Je ne crois du tout à la nature acidité-basicité de la pierre dans le rôle de massage : cette notion ne prenant un sens sensitif que dans le cas d'une solution et ce n'est pas de tremper un galet dans une solution qui va faire intervenir le pH ! Que la teneur en silice se traduise par une densité différente c'est autre chose.
En fait le facteur premier est la nature de la surface du galet sur la surface de la peau : micro-rugosité avant tout.
Ce serait bien, si l'on veut rester dans les matériaux volcaniques, de comparer l'action d'un galet d'obsidienne (verre au nom enchanteur), d'un galet de pierre de Volvic (trachy-andésite), d'un autre en pouzzolane (ça va drolement gratter) et comme dit par ailleurs en ponce (rape douce).
Ne pas oublier que les microbulles en surface du galet seront isolantes mais vont aussi créer des points de macrorugosité différents.
Ceci à sec car en mode mouillé on passe en aquaplanage (perte d'adhérence) lié au liquide utilisé (eau, alcool, eau savonneuse, émulsion grasse, ...). Et la nature du galet va devenir peu signifiante. Avant on utilisait un gant de crin !
Personne n'a parlé de la capacité calorifique (qui n'a rien à voir avec la conductibilité).
Gérard