. française dans la Revue scientifique, vol. 13, 1877, pp. 25-29] « Preliminary Notice » dans E. Krause, Erasmus Darwin, Londres, John Murray (ouvrage traduit de l’allemand), 1879. The Power of Movement in Plants (en collaboration avec Francis Darwin), Londres, John Murray, 1880. The Formation of Vegetable Mould, through the Action of Worms, with Observations on their Habits, Londres, John Murray, (10 octobre) 1881. « The Action of Carbonate of Ammonia on Chlorophyll Bodies », Journal of the Linnean Society of London (Botanic), vol. 19, 1882, pp. 262-284. Communication lue par Francis Darwin le 6 mars et le 28 août 1882.

Superbe reportage, magnifique, encore ! Théo'.

Cher Prof. Lidenbrock, Il se dit que je ne suis pas très bavard, voire que je suis une tombe pour pas mal de choses . Mes amitiés à Graüben... Bien amicalement, Théo'

Ungemach Henri Léon, nait à Strasbourg le 19 septembre 1879 et décède dans la même ville le 11 juin 1936. Après son baccalauréat au Gymnase protestant de Strasbourg, il entre à l'Ecole polytechnique de Zurich d'où il en sort ingénieur-chimiste en 1904. Il s'inscrit ensuite à l'Université Impériale de Strasbourg où il soutient en 1907 une thèse de doctorat ès sciences sur les minéraux du Val de Villé. Après une série de voyage en Amérique du Nord, il prit de 1908 à 1912 la direction de l'exploitation des mines d'argent de Saint Sylvestre près du Col d'Urbeis dans le Val de Villé. Ses parents habitaient alors au château de Honcourt. Il quitta l'Alsace en 1912 pour Paris où il s'engagea dans la Compagnie générale des Colonies. Il fut chargé à plusieurs reprises de missions de prospections pour des sociétés minières notamment au Maroc et à Madagascar (1914) pour l'étude des gisements de graphite. Après la première Guerre Mondiale, il recommença sa vie de voyageur et de prospecteur. Il effectua une campagne géodésique dans le haut Atlas avec le marquis de Segonzac pour occuper ensuite un poste d'ingénieur pendant toute la période d'occupation de la Rhur. Il fut également secrétaire pour l'étranger de la Société française de Minéralogie, de 1919 à 1934. Il fit de 1921 à 1927 quatre voyages en Ethiopie, pour le compte d'une société qui exploitait les sables platinifères du Baro, et deux autres au Maroc. Mais, atteint d'une bronchite chronique, il renonça aux voyages et revint s'établir à Strasbourg en 1932 où il fut rattaché, à titre bénévole, au Laboratoire de Minéralogie de l'Université. Spécialement chargé de la révision du catalogue des collections de minéralogie, il se vit honoré d'une bourse de recherches du CNRS à dater de 1934. Une collection régionale constituée par H. Ungemach qui compte actuellement 360 échantillons est à Strasbourg. Elle a été acquise en 1937 à titre onéreux par le laboratoire après son décès, alors qu'une collection plus ouverte sur le Monde fut achetée par le Musée des Sciences de Liège, où elle disparût à la suite des bombardements alliés en 1944.

tungstate, wo4 = tungstate, comme co3 = carbonate, sio2 = silicate, etc. :coucou!: Tous ensemble, tous ensembleuuuuu !

super, "on" fera les liens, c'est ça l'intérêt du truc, chacun fait un peu en fonction de ce qu'il sait faire, les autres complète, etc. Sinon, c'est tungstate :-). Amicalement, Théo'.

Pour retrouver une page, taper son nom dans le "moteur de recherche" interne :coucou!:. Après, mettre des liens depuis d'autres pages. Sinon pb, poster ici une question.

Minéralogie des environs de Coray (Bretagne) Qui peut en parler et montrer des choses ? C'est dans un des inventaires BRGM, peut être des articles dans les revues "Le monde et les minéraux" ou "Minéraux et Fossiles"... J'ai un morceaux de quartz avec un petit béryl jaune... What esle ? Théo'.

Coucou, pour l'échantillon "historique" de La Villeder venant de la collection minéralogique de l'Académie des Sciences de Philadelphie, présenté à St Marie 2008, message 20 de ce sujet (merci pour la photo) et dans le compte-rendu du Règne sur St Marie, on voit bien une base de quartz bien blanc, un très beau cristal, et liant les deux, un mélange de colle, de débris de quartz divers et de "poussière" de gangue, faisant un aspect "argileux", classique comme collage au 19ème, cela forme une "courone curieuse" autour de la base du cristal, avec un coulis sur le devant, cf le photo message 20. On remarque bien aussi le "brillant de la colle". Collage assez grossier, on peut pas dire que le but était de "tromper" le client, peut être un travail de mineur ou de "marchand de souvenir" local, cherchant à se faire 3 sous. Un memorabilia minéralogique intéressant. Non, pas signalé dans la vitrine, tant pour le collectionneur proprio que pour la petite main qui a fait les vitrines comme cela était assez évidant, une erreur sûrement. Amicalement, Théo'.