benevolus

c'est bizare, le mien aussi est un Millet en toile, j'ai déjà redoublé le fond il y a quelques années avec de la grosse toile et ça tien bon. En plus de la solidité il faut penser aussi au confort du portage. Le mien chargé à 44kg pendant 3h30 ne m'a pas fait souffrir plus qu'un sac de 15kg. Je parle des épaules mais pas de la bête en entier car c'est quand même très pénible, surtout en terrain varié sans chemin et avec de la pente !

il doit vraiment être petit, en montagne je les vois de très loin mais là !

une petite dernière pour cette saison en montagne , la météo annonce la neige à 800M pour vendredi. Donc il faudra attendre juin 2008. en arrière plan l'aiguille de la Pierra Menta (la tour carré) au pied le barrage de Roseland (Savoie)

la deuxième photo correspond au cercle jaunes. de belles pointes de quartz, malheureusement sur une gangue très dure et impossible d'accès en raison de la quantité de roches instables au dessus. Beaufortain

c'est bien dommage, il n'y a que SiO2 qui est venu me voir à la table où je distribuais les convocations pour notre AG

. Il y avait une douzaine de cristalliers qui exposaient leurs trouvailles de l'été. Voici quelques pièces vues sur les stands pour celles et ceux qui n'ont pu faire le déplacement. quartz fumés à âme d'une esthétique parfaite (massif du Mt-Blanc) pièces flottantes de quartz fumés limpide dont certains sont très élancés (contrairement à la forme trapue habituelle) massif du Mt-Blanc fluorines sur calcite dont certaines calcites ont une qualité gemme (massif du Mt-Blanc)

est-ce que tu a regardé sur le site de J. Deferne: http://www.kasuku.ch/pdf2.html j'ai parcouru rapidement internet avec le moteur de recherche (eclogite suisse) et il y en aurait dans le Tessin

tu trouveras une partie des réponses sur un post précédent: http://www.geoforum.fr/index.php?showtopic...t=0&start=0 pour information, il est souhaitable que toutes les écritures sur ce forum se fassent en français et non en mode phonétique ou sms.

Elle se trouve dans les deux bassins glaciaires et oui, il faisait monstre beau !(clichés d'aujourd'hui) massif du Mt-Blanc face ouest depuis le Beaufortain

bon d'accord, nous ont est sur place mais, quand on voit vos trouvailles on se dit aussi "dommage, c'est loin, très loin !!!"

c'est vrai qu'il arrive souvent que l'on fasse des doublons avec d'anciens posts, et que l'on ne pense pas toujour à utiliser la fonction de "recherche".

heureusement celà n'arrive pas qu'aux autres ! trouvé dans une fissure sur un bloc sur le bas de la Mer de Glace trouvé dans une fissure sur un bloc sur le glacier de Talèfre sinon pour ce qui est du récit de lomdumtblanc, (.../... monstre trou d'eau.../...) et en tant qu'interprète "franco chamoniard" "monstre" n'est pas un animal mythique qui hante les morraines de la mer de Glace mais celà veut simplement dire "grand, énorme, très, etc..." "monstre bon", "monstre raide", "monstre chaud", "une monstre avalanche, etc... A quand des monstre cristaux gros comme des quilles !!!

il y a aussi celui-ci: http://www.geoforum.fr/index.php?showtopic...t=0&start=0

le samedi 3 novembre aura lieu à Chamonix la 7ème bourse des cristalliers. Cette bourse se déroule uniquement sur une journée de 9h à 17h, l'entrée est gratuite. Les exposants sont tous des membres du club de minéralogie de Chamonix et ils peuvent exposer uniquement des minéraux alpins trouvés par eux. Donc pas de revente de pièces achetées ailleurs. D'après "un bruit qui court" il risque d'y avoir de belles pièces ! 3 novembre 2007 7ème bourse des cristalliers Entrée gratuite Foyer de ski de fond 9h 17h direction Argentière, route du Bouchet Chamonix

Quartz sceptre améthyste de Madagascar Quartz sceptre améthyste de Madagascar

Quartz sceptre améthyste Massif des Courtes, Mont Blanc. Quartz sceptre avant et après nettoyage, Beaufortain, Savoie. Quartz sceptre, Beaufortain, Savoie.

juste pour le plaisir des yeux, c'était il y a 5mn :coucher de soleil sur l'Aiguille du Midi

il y a le massif du Djebel Sirwa qui est un ancien massif volcanique érodé. Il se situe au sud du haut Atlas. photo des environs du Sirwa. en arrière plan le Haut Atlas avec au centre le sommet du Toubkal (point culminant de l'Afrique du Nord, environ 4200M)

voici le lien sur l'association des orpailleurs suisses avec la page "législation": http://www.goldwaschen.ch/fgold_faq.htm#gesetz

une autre réponse dans le même sens: A petite échelle, l'érosion glaciaire se manifeste par des surfaces polies et arrondies ("roches moutonnées"), souvent striées par des blocs durs enchâssés dans la glace (stries glaciaires). Dans beaucoup de cas, ces roches moutonnées présentent une pente plus faible vers l'amont (usure) que vers l'aval (arrachement de blocs), permettant de reconstituer le sens d'écoulement des glaciers. A: stries glaciaires sur une roche usée par l'action d'un glacier, vallée du Marcadeau; B: roches moutonnées, Pont d'Espagne (France). Le réseau de lignes correspond à des veines de quartz, mises en relief par la dissolution plus rapide du granite

il y a peut-être une explication chimique sous le tapis végétal avec dissociation des grains de granit ,laissant en relief les veines plus compactes. Trouvé ceci sur ce site concernant les pyrénnées : http://perso.orange.fr/patrick.lafargue/ge...rochpaysage.htm Qu'est-ce que l'érosion? Qu'est-ce que l'érosion?* " L'érosion est le résultat des actions externes qui provoquent la dégradation du relief " nous dit le dictionnaire. Les montagnes pyrénéennes sont en effet en permanence agressées à la surface de la terre. Cette agression naturelle se fait de façon visible (torrents, glaciers, éboulements) ou de façon plus subtile (action du vent, action de la pluie, variations de températures, influence de la végétation). Cependant, l'érosion n'est pas qu'un phénomène de surface, elle existe aussi en profondeur et affecte ainsi le relief de multiples façons. Enfin, il faut aussi mentionner les dégradations artificiellement introduites par l'homme (déboisement, constructions, pollution). Ce sont toutes ces actions qui ont façonné les paysages tels qu'ils nous apparaissent aujourd'hui. Les paysages Pyrénéens évoluent-ils dans le temps?* Le paysage que nous observons est une photo prise à un instant donné de l'évolution de la chaîne de montagnes. En réalité les paysages changent en permanence à l'échelle du temps géologique. Ainsi, année après année, siècle après siècle, millénaire après millénaire, les roches des montagnes se désagrègent, les fragments les plus gros entraînés par la gravité s'accumulent au bas des pentes tandis que le vent et l'eau emportent les débris les plus fins. Progressivement ces éléments sont acheminés par les eaux courantes vers la plaine et enfin vers la mer. La montagne devient grain de sable! Toutes les montagnes, aussi hautes soient-elles, sont ainsi soumises à cette érosion implacable qui les rabote jusqu'à les réduire, sur des millions d'années, à l'état de surfaces planes appelées pénéplaines. Au cours des temps géologiques, bien des montagnes de notre Terre ont ainsi été démantelées et totalement arasées. Il est ainsi difficile d'imaginer cette immense chaîne ancestrale qui s'élevait il y a 300 millions d'années, à la fin de l'ère Primaire, bien avant la formation des jeunes montagnes actuelles que nous appelons Pyrénées, apparues il y a seulement...40 millions d'années durant l'ère Tertiaire. Aujourd'hui, de cette chaîne ancestrale disparue (et enterrée sous 10 000 m de sédiments dans le Bassin Aquitain) il ne reste que quelques vestiges exhumées lors du soulèvement des Pyrénées. C'est le cas du Pic du Midi d'Ossau entre vallée d'Ossau et vallée d'Aspe. Comment " lire " le paysage pyrénéen?* C'est par des processus mécaniques et chimiques que cette érosion sculpte le relief des montagnes. Le démantèlement de la chaîne de montagnes se fait inexorablement à toutes les échelles, à celle du massif comme à celle du cristal, qu'il s'agisse de la pluie (qui mobilise les éléments moléculaires lessivés), du vent (qui déplace les fines particules), d'un torrent (qui entraîne boues et cailloux) ou d'un glacier (qui pousse ces gros blocs appelés moraines ). On comprend donc d'autant mieux l'importance du climat dans ce phénomène que l'agressivité des éléments changent non seulement d'une région à une autre (influence atlantique ou méditerranéenne le long des Pyrénées) mais évoluent aussi au cours de l'histoire géologique. En effet, l'étude des paléoclimats nous apprend que dans les Pyrénées les variations ont été extrêmes, du climat tropical de l'ère Tertiaire aux glaciations de l'ère quaternaire. Ceci entraîne aussi des changements importants du niveau des mers, de la géographie côtière et du réseau hydrographique (depuis 10 000 ans le niveau des mers est monté de près de 100m en raison de la fonte des glaces. La mémoire humaine s'en souviendrait à travers les vieux récits et mythes parvenus jusqu'à nous tels ceux du Déluge ou de l'Atlantide). Enfin, les roches agressées ne réagissent pas de la même façon selon leur nature et leur dureté. Les degrés de dureté varient beaucoup entre un granite compact , un grès, un calcaire ou une argile tendre. Le développement de la végétation prend alors toute son importance car si le couvert végétal et son sol protègent les roches des agents d'érosion de surface (eau, vent, gel) , par ailleurs ils favorisent le développement des racines, l'infiltration de l'eau, la dissolution chimique et la dislocation des roches en profondeur

personellement je n'ai pas une super expérience en photo avec éclairage artificiel mais voici comment je procède. j'ai fabriqué un support réglable en hauteur sur lequel j'ai installé trois lampes flexibles à pinces (en promo chez Mr B........ge)sur les extérieures j'ai mis des lampes halogènes et sur la centrale une lampe fluo basse consomation. ensuite sous la pièce à photografier je pose un bristol de la couleur adéquate par rapport à la roche. ensuite je fais une balance des blancs par rapport à cette lumière artificielle. biensur j'ai réglé les lampes pour un éclairage idéal. je travaille en mise au point manuelle avec priorité à l'ouverture (j'essaye de fermer au maximum pour avoir une meilleure profondeur de champ et il ne reste plus qu'à déclancher et recommencer si celà ne va pas. C'est l'avantage du numérique, avant il fallait attendre le retour du développement. j'ai un appareil bridge Konica 8mp. voici deux photos, une correcte et l'autre surexposée.

peut-être qu'au début il n'y aura pas grand chose mais avec un peu d'entrainement à la masse et la barre à mine, il faudra faire attention car, dès que tu enttends parler chinois tu auras creusé le plus long tunnel sur cette planète :coucou!:

Il faut savoir que quelques galeries ont été bouchées lors des travaux de la route Blanche. Une galerie située au bord de l'Arve s'est bouchée toute seule avec le limon charié en période de hautes eaux. Effectivement, il y a quelques galeries aux environs de Notre Dame de la Gorge, en bordure du chemin qui monte vers le col du Joly, ainsi que dans la Combe Noire rive gauche du glacier de Tré la Tête. Mais je n'ai pas de doc sur la vallée des Contamines.

en général quand on évoque Ste Marie sur les livres anciens de géologie, il s'agit de Ste Marie du Fouilly.ces galeries se situent de part et d'autre de la rivière l'Arve au niveau du viaduc Ste Marie en arrivant au village des Houches (en contre-bas du lieu-dit le Fouilly). Je travaille sur le patrimoine minier de la vallée de Chamonix depuis quelques temps. J'ai récupéré des archives, des documents, une thèse, etc... Quand il y aura l'abolition des 35hr de sommeil par semaine je pourrais commencer à le mettre sur le site du club de Chamonix !!!* entrée d'une galerie rive gauche à proximité de l'arrêt du train entrée d'une galerie rive droite à coté du viaduc Ste-Marie